Freud Détresse Infantile

Autisme Autisme atypique Psychose infantile Isolation Confusion Modulation Intégration Marqueurs spécifiques DIFFÉRENCE ENTRE AUTISME DE KANNER ET « PSYCHOSE INFANTILE » : DÉFICITS D’UNITÉ VS D’IDENTITÉ DE LA SITUATION ?1 Clément DE GUIBERT2 Laurence BEAUD3 DIFFÉRENCE ENTRE AUTISME DE KANNER ET « PSYCHOSE INFANTILE » : DÉFICITS D’UNITÉ VS D’IDENTITÉ DE LA SITUATION ? Bien que nosographiquement aujourd’hui invisible et diluée dans le « spectre autistique », la distinction entre autisme de

frère Galigula. Les Romains avaient prévu des peines sévères : on contraignait les personnes au suicide. Plus tard, on condamnait les coupables au bûcher et la confiscation de leurs biens. (p.108). D’après les auteurs Laplanche et Pontalis (1984), Freud fut amené a élaboré une théorie de la séduction (1895-1897) qui suppose que le traumatisme se produit en deux temps séparés par la puberté : 1. Le premier temps est celui de la séduction proprement dite. C’est l’événement sexuel du point de vue

Le signifiant SAUSSURE Vient de la linguistique structurelle. Maintenant associé à la psychanalyse. = un fragment de langage. Ça peut être un morceau d’un mot, ou un morceau de plusieurs mots. La définition vient de Saussure (psycholinguiste). Freud a travaillé sans la structure linguistique de Saussure, mais Lacan oui. Saussure : définition du signifiant dans un concept différent. C’est le signe (élément de base du langage). Le signe est composé d’un côté du signifié, et d’un côté du signifiant

rend compte des conséquences de ses actions, il peut se sentir coupable et avoir du chagrin. Un enfant qui va bien est capable de surmonter sa culpabilité et de découvrir le besoin de donner, de construire et de réparer. b. Le stade oral chez FREUD de 0 à 1 ans. Il correspond à la première année de la vie affective et se termine avec le sevrage. Le bébé est encore indifférencié par rapport à l’extérieur, son « moi » n’est pas encore constitué et ses relations avec son environnement s’établissent

fonctionnement psychique de la névrose (conception freudienne de la névrose comme négatif de la perversion) et de la psychose. En psychanalyse, ce terme de « perversion » désigne à la fois des éléments du développement normal de la sexualité infantile, et des conduites pathologiques de l'adulte : - L'enfant est dit pervers polymorphe car il modifie ses pulsions au cour de la maturation, du stades oral (de la tété) au stade génital (de la reproduction). - L'adulte est dit pervers s'il impose

fantômes sans sépultures, de hanter les alcôves de sa vie psychique. Ainsi les angoisses agonistiques, les rages impuis- santes, les désespoirs absolus, les hontes à mourir, les forclu- sions hors de l’humaine condition…, et toutes les variantes de détresses extrêmes sont-ils souvent au rendez-vous du processus de soin, du « progrès » du soin. Progrès paradoxal dans la mesure où, précisément, toute la pathologie observable n’est souvent là que pour tenter de protéger le patient du retour et de l’envahissement

son sillage, elle est bien sûr présente bien avant les travaux d’Anzieu dans la conceptuologie psychanalytique. Si on revient à Freud, on peut dire qu’elle est présente dès le début des textes psychanalytiques. Dès 1895, dans l’Esquisse, par exemple, est présente l’idée de limites du moi, d’un dedans et d’un dehors du moi. On se souvient que dans « Le moi et le ça » Freud parlera du moi comme d’une entité correspondant à la projection d’une surface. Paul Federn avait étudié les « frontières du moi

une chose éminemment collective. »  Freud – L’avenir d’une illusion Ces idées [les idées religieuses] qui professent d’être des dogmes, ne sont pas le résidu de l’expérience ou le résultat final de la réflexion : elles sont des illusions, la réalisation des désirs les plus anciens, les plus forts, les plus pressants de l’humanité ; le secret de leur force est la force de ces désirs. Nous le savons déjà : l’impression terrifiante de la détresse infantile avait éveillé le besoin d’être protégé

que sur le plan physique. Il vit en effet en hypovigilance constante, ce qui l'amène à rechercher le contrôle absolu de son environnement, ceci étant comme tout le monde le sait impossible, et c'est cette impossibilité même qui accroît encore sa détresse. Individu très prévoyant et consciencieux, il sera par contre un employé modèle très prisé par ses supérieurs (mais à quel prix !). Il faut savoir que ces multiples sources d'anxiété ne sont que le déplacement sur le monde extérieur d'une angoisse

sujet, ce par quoi la pulsion va atteindre son but. L’affect est l’énergie lié à la pulsion qui intéresse le praticien et qui peut se transformer en angoisse. L’affect est centré sur le ressenti, les affects conscient sont les émotions. Freud a différencié la pulsion de vie (sexuelle, libido, autoconservation) et la pulsion de mort (autodestruction, mort, agression). L’histoire de l’humanité est traversée par ces pulsions : guerre, racisme… les pulsions de mort sont à l’œuvre dans tout