Friedman Anticipation Rationnelle

INTRODUCTION …………………………………………………………………………………… | 2 | CHAPITRE 1 : LES FONDEMENTS DE L’ANALYSE DE LA N.E.C | | * Hypothèses et principaux résultats des nouveaux classiques………….. | 4 | * Hypothèse des anticipations rationnelles……………………………………….. | 7 | CHAPITRE 2 : LE FONCTIONNEMENTS DU MODELE DES NOUVEAUX CLASSIQUES | | * La fonction d’offre globale……………………………………………………………… | 15 | * La relation : niveau d’activité et erreurs sur les prix………………………... | 18 | * Les cycles d’équilibre……………………………………………………………………

en place de telles politiques une condition à son intervention. anticipations adaptatives théorie de l''équilibre général idée selon laquelle les agents économiques tirent les leçons de l'expérience passée et révisent périodiquement leurs anticipations en fonction des enseignements des périodes récentes. Ceci notamment en matière d'inflation (pour les discussions salariales en particulier). L'introduction des anticipations autoadaptatives explique les évolutions empiriques observées sur la

monétariste à l’endroit de l’interprétation keynésienne de la courbe de Phillips. 2. La contre-interprétation monétariste Dès 1968, Milton Friedman et Edmund Phelps, figures de proue du courant monétariste, proposent une contre-interprétation de la courbe de Phillips visant à démontrer l’inefficacité de l’intervention politique prônée par l’analyse keynésienne. Friedman et Phelps introduisent une distinction entre court terme et long terme et s’attachent à démontrer qu’une politique de relance est inefficace

revenu. Cela signifie que pour un revenu nul, l'épargne est négative ; l'agent désépargne pour financer la consommation incompressible. La fonction de consommation keynésienne a été remise en cause par plusieurs auteurs néoclassiques, notamment par Friedman et Modigliani. Se fondant sur plusieurs travaux empiriques réalisés depuis les années 1940, ils confirment à court terme la fonction de consommation keynésienne : la propension moyenne à consommer diminue avec le niveau de revenu. Les enquêtes sur

pas imprévisible ou parce que l'échéancier des dépenses ne correspond pas à l'échéancier des dettes) pour motif de spéculation (car l'économie monétaire de production est caractérisée par l'incertitude=risque non probabilisable ; il peut être rationnel de demander la monnaie pour elle-même car il s'agit pour Keynes de l'actif le moins risqué car la monnaie n'est pas négociable sur un marché) = un ajout keynésien non reconnu par les classiques. pour motif de finance A cause du motif de spéculation

empruntent peu par peur de l’avenir, par ex la BCE a lancé une opération nommée « TLTRO’S » pour faciliter les crédits aux banques pour financer l’économie réelle. Résultats : 80 milliards seulement accordés sur une somme prévue entre 100 à 400 M. Friedman précise que la Conso se réalise à partir du revenu permanent….. Baisse des prix = comment ? en baissant la TVA (pas possible en Europe ou peu), en baissant les coûts de revient, avec plus de concurrence. La loi Macron prévoit justement plus de concurrence

tâtonnement va permettre de parvenir à l’équilibre qui est défini par l’intersection des courbes d’offre et de demande (Pe, Qe). La théorie de l’équilibre général présuppose que les acteurs de l’économie sont des agents économiques parfaitement rationnels qui recherchent la maximisation de leur utilité (leur satisfaction) en d’autres termes, ils correspondent à un personnage imaginaire appelé l’Homo Oeconomicus. Cette approche de la rationalité sera critiquée par Herbert Simon, prix Nobel d’économie

chômage liées aux structures économiques et sociales dont 02 feront l’objet de notre étude. La première concerne le chômage naturel dont M. Friedman (1912-2006) en a parlé en 1968 dans son discours à l’AEA. Pour lui, le taux naturel du chômage sert à mesurer la proportion d’actifs qui ne parviennent pas à trouver d’emploi dans les conditions normales. M. Friedman critique les politiques Keynésiennes de relance afin de réduire le chômage et estime qu’elles n’ont pas d’effet durable sur ce dernier mais

II.2) La réinterprétation de Friedman : la courbe de Philipps augmentée………….. II.3) Les anticipations rationnelles et l’inutilité des politiques économiques……….. II.3.1) Définition et propriétés des anticipations rationnelles……………….. L’absence de biais des anticipations rationnelles………………. Propriété d’orthogonalité des anticipations rationnelles……….. La cohérence des anticipations rationnelles…………………….. II.3.2) Les implications

estiment que les prix sont relativement rigides à court terme. De ce fait une hausse de la quantité de monnaie, loin d’agir uniquement sur le niveau des prix, provoque la baisse du taux d’intérêt, donc la hausse du niveau d’investissement. Milton Friedman conteste cette conception qui l’avait emporté après guerre. Il estime que l’effet des variations de la quantité de monnaie sur la production cesse dès que se dissipe l’illusion monétaire : les agents se rendent compte rapidement que la hausse de