Freud Droit Justice Nature

INTRODUCTION GENERAL AU DROIT Dans l’inconscient des hommes, il existerait déjà l’idée de droit, ce serait une idée à la base assez vague selon laquelle lorsque plusieurs hommes se regroupent, lorsqu’ils se trouvent ensemble, surgit un besoin d’ordonner leur conduite. Ces règles qui surgissent aussi peu nombreuses soient elles vont être considérées comme étant autant de fragment du droit. Au plus profond de nous il y aurait d’hors et déjà des éléments de droit, des brides de droits en somme assez naturel

CORRECTION TEXTE DE KANT SUR LA NATURE HUMAINE 1/ Présentation du texte: Ce texte est extrait du traité de pédagogie (1803) d'E. Kant (1724-1804), philosophe des Lumières. Ce texte a pour thème la définition de la nature humaine et ses liens avec la moralité. L'idée principale du texte est la suivante: c'est par la raison que l'homme peut accéder à la moralité et se distinguer des animaux, en luttant contre les pulsions naturelles. Pour démontrer cela, Kant construit son texte en trois parties

philosophie concrète => 4 questions d’actualité afin de montrer la méthode des philosophes et leur approche. a) La prison (ex : la libération conditionnelle de M. Martin) : Deux opinions peuvent être dominantes dont le laxisme de la justice et le fait que la justice n’accorde pas assez d’importance aux victimes. On entend aussi que les conditions de vie en prison sont inhumaines : la surpopulation dans les prisons, la violence, les trafics, la prison est un facteur qui augmente les risques de récidive

Lhomme est un loup pour lhomme (La haine. La discorde. La guerre) PAGEREF _Toc185584904 h 10 B. Lhomme est un Dieu pour lhomme (Lamour. La concorde. Le commerce) PAGEREF _Toc185584905 h 11 C. Lambivalence fondamentale du rapport autrui (Kant, Freud) PAGEREF _Toc185584906 h 11 IV. Autrui et la morale PAGEREF _Toc185584907 h 12 A. Ltre-avec nous place dans la dimension de la moralit (Heidegger) PAGEREF _Toc185584908 h 12 B. Les sentiments moraux sont inspirs par autrui (Hume, Rousseau) PAGEREF

Sigmund FREUD (1921) “ Psychologie collective et analyse du moi ” Traduction de l’Allemand par le Dr. S. Jankélévitch en 1921 revue par l’auteur. Un document produit en version numérique par Gemma Paquet, bénévole, professeure à la retraite du Cégep de Chicoutimi Courriel: mgpaquet@videotron.ca dans le cadre de la collection: "Les classiques des sciences sociales" fondée dirigée par Jean-Marie Tremblay, professeur de sociologie au Cégep de Chicoutimi Site web: http://www.uqac.uquebec.ca/zone30/Classiques_des_sciences_sociales/index

suivant : comment pousser les hommes à agir de manière désintéressée, ou même d’une manière qui va à l’encontre de leurs intérêts ? La religion fut la première solution apportée à ce problème social fondamental : par la menace d’un au-delà régi par la justice divine, elle pousse les hommes à respecter la morale par crainte de la vengeance divine et le désir du paradis. A. Moïse, Jésus, Mahomet 1. Les dix commandements Toute religion contient une morale. Dans chaque religion on trouve l’énoncé

Jugement conjectural, croyance ou prise de position par le sujet qui comporte des degrés : elle peut aller de la simple impression à la ferme affirmation, mais elle demeure non soumise réellement à l’examen critique. Elle est aussi liée au désir, selon Freud. Cf. l’illusion de la venue du prince charmant pour la jeune fille. Origine/ Fondement : Ces deux termes désignent ce qui est en premier, mais en des sens multiples et des ordres différents, ceux de l’existence et de la connaissance, de la chronologie

importe les langues, la couleur, les religions tant qu’il y a la volonté. III- Le gouvernement. Donne une cohérence à l’Etat, c’est la tête. C’est lui qui va mettre en œuvre le pouvoir de contrainte. Il n’est pas le seul à produire une règle de droit ; les particuliers lors des contrats, les associations. La particularité de l’Etat c’est que le gouvernement va organiser des sanctions ; détient le monopole de la violence légitime. MAX WEBER a définit l’Etat uniquement de cette manière : Monopole

L’ambivalence du rapport à autrui 10 A. L’homme est un loup pour l’homme (La haine. La discorde. La guerre) 10 B. L’homme est un Dieu pour l’homme (L’amour. La concorde. Le commerce) 11 C. L’ambivalence fondamentale du rapport à autrui (Kant, Freud) 11 IV. Autrui et la morale 12 A. L’être-avec nous place dans la dimension de la moralité (Heidegger) 12 B. Les sentiments moraux sont inspirés par autrui (Hume, Rousseau) 14 C. Autrui est la source des commandements moraux (Kant

suivant : comment pousser les hommes à agir de manière désintéressée, ou même d’une manière qui va à l’encontre de leurs intérêts ? La religion fut la première solution apportée à ce problème social fondamental : par la menace d’un au-delà régi par la justice divine, elle pousse les hommes à respecter la morale par crainte de la vengeance divine et le désir du paradis. A. Moïse, Jésus, Mahomet 1. Les dix commandements Toute religion contient une morale. Dans chaque religion on trouve l’énoncé d’une