François IV Fouquet

de Luxembourg) • Ordre des dynasties françaises - Les Mérovingiens (Clovis, petit-fils de Mérovée) - Les Carolingiens (Charlemagne) - Les Capétiens -> directs > Les Valois (François I) > Les Bourbons Capet a agrandi le royaume de France en l’unissant et il fit sacrer son fils roi de son vivant pour être sûr de l’hérédité de sa maison. Charles VIII : Né à Amboise en 1470 et mort

du premier tour : 25 millions de téléspectateurs devant le débat du 25 mai 1974. (VGE/F. M). * VGE perd pour l’essentiel des voix gaullistes qui se sont réfugiés dans l’abstention ou le vote blanc + voix à gauche (environ 825 000 voix) * François perd moins de voix ; en abst. Ou nulles + 472 000 voix portées sur VGE. * L’ extraodinaire mobilisation du corps électoral : 87, 33%. Victoire de VGE : En définitive, la désertion d’une fraction des électeurs gaullistes avait failli provoquer

siècle. François de Malherbe (1555-1628) et la poésie Si jamais le terme d’école littéraire a été justifié, c’est bien à propos de Malherbe. Son nom n’évoque pas seulement un poète, mais toute une doctrine poétique. Malherbe domine bien son temps. Il fait des études de droit. Attaché à la personne du duc d’Angoulême, il le suit dans son gouvernement de Provence où il se marie et prend conscience de sa vocation littéraire. D’abord, il cherche en vain un protecteur, mais en 1603 Henri IV lui accorde

surintendant Nicolas Fouquet, qui le conduisit à la forteresse de Pignerol (il trouva la mort pendant le siège de Maastricht en 1674). L'écrivain se fait historien. C'est par exemple le cas de l'écrivain finlandais Mika Waltari [1908-1979] : il raconte l'histoire du jeune Sinouhé dans un roman historique qui a été salué par tous les égyptologues de l'époque. Son récit « Sinouhé l'Egyptien » a été publié en 1945 et décrit la société égyptienne sous le règne du pharaon Akhénaton (Aménophis IV, pharaon de

époques : * L’Art avant la Fondation de L’Académie Royale (1600-1648). * L’académie Royale et l’élaboration de sa doctrine (1648-1661). * Triomphe de la doctrine de l’unité (1660-1690). L’Art avant la Fondation de L’Académie Royale : Henri IV, esprit pratique, désolé par les destructions dues aux guerres de religions, se fait bâtisseur. Ce n’est que lorsque la stabilité économique fut revenue que les bourgeois éprouveront le besoin de luxe et préoccuperont de décoration et d’Art plastique

surintendant Nicolas Fouquet, qui le conduisit à la forteresse de Pignerol (il trouva la mort pendant le siège de Maastricht en 1674). L'écrivain se fait historien. C'est par exemple le cas de l'écrivain finlandais Mika Waltari [1908-1979] : il raconte l'histoire du jeune Sinouhé dans un roman historique qui a été salué par tous les égyptologues de l'époque. Son récit « Sinouhé l'Egyptien » a été publié en 1945 et décrit la société égyptienne sous le règne du pharaon Akhénaton (Aménophis IV, pharaon de

première moitié du XVIIIe siècle. Au delà de son aspect pédagogique, le portrait royal s'avère être un précieux instrument de pouvoir et de légitimation dont les enjeux et usages ne seront véritablement perçus qu'au début du XVIe siècle sous le règne de François Ier. L'iconographie des premiers Bourbons est abondante mais celle de Louis XIV joue sur une toute autre échelle. Le roi donne l'exemple autant que l'homme participe à un goût général pour la représentation du roi. Le portrait royal consiste à faire

« Comment François descendirent des Troiens ». L'histoire de Primat est autant nationale que royale. L'origine troyenne des Français, que les historiens répétaient depuis le VIIIe siècle, doit être, aux yeux de Primat, le fondement même de leur fierté nationale. Il prend bien soin de constamment mettre en scène, derrière les rois, ces fiers Français. Les Alamans « laissent la victoire à Clovis » écrivait Aimoin en latin racontant la bataille de Tolbiac ; « la victoire demora au roi et aux François », traduit

à un corps humain – chacun trouve sa place dans la société). Charles Loyseau montre un ordre naturel sous l’égide du roi-chef. Comme autre exemple, nous retrouvons la gravure l’image d’un ordre immuable où l’on retrouve François 1er au centre vêtu des insignes de la royauté. Tout en haut il y a une inscription : «  tout lui est soumis y compris les animaux de la terre et les poissons des mers . » De part et d’autre du souverain, deux officiers de

lourdeurs de style. Le lecteur a bien compris qu'il s'agissait d'un peuple laborieux de bergers et de laboureurs. Voilà ce qui peut nous rappeler les propos fameux prêtés à Maximilien de Béthune, duc de Sully, surintendant des finances du roi Henri IV : « Labourage et pâturage sont les deux mamelles de la France ! ». Des paroles historiques associées au rituel de la poule au pot chaque dimanche qui sont demeurées dans la mémoire collective des lecteurs du XVIIème siècle ... Une phrase résume à elle