Freud Droit Justice Nature

Support : extrait d’Aphorismes sur la sagesse de la vie d’Arthur Schopenhauer. « Les échanges tirent leurs origines de ce fait conforme à la nature que, parmi les hommes certains ont trop et d’autres pas assez de certaines choses nécessaires » disait Aristote dans son Ethique à Nicomaque. On put toute fois se demander s’il y a là le seul modèle de lien social. L’origine et les motivations de ce dernier posent différentes questions dont certaines sont soulevées par le texte de Schopenhauer. Parmi

l’homme à rechercher la compagnie des autres individus appartenant à la même espèce que lui. Ainsi soutiendra Aristote, « l’homme est un animal politique ». Cependant la question se dresse colossale à savoir si la vie en société fait partie de la nature humaine partant du fait même que la société où nous vivons est le théâtre de crises, de conflits, de guerres. L’on se demande la possibilité d’une société harmonieuse où tout le monde puisse être heureux et s’épanouir. Kant reconnaîtra alors que l’être

société Intro : La société au cœur de ce schéma est de l’ordre du fait : il y société c’est un fait, il existe des sociétés et une société mais c’est un fait. Est ce que le fait social est naturel ou d’essence politique ? Est il produit hasardeux de la nature ou institution ? Peut on parler de société animale ? On entend parler de société d’abeilles, de fourmis, de chimpanzés, d’abeilles, mais on parle pas de n’importe quel animal mais on se compare à des animaux sociaux (qui vivent en groupe régit par

sentiment religieux est culturel. * La faiblesse ou l’incapacité de l’homme à expliquer les phénomènes naturels, à triompher des épreuves existentielles sont à l’origine du fait religieux. (Voir Karl Marx 11è thèse sur Fénerbach. * Freud, l’aventure d’une illusion) * La religion est une ruse des faibles pour dominer les forts. (Voire Nietzsche, la généalogie de la morale) * L’homme peut se passer de Dieu ou de la religion, voir l’athéisme. Deuxième sujet :

retracer la genèse des différentes illusions dont se nourrit l'homme, pour en exhiber l'origine inconsciente. La psychanalyse se veut ainsi dénonciation des illusions de la psyché humaine. Toute illusion renvoie au désir comme à sa source ; c'est ce que Freud a fortement marqué : " Ce qui caractérise l'illusion, c'est d'être dérivée des désirs humains (...) Ainsi nous appelons illusion une croyance quand, dans la motivation de celle-ci la réalisation d'un désir est prévalente, et nous ne tenons pas compte

organise. Ceci n’est pas l’objet de la psychologie clinique. La réalité psychique est ni mesurable, ni palpable, ni visible, c’est une réalité perçu sauf que chaque individu perçoit différemment mais elle se complexifie d’une prise de conscience. Pour Freud « la réalité psychique a une forme d’existence particulière ni réalité matériel, ni historique ». La réalité psychique est ce qui fait de nous des humains. Nous pouvons voir que l’émotion influence la réalité psychique de l’individu observer car

égoïstes qui menacent les droits d'autrui. Cependant, il y a des lois injustes qui nous rendraient injustes si nous y adhérions. C’est donc que la justice peut reposer ou repose sur autre chose que les lois. Suffit-il alors d'obéir aux lois pour être juste ou faut-il autre chose? Qu'est-ce qui nous rend juste? Est-ce le simple fait de suivre les lois imposées par l'Etat parce qu'on serait incapable, sinon, de se conduire soi-même avec justice? Ou bien la justice relève-t-elle d'une aptitude

souhaitable ? Introduction: I) Une société sans violence n'est pas possible Une société sans violence n'est pas possible , tout d'abord il y a toujours de la violence chez l'Homme.L'homme est de nature violent comme nous pouvons le voir dans Leviathan d'Hobes où il dit que l'état nature de l'homme est un état où il n'y a pas de loi et où chaque homme peut utiliser sa liberté sans aucune limite et ainsi utiliser une violence illimitée.La violence de l'homme peut être expliquer psychologiquement

satisfaits (du moins ceux qui correspondent à sa nature et à son identité) Vérité : est vrai un énoncé qui correspond à la réalité (intelligible ou sensible) ; un énoncé peut être dit vrai lorsqu'il a été validé par la méthode de vérification qui lui correspond (démonstration, expérimentation, etc.) Culture : la culture est l’ensemble des choses liées à l’action de l’homme sur la nature (art) et sur l’homme (civilisation) ; elle s’oppose donc à la nature comme ensemble des choses qui sont indépendantes

chez l’homme ”. Depuis une perspective phénoménologique, il vient déconstruire l’opposition traditionnelle entre ce qui ressort de la nature humaine et ce qui lui est agrégé au contact de la société (la part de “ fabriqué ”). Cette distinction nature-fabriqué peut revêtir divers sens. Elle peut renvoyer à la traditionnelle opposition culture ou civilisation / nature à la source du Traité sur l’origine de Rousseau, ou bien à la distinction effectuée par Lévi-Strauss dans Les structures élémentaires