Freud Malaise Dans La Civilisations Analyse

p. 89 • Des textes théoriques : – Ernest Pinard, Réquisitoire (1857), p. 46 – Ferragus, « La littérature putride » (1868), p. 47 – Émile Zola, Les Romancier naturalistes (1881), p. 61 – Émile Zola, Mes Haines (1866), p. 71 – Sigmund Freud, Malaise dans la civilisation (1929), p. 98 • D’autres genres : – Poésie : Victor Hugo, Les Chansons des rues et des bois (1865), p. 35 – Théâtre : August Strindberg, Mademoiselle Julie (1888), p. 112 • La littérature étrangère : – Fedor Dostoïevski, Crime et châtiments

(donc plutôt le mal commis) 4) la maladie. Le substantif lui-même est en fait dérivé de l’adjectif malus, mauvais. Le mot est par ailleurs à l’origine de multiples dérivés qui ont tous maille à partir avec le mal : maladie, malheur, mauvais, malin, malaise, malveillance, maudit, etc. Ils seront évidemment intégrés à notre réflexion à mesure que nous les rencontrerons dans les textes. Le fait que le mal soit d’abord un adjectif et un adverbe, en latin comme en français, est révélateur : l’adjectif et

• Des textes théoriques : – Ernest Pinard, Réquisitoire (1857), p. 46 – Ferragus, « La littérature putride » (1868), p. 47 – Émile Zola, Les Romancier naturalistes (1881), p. 61 – Émile Zola, Mes Haines (1866), p. 71 – Sigmund Freud, Malaise dans la civilisation (1929), p. 98 • D’autres genres : – Poésie : Victor Hugo, Les Chansons des rues et des bois (1865), p. 35 – Théâtre : August Strindberg, Mademoiselle Julie (1888), p. 112 • La littérature étrangère : – Fedor Dostoïevski, Crime et

psychologie en odontologie. .......................................................................................... 16 La personnalité et psychologie de la personnalité ............................................................................... 19 Freud et la psychanalyse...................................................................................................................... 20 a) b) c) d) 4. Les autres courants psychologiques .......................................................

catho : esprit critique doit être mobilisé pour lire et comprendre textes religieux (perspective de foi). Avoir son esprit critique sur les textes Invention de la notion de sauvage et sauvagerie. Ils sont retrouvés en tant qu'antithèses de la civilisation. Se popularisent dans les récits de navigateurs, missionnaires, administrateurs (se multiplient). => Manière de penser l'autre qui ne peux pas sortir du cadre de celui qui les pense. On pense l'autre à travers son propre prisme de regard. On doit

Sigmund Freud. Le but poursuivi par Freud était de comprendre rationnellement les passions humaines — spécialement les passions irrationnelles. Il voulait comprendre quelles sont les causes, les conditions de haine, de l’amour, de la soumission, de la destructivité, de l’envie, de la jalousie — de toutes ces passions dont les grands écrivains (pensons à Shakespeare, à Balzac ou à Dostoievski) ont traité et qu’ils ont si bien démasquées dans leurs drames et leurs romans De tout cela, Freud voulait

| | | |Sigmund FREUD (1915-16, 1916-17) | |

Derrida, etc.) faisant vainement de Descartes son épouvantail et, au lieu d'assister à la mort de l'individu originel, nous sommes plutôt au début de l'individualisation, du processus de civilisation (comme Sloterdijk fait de la technique l'humanisation de l'homme et non l'oubli de l'être). - Civilisation, répression, monopole, empire On peut passer à côté d'Elias comme son temps l'a ignoré jusqu'en 1969 alors que son oeuvre commence en 1939. C'est le sociologue freudien par excellence,

mémoire. - Paris : Odile Jacob, 190. DANCHIN (A.) - L’Œuf et la poule. - Paris : Fayard, 1983. EDELMAN (Gerald) - Biogie de la conscience. Traduit de l’anglais - Paris : Odile Jacob, 1992. ISRAEL (Lucien) - Cerveau droit, cerveau gauche, cultures et civilisations. - Paris : Plon, 1995. JACOB (François) - La logique du vivant. - Paris : Gallimard, 1970. KAHN (Jean-François) - Tout change parce que rien ne change. Introduction à une théorie de l’évolution . Introduction à une théorie de l’évolution sociale

cette analyse, les sociétés précaires sont des sociétés obsédées par la peur de la perte,. On retrouve ici les accents de la critique faite par Robert Castel de l’inflation sécuritaire et de l’aversion totale envers le risque, qui se déploie dans les sociétés les plus sûres de l’histoire. La perte des sécurités, comme dans l’Argentine des années 1990, est à l’origine de la souffrance psychique d’origine sociale dont, selon Furtos, Freud parlait déjà en 1929 dans Malaise dans la civilisation. Dans