Freud Dans Sa Propre Maison

Sigmund FREUD (1912) TOTEM et TABOU Interprétation par la psychanalyse de la vie sociale des peuples primitifs (Traduit de l’Allemand avec l’autorisation de l’auteur en 1923 par le Dr S. Jankélévitch. Impression 1951.) Un document produit en version numérique par Jean-Marie Tremblay, professeur de sociologie au Cégep de Chicoutimi Courriel: jmt_sociologue@videotron.ca Site web: http://pages.infinit.net/sociojmt Dans le cadre de la collection: "Les classiques des sciences sociales" Site web:

La conscient de soi est elle une connaissance de soi ? La conscience est un pouvoir de représentation permettant à l'Homme d'avoir la connaissance des choses et de lui même. Il sait qu'elles existent et il a la connaissance immédiate de sa propre existence ainsi que de ses états et de ses actes. Etymologiquement, la mot conscience vient du latin conscientia, composé du préfixe con qui signifit "avec" et scientia qui signifit "connaissance". C'est ce qui carractérise l'Homme par rapport à tous

confrontée à quelque chose d’autre qu’elle-même. Comment des corps extérieurs peuvent provoquer en nous des pensées. C – Différence totale : Freud. • Freud : formation de psychiatre, confronté à des cas d’hystérie. - L’hypnose ne remonte pas à la cause des symptômes (= processus psychiques inconscients). - « Le moi n’est pas le maître dans sa propre maison » => remet en cause la double détermination du sujet : - la vie psychique serait l’équivalent de la vie consciente - toute puissance

scientificité………………………………………… 2 A. Qu’est ce qu’une science ? Qu’est ce que la psychanalyse ? Et pour Freud ?...........2 a. Qu’est ce qu’une science ? ………………………………………………….2 b. Qu’est ce que la psychanalyse ? Et pour Freud ?............................................3 B. Epistémologie et Herméneutique…………………………………………………...3 C. La découverte de Freud : impact sur l’humanité et autres résistances………...……6 2. Formation du concept de psychanalyse………………………………………

arrive que ce que nous pensons être soit en décalage, voire en contradiction avec ce qu’autrui perçoit et pense de nous. Nous nous rendons alors compte que ce que notre conscience nous donne à observer ne constitue qu’une illusion, tributaire de notre propre point de vue, de nos projections et de nos fantasmes. Dans ce premier cas, nous avons donc l’impression que nous ne sommes pas ce que nous avons conscience d’être, chaque confrontation avec autrui nous donnant l’occasion de mesurer l’écart entre la

opacité, une obscurité de la conscience par rapport à elle-même (Cf. Freud: le moi n'est pas maître dans sa propre maison). Ensuite, montrez et dénoncez la tentation de se réfugier derrière les faux-semblants et les faux-fuyants de l'inconscient (Cf. Sartre: la mauvaise foi ou Alain : L'inconscient comme idolâtrie du corps). Et, pour finir, montrez que la psychanalyse est quête et enquête d'une nouvelle lucidité de soi (Cf. Freud: Là où « ça » était, « Je » dois devenir).

saisissant l’esprit humain, que de mieux se connaître soi-même.  Saint-Augustin : « Donc, dès que l’âme se connait, elle connait sa substance, et si elle est certaine de son existence, elle l’est aussi de sa substance. » 2) La conscience est le propre des êtres animés ● Conscience et animation. On peut rapprocher les concepts de conscience spontanée et d’animation. On peut alors supposer une forme de conscience, même primitive, chez tous les êtres animés : ils montrent une sorte de présence

et Management » - Professeur Yvon PESQUEUX Travail réalisé par : Hasnae RAZGANIPlan de la fiche de lecture 1. Présentation de l’auteur et de l’ouvrage1.1 Présentation de l’auteur : Sigmund FREUD…………………………………………..P31.2 L’ouvrage et sa place dans l’œuvre de Freud…………………………………………P7 2. Synthèse de l’ouvrage 2.1 Les postulats…………………………………………………………………………...P82.2 Les hypothèses………………………………………………………………………...P82.3 Le mode de démonstration adopté par l’auteur………………………………………

raréfient, il se déplace de moins en moins, connait parfois l’isolement qui s’organise a travers la perte d’un conjoint ou des proches.il est donc déjà confronté a de nombreuses pertes et « les capacités et opportunités de réinvestissements d’objet propres a l’âgé sont moindre qu’un sujet plus jeune (F.Rexand-Galais,2003). D’autant plus lorsque celui-ci ne vit plus à son domicile, faute de ne pouvoir « s’assumer seul ». Nous nous intéresserons ici, au sujet âgé n’ayant pas de maladie mentale ni d’handicap

nous alors ne pas être nous – même ? A. Le moi est ce dont on ne peut douter selon Descartes : on a le sentiment d’exister et ce sentiment est à l’origine du moi. Descartes prouve dans les Méditations Métaphysiques, que l’on ne peut douter de sa propre existence. Pour cela, il commence par oublier tout ce qu’il sait, afin d’établir une connaissance certaine. C’est le doute méthodique. Il doute de nos perceptions et de nos idées innées en s’imaginant qu’un malin géni ferait que notre esprit raisonne