Freud Interprétation Rêve Désir

Sigmund Freud 1 Sigmund Freud « Freud » redirige ici. Pour les autres significations, voir Freud (homonymie). Sigmund Freud Sigmund Freud par Max Halberstadt en 1922. Biographie Naissance 6 mai 1856 Freiberg, Moravie  Empire d'Autriche Décès 23 septembre 1939 (à 83 ans) Hampstead, Londres  Royaume-Uni Nationalité Autrichienne Sigmund Freud 2 Thématique Formation Titres Travaux Médecine (neurologie) Professeur, Privat-docent (1885), Professeur

Le plaisir s’éprouve dans la sensation. Le plaisir des sens est intéressé. Le plaisir esthétique est désintéressé. L’agréable renvoi à la faculté de désirer. Le beau est plus que l’agréable. Mais aucune œuvre ne fait l’unanimité. Aucun savoir relationnel n’existe dans le domaine de l’art. Il s’agit d’un acte de foi. L’art, enfant du désir et de l’imagination, met en scène des situations particulières et parle au cœur. L’œuvre d’art est la manifestation sensible du vrai. LE LANGAGECOURS :

GREEN CHAPITRE IV La représentation de chose entre pulsion et langage* Il y a cent ans, Freud fut admis comme spectateur au théâtre des passions hystériques d'une Salpêtrière qui sentait alors le soufre, malgré la rigueur toute scientifique du magistère de Charcot. Dans le rapport qui rend compte de son séjour à Paris, il écrit : « Je subis l'attrait de cette personnalité et me résolus bientôt à ne fréquenter que ce seul hôpital et à ne suivre l'enseignement que de ce seul homme »1. Pourtant il

XIXè siècle avec le médecin et neurologue autrichien Sigmund FREUD (1856-1939) pour avoir une réponse sérieuse à cette question. Déjà avec Gottfried Wilhelm Von LEIBNIZ (1646-1716), l’adjectif ‘‘inconscient’’ servait à qualifier les réalités qui échappaient individuellement à notre conscience (ex. : bruit de chaque goutte d’eau de la mer) mais dont la somme donnait une perception consciente (ex. : bruit de la vague). Mais chez FREUD, il deviendra un substantif pour désigner une réalité. Comme la

Sigmund FREUD (1901) Psychopathologie de la vie quotidienne Application de la psychanalyse à l'interprétation des actes de la vie quotidienne Un document produit en version numérique par Gemma Paquet, collaboratrice bénévole et professeure à la retraite du Cégep de Chicoutimi Courriel: mgpaquet@videotron.ca Dans le cadre de la collection: "Les classiques des sciences sociales" Site web: http://www.uqac.uquebec.ca/zone30/Classiques_des_sciences_sociales/index.html Une collection fondée et dirigée

PH II3, Je suis ce "moi" qui "n’est pas maître dans sa propre maison" – penser avec Freud" (1856-1939 médecin autrichien et inventeur de la psychanalyse) A, La nécessité de l’hypothèse de l’inconscient FREUD refuse l’identification de la pensée à la pensée consciente (identification d’inspiration cartésienne ou des philosophies dites "du sujet" comme celles de SARTRE) ; il s’agit de cesser de surestimer la conscience, en reconnaissant dans l’inconscient le fond de toute vie psychique :

PARANOÏAQUE » - SIGMUND FREUD INTRODUCTION Présentation du texte Nous allons vous présenter le chapitre III du livre Le président Schreber, un cas de paranoïa où Sigmund Freud propose une interprétation et une analyse basée uniquement sur sa lecture de faits mémorables d’un névropathe écrit par Daniel Paul Schreber en 1903 (car il ne l’a jamais rencontré). Cet ouvrage lui a été présenté par l’un de ces amis : Carl Jung. Contexte Historique Contexte étudié dans Freud présenté par lui-même

entre temps, d'autant plus que Freud lui-même a toujours, comme on sait, fait preuve d'une extrême réserve dans ce domaine et même n'a publié aucun ouvrage d'ordre technique depuis une dizaine d'années. Pour les analystes qui n'avaient pas subi eux-mêmes une analyse, ses rares articles techniques (réunis dans Samml. Kl. Schr. z. Neurosenlehre, IV et sq.) ont constitué les seuls principes directeurs de leur action thérapeutique ; bien que ces articles, de l'avis même de Freud certainement incomplets et

l'amplification. Ce que l'on pourrait analyser dans l'amplification est la complicité thématique qui rattache l'œuvre à quatre mains : une complicité très grande unit les artistes. Les deux grands thèmes amplificateurs pourraient être la liberté et le désir. Eluard empare de cette double thématique dans une écriture emplie d'imagination et de créativité. Le poète essaye d'apporter un petit plus de surréalisme à ce qu'en transmet le dessin. De nombreux poèmes amplifient, par leur forme, leur langage

schématiquement les grandes étapes de la psychogenèse du point de vue de la psychanalyse, préalable indispensable à la compréhension de l’ensemble de ce livre. Notons tout d’abord que nous resterons classiques, faisant appel: d’abord à l’œuvre de S. Freud lui-même, aux travaux de ses contemporains et successeurs, tels K. Abraham et O. Fénichel, à des livres comme celui déjà ancien de Gerald S. Blum, enfin à des publications plus récentes comme l’ouvrage de Laplanche et Pontalis, pour ne citer ici que