Freud La Liberté Individuelle

LE MALAISE DANS LA CULTURE de Freud « LE BONHEUR EST-IL COMPATIBLE AVEC LA CULTURE? » Freud écrit Le Malaise dans la culture en 1930, moment de grande souffrance et de crise économique. Freud, adoptant une vision assez pessimiste de la condition humaine, propose une analyse psychique des comportements humains face à la culture. Cet ouvrage se structure en huit parties où Freud est amené à développer les conséquences sur le comportements individuel de la relation d'antithèse entre pulsion

deux sont opposés. Le devoir s’adresse à nous sous forme de commandement, il nous est donc catégorique, impossible de s’y soustraire. Mais la question du fondement se pose : Possible de concilier liberté et se soumettre au devoir ? Seul un individu libre peut obéir donc le devoir présuppose la liberté. # Entre devoir, contrainte, obligation, nécessité. Quand je dis je dois mourir : nécessité. On peut rattacher le devoir à la conscience : morale / psychologique. L’animal ne peut pas être un être

indépendance et de notre liberté ? 3 thèses : Thèse 1 : La conscience existe par elle-même, elle se détermine seule face à la nature. Elle est donc SUBSTANCE, c'est-à-dire la seule cause de ses actes (cause première). Elle est donc libre et responsable d’elle-même. Thèse 2 : La conscience est la source de nos préjugés, elle n’en finit pas de douter. Nous sommes déterminés par nos habitudes, par nos traditions, par notre culture et par nos origines sociales. La liberté n’est donc elle-même qu’une

des mécanismes inconscients qui peuvent nous priver de notre liberté de choix et d’action n’est pas le plus efficace des remèdes contre la fatalité qui nous menacerait. L’une des raisons les plus immédiates qui peut conduire à associer la théorie freudienne de l’inconscient psychique et l’idée de fatalité est évidemment la place spectaculaire qu’y occupe la figure légendaire du héros tragique Œdipe. On sait l’importance qu’accorde Freud au “complexe d’Œdipe”, qu’il définit comme ”le complexe central

groupement « le sujet ». Leurs thématiques sont liées à la question « Qu’est-ce que l’homme ? » que Kant considère comme celle la philosophie dans son ensemble. Avec le « désir », ces notions permettent aussi d’aborder de nombreux sujets portant sur la liberté. Voilà pourquoi vous y serez particulièrement attentifs. On admet généralement que la conscience est le propre de l'être humain au même titre que la raison. Pourtant, la conscience est une forme de présence au monde qui semble commune à certains

pas neutres quand on les revendique et elles ne le sont pas du point de vue de l'aggressivité. Le moi individuel fonctionne comme le moi collectif de la communauté. Pour créer une communauté il faut exclure l'étranger. Comme le moi individuel, la communauté revendique sa supériorité sur les autres. Elle se donne le monopole des bonnes valeurs et rejtte l'inconnu. Le moi qu'il soit individuel ou collectif fonctionne sur le principe de ressemblance càd sur le principe du même, le principe du familier

« Une pensée vient quand elle veut et non quand je veux » * Freud: « Le moi n’est pas maître dans sa propre maison » * Alain: « L’inconscient est une méprise sur le Moi, c’est une idolâtrie du corps » Spinoza, « Les hommes ont conscience de leurs désirs mais non des causes qui les déterminent à désirer » Cette citation de Spinoza aborde les questions de l’illusion de la conscience et de l’illusion de la liberté. Spinoza part ici d’un constat : les hommes ont conscience de leurs

possibilités humaines, le travail est donc un bon moyen pour développer les habiletés et les facultés humaines. Puis, pour finir Marx dira que le travail socialise l’être humain, à cause de leur «multiplicité, de la diversité des aptitudes et des talents individuels et de l’ampleur des activités de production nécessaires à leur satisfaction» (René Dansereau, Les conceptions de l’être humain,p.44), les besoins humains ne pourront être satisfait que si il y a présence de collaboration dans le travail et de partage

Retournant conte elle l’arme par laquelle la conscience croyait pouvoir s’assurer d’elle-même des philosophes comme Marx, Nietzsche et Freud ont semé le doute à propose de l’essence même de la conscience. Plutôt que d’y voir l’instance de vérité par excellence, ces derniers la considèrent comme une profonde source d’illusions dont la plus tenace est celle d’une liberté ou d’une autonomie du sujet dont la conscience prétend témoigner Malgré les apparences, la conscience ne détient pas sur elle-même

l’exigence est une existence de liberté économique. On sollicite la théorie économique pour essayer d’élargir la notion de liberté. Le libéralisme nait d’une intense soif de liberté chez certain auteurs, celle-là crée un nombre de théorie d’auteurs hostiles au collectivisme, aux barrières, au pouvoir trop grand de la puissance royale. Le Libéralisme s’efforce donc d’être anti-conservateur. AU XVIII e s, de plus en plus émerge l’idée que le bonheur est objet individuel, ce que revendiquent de plus