Freud Liberté Et Civilisation

l’humanité vers « la réalité de sa liberté ». Mais ce parcours ne s’effectue pas d’une manière harmonieuse ou univoque. En effet, Hegel considère qu’en pratique l’Esprit s’incarne à chaque période de l’Histoire dans un peuple particulier, avant de passer à un autre peuple : « chaque peuple a son principe propre et il tend vers lui comme s’il constituait la fin de son être : une fois cette fin atteinte, il n’a plus rien à faire dans le monde ». Autrement dit, chaque civilisation est à un moment donné dépositaire

bien et que si tout ce qui fait mal est mal : le viol fait du bien mais est mal ; traverser les flammes pour sauver un enfant fait mal, mais c’est bien. Civilisations hédonistes : en principe ce qui fait du bien est bien, sauf excès. Civilisation doloriste : se faire du bien est louche, vaux mieux se faire du bien. Notre civilisation est hédoniste, avec des tendances doloristes (crucifixion du christ) III. Les synonymes Morale : les bonnes mœurs, pas nécessairement philosophique

savons que les mondes physique, biologique, humain évoluent, chacun à leur manière, selon des dialectiques d'ordre, désordre, organisation, comportant aléas et bifurcation, et toutes menacées à terme par la destruction. Les idées d'autonomie et de liberté étaient inconcevables dans cette conception déterministe. Aujourd'hui, nous pouvons concevoir de façon scientifique l'auto-organisation et l'autoproduction, et nous pouvons comprendre que l'individu comme la société humaine sont des machines non triviales

pas toujours le langage délibérément, consciemment. Dans certaines circonstances, le langage semble dépasser l’individu et échapper à son contrôle. C’est le cas du lapsus où l’individu emploie involontairement un mot pour en désigner un autre. Selon Freud, le lapsus serait l’expression d’un désir de l’inconscient et par conséquent, comme le « moi » conscient de l’homme ne peut pas continuellement dominer l’inconscient, celui-ci agirait aux dépens de l’homme, par exemple à travers le langage. De même

rencontre de André Breton, Philippe Soupault et Louis Aragon, qui, laissant le Dadaïsme, écrivent en 1924 le Manifeste du Surréalisme. Le nihilisme de Dada est à la base de la pensée surréaliste, qui se fonde aussi sur un refus total de cette civilisation et de ses valeurs. Mais le Surréalisme est un mouvement qui propose une idéologie. Surréalisme veut dire aller au delà du réalisme, c’est à dire aller au delà des apparences. Les surréalistes du XXe siècle veulent se libérer de toutes les contraintes

avec les théories Freudiennes qui se base sur l'ensembles des éléments réfoulés. La mémoire est donc dans la constitution de l'inconscient. Selon Freud , le sujet pouvait ne pas savoir qu'il faisait car des " actes automatiques" , des pulsions pouvaient n'être que des manifestations de son inconscient , qui sont ses désirs inconscient. En effet pour Freud afin de compenser ses désirs réfoulés, le sujet devait les extérioriser par le rêve ou par différents actes involontaires , actes manqués , lapsus

volonté de puissance (Nietzsche) 6 5. Le désir d’immortalité et d’éternité (Platon) 6 C. La mort 7 1. La structure kamikaze du désir 7 2. L’agressivité introjectée (Nietzsche) 8 3. La nature conservatrice des pulsions (Freud) 8 4. Le plaisir de se perdre 8 Conclusion : l’indétermination du désir 9 II. Le désir de l’autre 10 A. Le désir mimétique (Spinoza) 10 B. Le désir triangulaire (René Girard) 11 C. Le désir du désir de l’autre

placement en maison de Force qui n’et soumis à aucune formalité. La lettre de cachet doit suivre une procédure : la famille rédige un placet, l’intendance enquête… la lettre de cachet est aussi le rejet d’une société ou la famille est maitresse de la liberté de ses membres, les surveille et les interne si besoin est. La révolution française abolit les lettres de cachet, mais maintient les fous enfermés. 90% des lettres de cachet étaient demandées par les familles en vue de l’emprisonnement des marginaux

bonheur. Nous pouvons aussi trouver une réfutation de cette vérité dans les dystopies de la science fiction. Elles nous semblent révéler que nous ne saurions vouloir d’un bonheur à n’importe quel prix et principalement sans liberté. Car en effet, en tant qu’utopie, elles visent à imaginer un monde dans lequel le bonheur serait devenu une expérience partagée par tous, l’utopie s’interroge sur la possibilité d’un monde qui maximiserait le bonheur. Dans la mesure où ces utopies

que nous pouvons en faire ? Donner la signification n’est-ce pas déjà proposer une interprétation ? Il est au moins deux théoriciens pour les pensées desquels il semble légitime de distinguer signification et interprétation : il s’agit de Marx et Freud. En effet, la philosophie, dans ses productions, peut se représenter comme étant organisée en deux grandes familles. Le groupe des philosophes dits « idéalistes », et celui qui rassemblerait les philosophes dits « empiristes ». Les idéalistes prennent