Freud Dans Sa Propre Maison

a une conscience immédiate : de s’interroger, d’analyser, de douter, donc de penser. C’est ce qui  permet la conscience morale ( je peux juger et me juger, attribuant à moi-même mes actes et états de conscience). 2) qu’on « possède le je dans sa propre représentation », on se pense comme UN et IDENTIQUE ( Même) sous les divers états de conscience. Sans cela, on se perdrait dans tous nos états de conscience, sentiment de dispersion, d’éclatement. C’est ce qui fait qu’on se représente comme « une

La conscience de soi agit sur la maîtrise de soi, c’est pour cette raison qu’il faut tout d’abord définir ce qu’est la conscience pour pouvoir développer ensuite la maîtrise de soi. La conscience de soi c’est au sens propre être conscient de son existence et de sa personnalité propre. Elle s’accompagne également de souvenirs, de sentiments, de sensations et de savoir que nous rapportons à une réalité intérieure que nous nommons «moi». Cette conscience s’appelle donc conscience de soi et elle est constituée

pensées, ses actions. Si la conscience cartésienne est fermée sur soi même c’est-à-dire qu’elle est une subjectivité, la conscience chez Husserl est toujours conscience de quelque chose. Généralement : on considère que la conscience de soi est le propre de l’homme : « posséder le « je » il n’y a que l’homme indéfiniment au dessus sur terre. Par là il est une personne ». Cela signifie que l’homme possède la capacité de se saisir comme objet de se voir penser. La penser humaine possède certes particularité

conscience d'être. Nul dans la pensée contemporaine n’a mis davantage ni plus directement en question la philosophie cartésienne de la conscience que Freud. Les recherches de Freud atteignent en effet de plein fouet ce qui, pour lui, constitue un préjugé fondamental de la philosophie depuis Descartes : la transparence du sujet à lui-même. Freud ne cesse de le répéter : le psychisme ne se réduit pas à la conscience ; la vie psychique la plus importante est inconsciente, faite de désirs refoulés

conscience la mutile en lui mettant nombres de barrières et de freins en limitant nos forces instinctives. Parfois, la conscience est débordée par l'inconscience, à son insu. Pour Freud « l'homme n'est pas maître dans sa propre maison » Il agit sous des mobiles qu'ils ignorent alors qu'ils pensent agir en toute conscience. Freud, va élaboré, tel un iceberg, la conscience n'est que la partie visible de l'iceberg. L’inconscience n'est donc plus représentée comme un degré inférieur de la conscience, une

BTS MUC 2 Français On pourrait dire que « le rêve est le propre de l’Homme ! » Qu’en pensez-vous ? L’Homme rêve lors de son sommeil de façon inconsciente mais aussi de façon consciente tout en étant éveillé. « Le rêve est le propre de l’Homme » puisqu’il rêve et essaye de comprendre et d’analyser ses rêves. Pour développer ces idées, je vais analyser le rêve nocturne porteur de sens pour ensuite me pencher sur la créativité stimulée par le rêve. Le rêve nocturne

perceptions (Leibniz) 2 2. Inconscient et concentration (Kant, Condillac) 3 3. Inconscient et automatisme (Bergson) 3 4. Inconscient et mémoire (Bergson) 3 5. L’arrière-plan (philosophie analytique) 4 B. L’inconscient social 4 II. L’inconscient selon Freud 5 A. L’interprétation des symptômes 5 1. Les rêves 5 2. Les actes manqués 6 3. Les névroses 6 B. La théorisation de l’inconscient 7 1. La première topique (1905) 7 2. La seconde topique (1923) 8 3. La nature de l’inconscient dynamique 8 C

la vie affective de l’homme. Aussi mettons-nous à profit les apports de base de Sigmund Freud qui en matière d’analyses d’œuvres littéraires aussi s’est révélé en tant que pionnier incontestable de la critique psychanalytique. Quelques précisions liminaires avant d’entamer notre discussion. L’auteur, Maupassant, n’était pas influencé par la psychanalyse quand il a écrit Misti (paru en 1884) puisque Freud n’avait encore rien publié; d’où justement l’intérêt de cette recherche (Cf. ci- dessous

capable de se gouverner par soi-même, alors qu'en vérité, "nous agissons par le seul geste de Dieu". Rappelons que, pour Spinoza, Dieu n'est autre que la Nature elle-même, la totalité rationnelle et nécessaire de ce qui est et dont nous participons. Freud, dans ses Essais de psychanalyse appliqués, va être amené à concevoir que bon nombre de maladies, mais aussi d'actes quotidiens s'expliquent si l'on admet l'hypothèse de l'insconscient. Il y aurait en nous un "réservoir" de forces et de désirs que

introduction: L'homme est pour beaucoup le seul etre doue de raison. mais etre capable de penser, lui permet il de se penser correctement lui meme? En effet, nous pouvons nous demander l'homme lui qui est a la fois corps et esprit, peut il parvenir a sa propre connaissance? nous verrons dans une premiere partie ce que pense la majorité sur cette question. Puizs nous démontrerons, que la majorité se tient dans le faux. enfin, nous elaborerons la solution qu'a l'homme pour parvenir a sa connaissance.