François Dubet La Galère Jeunes En Survie

lois sont différentes ou identiques selon les sociétés. Les lois propres à la nature sont communes à tous les Hommes (ex : manger, mort etc.). Toutes les sociétés s’établissent autour de ces lois naturelles. Et toute société doit s’organiser pour la survie du groupe. Et cette nécessité de se conserver serait pour lui, à l’origine de la société. Mais lorsque l’on vit avec d’autres, il faut faire des compromis régis des lois sociales mais non-naturelles. Ces règles qui sont liées à la paix, à la subsistance

qu’elle avait fortement diminué au cours des dernières décennies, la pauvreté remonte depuis 2002. • La France compte 1 million d’érémistes et 4,7 millions de bénéficiaires de la CMU. • On dénombre entre 80 000 et 100 000 SDF. • 10 % des jeunes de 18 ans ne savent ni lire ni écrire. • Sur les 2,5 millions de chômeurs officiels, un sur deux n’est pas indemnisé. • Six millions de personnes sont frappées de surendettement. • Un million de personnes sont en attente d’un logement

L’insertion des Jeunes aujourd’hui Dossier documentaire Aubagne Le 17 septembre 2009 CRI PACA 3, cours Joseph Thierry 13001 Marseille CARIF Espace Compétences Centre de Vie Agora, Bât A ZI Les Paluds, BP 1002 13781 Aubagne Cedex L’insertion des jeunes aujourd’hui – 17 septembre 2009 CARIF Espace Compétences Pôle Animation de l’information - Mission Veille Le Carif Espace Compétences anime et développe un centre ressources documentaire à l’usage des partenaires institutionnels et

Murielle Chauvel Olivier Brito 40 rue Leibniz 75018 Paris Tel : 01.44.85.84.25 services18.mchauvel@wanadoo.fr Cerner les conditions de développement du secteur associatif par et pour les jeunes en difficulté dans les territoires sensibles Benjamin Moignard Groupe d'études sur les milieux urbains et les socialisations juvéniles Tel : 06 21 08 05 34 bmoignard@univ-paris8.fr (quartiers, zones rurales fragilisées ou en évolution) Rapport Final Avec le soutien du Conseil de Développement

1/2. -Bourdin A., Le patrimoine réinventé, Paris, PUF, 1984 -Coulon A., L’Ecole de Chicago, PUF, Que sais-je, 1994. - Donzelot J., La ville à trois vitesses : relégation, périurbanisation, gentrification, article de la revue Esprit mars-avril 2004 -Dubet F. et Lapeyronnie D., Les quartiers d’exil, Seuil, 1992. -Grafmeyer Y., Sociologie urbaine, Nathan U, 1994. -Pinçon M. et Pinçon-CHARLOT M., Dans les beaux quartiers, Seuil, 1989. -Pinçon, M. ; Pinçon-Charlot, M. Sociologie de Paris, Paris, La Découverte

peuvent s’enorgueillir (se rassurer ?) de posséder un abri les protégeant des vicissitudes de la nature. A chacun de ces reportages, on tente de comprendre. Pourquoi reste-t-il dans nos pays dits « riches », des personnes en situation de survie à la rue ? Pour répondre à ces questions, les sciences sociales sont convoquées. De la sociologie à la psychologie (clinique ou cognitive) voire la médecine, forces explications nous sont fournies. De même, un grand nombre d’explications nous sont

métier d’élève » n’étant pas maîtrisé). Les enseignants développent ainsi une nouvelle attitude professionnelle en prenant en compte l’hétérogénéité des élèves, les difficultés scolaires de certains et les modifications des relations entre adultes et jeunes dans la société et dans l’école. Ils modifient leurs pratiques, leurs conceptions pédagogiques au contact quotidien des élèves en fonction des contextes d’enseignement et de leurs propres sensibilité et expérience. Le travail de l’enseignant est alors

aussi des caractéristiques menaçantes (appel des flics), et que dans la catégorie des menaçants (ex jeunes) ne l’étaient pas tous ! Ce n’est pas inintéressant à faire, mais ce n’est pas la même chose. On va analyser les circonstances qui influencent ce sentiment de menace. On va se demander si nous, qui analysons ce phénomène et interrogeons les individus en questions (vieux « menacés » ou jeunes « menaçants »), nous ne contribuons pas en soi au phénomène social. On ne peut uniquement observer.

décision politique à l’action publique 54 2 De l’application à l’interprétation sur le terrain 56 3 Le rôle des usagers dans la modernisation du service public 58 6 7 4 Évaluation et régulations 60 5 Conclusion 62 Sociologies de l’école (F. Dubet) 65 1 L’institution républicaine 65 2 La version critique 67 3 De l’école républicaine à l’école démocratique de masse 69 4 Que fait l’école ? 71 5 Antinomies de l’école et expériences scolaires 73 5.1 Intégration et distribution 74

évolutions : « Evolutions des besoins primaires très massifiés (des clientèles) vers des démarches beaucoup plus différenciées : passage d’une définition régalienne du service public à une définition contractuelle et de l’ardente obligation d’un ancien moyen de survie économique d’après-guerre, à la nécessité d’une entreprise publique qui doit des comptes à ses clients et aux contribuables ». Le développement de la concurrence internationale, du fait de l’ouverture des marchés et de la globalisation des échanges