Freud Dans Sa Propre Maison

Philosophie, Sigmund Freud, 1915 Introduction L'auteur, pour mieux le comprendre : Sigmund Freud né en 1856, il était médecin neurologue et psychiatre, fondateur de la psychanalyse. Parmi ses oeuvres principales, il faut mentionner Totem et Tabou (1913), l'Introduction à la psychanalyse (1917), Au-delà du principe du plaisir (1920), L'avenir d'une illusion ( 1927 ), Malaise dans la civilisation (1929). En 1933, les nazis brûlent ses livres et, en 1938, il doit quitter l'Autriche

provoque de la culpabilité , La tâche du moi est une tache de gestion , le moi doit établir un équilibre. Conclusion du texte : Le psychisme de l'homme l'empêche d'être heureux ( le moi c'est la conscience ) , «  Le moi n'est pas maître de sa propre maison » Freud, Nous ne sommes pas maitres de notre conscience , on ne comprends pas tout ce qui se passe en nous ce qui provoque des bouleversement , Nous ne nous connaissons pas bien , Prendre conscience de son inconscient: Il y a des manifestations

toute pensée est forcément consciente. A partir de cette remise en cause, le sujet est-il encore maître « dans sa propre maison » ? Peut-on le tenir pour libre et responsable de ses passions ? L’homme peut-il encore se penser comme l’auteur et le fondement de ses actes et de ses représentations ? Où « ça » parle, le sujet existe-t-il encore ? I/ L’inconscient de Descartes à Freud. A-Dès le XVII° siècle, grâce à Leibniz est formulée l’objection d’après laquelle, la conscience étant finie, elle

l’univers, sa place serait finalement la même que tout autre être naturel qui le compose. L’Homme a subi toutes sortes d’humiliation, comme l’humiliation cosmologique, biologique ou encore psychologique. Freud a écrit : « Je voudrais exposer que le narcissisme universel, l’amour-propre de l’humanité, a subi jusqu’à ce jour trois grandes vexations de la part de la recherche scientifique ». Pour ce qui est de l’humiliation cosmologique, en effet, l’Homme croyait au début de toutes ses longues

Commentaire philosophique précis de 6 pages traitant d'un texte de Freud, extrait de son ouvrage "Essais de psychanalyse appliquée" : "Tu crois savoir tout ce qui se passe dans ton âme, dès que c'est suffisamment important, parce que ta conscience te l'apprendrait alors". Plan du commentaire: I) Introduction II) L'opinion commune III) Objections à l'opinion commune IV) Thèse de Freud V) Conclusion Texte étudié: Tu crois savoir tout ce qui se passe dans ton âme, dès que c'est suffisamment

En septembre 1882, Breuer fait part à Freud d'observations tout à fait inattendues qu'il avait tiré d'une cure inédite, celle d'une jeune fille hystérique traitée pendant deux ans et qui, selon lui, l'avait quittée à peu près guérie. Ce cas nous est aujourd'hui connu sous le nom d'Anna O. La méthode de Breuer était une méthode empirique créée par le déroulement imprévisible de la cure et par la collaboration active de la malade, jeune fille extrêmement intelligente. Anna O avait consulté Breuer

soi-même. Ici on refuse d’admettre une vérité que l’on connaît pourtant. Aussi, on pourrait prendre l’exemple d’un événement historique marquant : la shoah. La spécificité de la shoah, c’était de faire participer les victimes, les rendre acteurs de leur propre extermination. Comment en arriver là ? Comment est-ce possible ? En fait, les nazis employaient des moyens comme manipulation du langage avec des expressions tel que « vider les ghettos » ou bien « action de transfert ». Ils utilisaient des expressions

l'homme n'agirait pas (ne choisirait pas ses actes e toute connaissance de cause, dans la clarté), mais serait agi (c'est-à-dire subirait, malgré lui, des forces le contraignant à agir) : il ne serait pas « maître dans sa propre maison », il ne serait pas maître de lui. Empruntons à Freud un exemple simple. Un président de séance, à l'ouverture dit « Je déclare la séance fermée » au lieu de dire « Je déclare la séance ouverte ». Personne ne peut se méprendre sur ses sentiments ; il préférerait ne pas

2- « Le Moi n’est pas maître dans sa propre maison ». a. Que veut dire Freud par cette phrase ? b. Comment Alain pourrait-il la comprendre ? 3- a. Quelle conception du sujet Alain défend-il ? b. A quel philosophe plus ancien pourrait-il se référer pour étayer ses idées ? Quels arguments pourrait-il lui emprunter ? c. Pourquoi Alain insiste-t-il sur la dimension morale du sujet ? 4- Que pourrait répondre Freud à la critique d’Alain ? 5- Rédigez

comparaison et étude de leurs interactions 2. L'action de l'inconscient introduit-elle une quelconque fatalité dans la vie humaine? Comment? 3. Pouvons-nous nous en prémunir ou nous en débarrasser? Depuis le travail accompli surtout par Sigmund Freud, l’homme fait de plus en plus appel à la notion d’inconscient pour expliquer des pathologies auxquelles on ne trouve pas de causes que l’on pourrait qualifier de « classiques », au niveau du corps ou de l’esprit conscient. Mais l’utilisation de la