Freud La Liberté Individuelle

Microsoft Word - malaise_civilisation.docSigmund FREUD (1929) MALAISE DANS LA CIVILISATION Un document produit en version numérique par Gemma Paquet, collaboratrice bénévole et professeure à la retraite du Cégep de Chicoutimi Courriel: mgpaquet@videotron.ca Dans le cadre de la collection: "Les classiques des sciences sociales" Site web: http://www.uqac.uquebec.ca/zone30/Classiques_des_sciences_sociales/index.html Une collection fondée et dirigée par Jean-Marie Tremblay, Bénévole et professeur de

échanges théoriques et cliniques permettant l’acquisition 11 d’une grande liberté de pensée individuelle et groupale. La pensée métaprimaire, lorsqu’elle peut se développer dans un groupe, permet d’éviter l’enfermement rigide dans une théorisation exclusive ayant sa logique secondarisée, entravant les processus de création. Ce n’est qu’après avoir laissé jouer et élaborer les scénarios fantasmatiques dans une grande liberté que la pensée consciente pourra faire ses choix depuis l’expérience charnelle

lointain (origines) ; → passé individuel et collectif (histoire, tradition, commémoration). b) Les points du programme Le temps. L'histoire. La liberté. 2. L'accroche Le film Eternal Sunshine of the Spotless Mind (2004, Michel Gondry) est construit sur la volonté du héros d'oublier les moments douloureux de son passé. 3. La problématique Le passé a-t-il une emprise telle que nos choix et nos actions sont entravés par des événements antérieurs ? Mais la liberté humaine n'a-t-elle pas la

l’expression « méthode clinique en psychologie » American Psychological Association création de la section Clinique en 1919 médecin, neurologue, a crée la psychanalyse Lettre à Fliess 30 Janvier 1899 fait référence à la psychologie clinique. Freud fait de la psychologie clinique la 1ère théorie proprement psychologique des troubles psychiques, qui permet l’analyse de leur inscription dans l’histoire psychique du sujet et propose des moyens thérapeutiques pour l’aider à les transformer. En

Sigmund FREUD (1921) “ Psychologie collective et analyse du moi ” Traduction de l’Allemand par le Dr. S. Jankélévitch en 1921 revue par l’auteur. Un document produit en version numérique par Gemma Paquet, bénévole, professeure à la retraite du Cégep de Chicoutimi Courriel: mgpaquet@videotron.ca dans le cadre de la collection: "Les classiques des sciences sociales" fondée dirigée par Jean-Marie Tremblay, professeur de sociologie au Cégep de Chicoutimi Site web: http://www.uqac.uquebec.ca/zone30/Classiques_des_sciences_sociales/index

l’inconscient » a dit et répété Freud. En effet lors de ses recherches sur l’inconscient et la psychanalyse, celui-ci a découvert que les rêves étaient des messages qu’une partie inconnue de nous-mêmes nous faisait parvenir, de façon déguisée, codée. Il donnait alors une réponse rationnelle aux questions que les hommes se sont toujours posées quant à l’importance de leurs rêves, leurs significations et ce qu’ils devaient en faire. Les rêves donc, selon Freud, semblent bien nous parler de nous

Introduction un mdecin dans la cour des philosophes A priori, il peut sembler trange dtudier Freud dans un cours de philosophie. Sigmund Freud (1856-1939) est un mdecin, dont loeuvre part dune analyse de lhystrie et de la nvrose, cd de ces maladies psychosomatiques, o lon peut observer des symptmes physiques, mais o il est impossible de trouver des lsions organiques responsables de ces symptmes. Son but est dexpliquer, de comprendre et de soigner des maladies qui rsistent aux thrapies traditionnelles

libre : invite à s'interroger sur l'état de liberté, donc sur la liberté une fois qu'elle est acquise ⇒ il convient d'étudier la liberté effective (réelle), et non la sensation de liberté, ni l'idée de liberté. La liberté peut être conçue de plusieurs façons, et notamment comme licence (latin licet : il est permis) c'est-à-dire comme possibilité de satisfaire tous ses désirs. On peut dire qu'il y a une définition négative de la liberté comme absence de contrainte, d'obstacle, et une

Nos désirs, nos angoisses, nos espérances proviennent en partie de notre appartenance sociale. La conscience n’a pas d’existence propre, elle reste un produit. Pour FREUD, la conscience produit des illusions car elle ne connaît pas le sens et l’importance des forces psychiques inconscientes. Que ce soit avec NIETZSCHE, MARX ou FREUD, la conscience est minorée elle reste davantage un instrument plus ou moins précis, clairvoyant, et en aucune manière ce peut être une réalité centrale. III. La

L’inconscient : «  Moi éclaté » pour Freud : l’ho n’est pas un sujet régi par la seule conscience, son autonomie est une illusion. Les pulsions inconscientes (auto-conservation = plaisir et mort) sont les images que le sujet repousse. « moi superflu » pour Nietzsche : intuition d’une force plus riche, plus profonde que la conscience. «  mauvaise foi » pour Sartre : l’ho écarte ce qui le dérange = inauthenticité entre ce que je vis et ce que j’ai vécu ± pas de liberté. II. La perception 1