Freud Prétention Intenable

conscience qui détermine la vie mais la vie qui détermine la conscience » * Freud émet l’hypothèse de l’inconscient qui recouvre la vie, les pensées dans tous les aspects et qui échappent à la conscience. -Il va montrait que l’inconscient se manifeste à notre insu dans les actes manqués : névroses et psychoses + rêves. -Ainsi les données de la conscience sont extrêmes lacunaire (incomplète et sans explications). -Freud qui résonne par induction (des effets-cause) pense que l’inconscient est « la

besoin ou d'un désir), à éviter le déplaisir en vue du plaisir. Principe de réalité : principe selon lequel la recherche de la satisfaction doit tenir compte des conditions imposées par le monde extérieur. Psychanalyse : discipline fondée par Freud : méthode d'investigation mettant en évidence la signification inconsciente des paroles ou actes afin d'aboutir à une « guérison ». Pulsion : excitation psychique d'origine somatique visant un objet et recherchant la satisfaction. Refoulement

LES CLÉS DU SUJETDéfinir les termes du sujet L'inconscient L'inconscient désigne, au sens freudien, une entité psychique autonome et dynamique dont la fonction est de refouler. Il est à distinguer du sens antérieur à Freud de l'inconscient, qui se définit comme degré moindre de la conscience et que nous appellerons « inconscience ». L'inconscient psychique Il est considéré comme une hypothèse dans la mesure où c'est un choix métaphysique d'affirmer que l'inconnu

yeux c est dire la conscience dénonce qu’une partie de la réalité. Et finalement pour Freud l’inconscient et le lieu non seulement des souvenirs mais aussi des interdits, les désirs. Connaitre sois même n’est pas toujours agréable. Ainsi, nous pouvons parler de la volonté de se connaitre afin de savoir la partie inconsciente de notre identité tout en veillant la possibilité de prouver sa faiblesse. Freud, un médecin viennois découvre l’inconscient psychique du sujet .L’identité n est pas seulement

Sigmund Freud est un médecin Autrichien du XIXème, considéré en quelque sorte comme le « père » de la psychanalyse. Il a écrit des œuvres telles que Métapsychologie (en 1915) ou encore L’interprétation des rêves (en 1900), et élaboré une nouvelle méthode d’approche des maladies mentales, qui a donné lieu à la psychanalyse. Les théories Freudiennes, qui admettent un psychique conscient, mais également un psychique inconscient (qui expliquerait les processus psychiques tels que le refoulement), sont

mieux nous connaitre A) L’interprétation de notre inconscient - Pour Freud, les rêves, les actes manqués, les lapsus peuvent être perçus comme des messages de l'inconscient. C'est donc de manière tout à fait consciente que nous remarquons que la puissance de l'inconscience fait donc quelquefois obstacle à la connaissance de nous-mêmes. Freud affirme même dans sa Métapsychologie que " ce n'est qu'au prix d'une prétention intenable que l'on peut exiger que tout ce qui se produit dans le domaine psychique

révélées en temps dit « normal ». La psychanalyse peut nous permettre d’avoir accès à certains souvenirs refoulés et donc de mieux nous connaître. Cependant, la psychanalyse est le résultat de l’adhésion au concept d’existence de l’inconscient décrit par Freud. Ce concept constituant aussi une limite à la connaissance de soi, il sera plus longuement développé dans la seconde partie. Il semble donc possible de se connaître soi-même grâce à ses différents moyens. Cependant, ces moyens sont soumis à des limites

XVIIe, DESCARTES a identifié le psychisme à l’âme immatérielle, à la conscience qui est unifiée dans le moi.  Cette identification n’est t- elle pas une illusion ? Qu’est ce que le moi ? La conscience est elle souveraine ? La psychanalyse depuis FREUD considère que le psychisme n’est pas unitaire : il y a du conscient et de l’inconscient. Dès lors, ne faut-il pas envisager notre vie psychique comme « une dialectique du moi et de l’inconscient » (JUNG), comme un jeu dynamique au cours duquel l’être

une preuve incontestable de l'existence de ce dont nous avons fait l'hypothèse. L'on doit donc se ranger à l'avis que ce n'est qu'au prix d'une prétention intenable que l'on peut exiger que tout ce qui se produit dans le domaine psychique doive aussi être connu de la conscience. » Sigmund Freud, Métapsychologie [1915], trad. de l'allemand (Autriche) par J. Laplanche et J.-B. Pontalis, Gallimard, coll. « Idées », 1976, p. 66-67

pensées refoulées par un " organe de censure " de notre conscience mais qui, parfois, remontent à la surface - et se traduisent par des " symptômes " parfois dangereux pour la personne. Freud, le fondateur de la psychanalyse, affirme même dans sa Métapsychologie que " ce n'est qu'au prix d'une prétention intenable que l'on peut exiger que tout ce qui se produit dans le domaine psychique doive aussi être connu de la conscience. " Autrement dit, la conscience ne représente qu'une infime partie de notre