Friedman Anticipation Rationnelle

contredire les faits. Ces rationalisations viennent ex-post et parfois les explications disparaissent alors que la corrélation dure toujours. Expliquer ne suffit pas, il faut avoir la bonne explication. Nous vivons dans un monde des anticipations rationnelles (néo-néo-classiques) : les explications données aujourd’hui sont meilleures, or elles ne sont pas fondées empiriquement. Ex : l’équivalence Ricardienne, et les marchés financiers. Le postulat des prédictions : les agents ne font pas

du revenu à la consommation future ⇨ Friedman établit les fondements microéconomiques des comportements de consommation sur la base des choix intertemporels du consommateur (A Theory of Consumption Fonction, 1957). 1) Les fondements microéconomiques de la fonction de consommation et ses implications ⇨ Calcul de la répartition optimale de la consommation dans le temps, sous contrainte d’un montant de ressources donné. Pour Friedman, Yt= YP+YT (avec Yt =revenu effectif

donnée d’encaisse nominale. Par définition, l’encaisse réelle = ?? ? 1 avec P = le niveau général des prix ou ?? ∗ ? avec P : prix de la monnaie  quantité de biens et services que l’on peut acheter avec une unité monétaire. Si les agents sont rationnels, ils ne sont pas victimes de l’illusion monétaire, leur demande de monnaie sera plutôt une demande d’encaisse réelle. La demande de monnaie : on fait référence à la quantité moyenne de monnaie que désire détenir un agent économique sur une période

rentable sans | |préconiser? |des biens et services et |nécessaire, celui-ci doit |pour autant décourager la | | |surtout du marché du |modifier les anticipations |demande des ménages par une | | |travail : flexibiliser, |des entreprises et pratiquer des |baisse des salaires nominaux ou | | |déréglementer

Réinterprétation de la courbe de Phillips par Friedman Le premier à fournir une explication de ce nouveau phénomène économique est Milton Friedman, économiste américain étant contre les théories Keynésiennes et précepteur du renouveau libéral essentiellement en macroéconomie. Selon lui, la stagflation est le résultat des politiques Keynésiennes. Il fait donc une remise en cause de l’idée que la lutte contre le chômage peut se faire en jouant sur le niveau des prix. Friedman critique la courbe de Phillips en

visée explicative des phénomènes de crises de l’activité économique. Milton Friedman s’attaque notamment à la crise du marché de l’emploi au travers son concept de chômage naturel. La problématique réside essentiellement dans l’hétérogénéité du mouvement monétariste qui est composé d’une multitude de courants minoritaires et qui aboutissent parfois à des conclusions fortement différentes du modèle majoritaire de Friedman. L’école autrichienne a souvent été assimilée à l’école néo-classique affirmant

n’être que la conséquence du besoin en moyens de paiement, et les facteurs monétaires perdraient leur pouvoir explicatif du mouvement des prix, en devenant au contraire une conséquence de ceux-ci. B. Milton Friedman et les monétaristes Après la Seconde Guerre mondiale, Milton Friedman va mettre en avant les déterminants de la demande de monnaie et abandonner l’analyse dichotomique des classiques. Néanmoins, il affirme que « l’inflation est toujours et partout un phénomène monétaire », dont

les années 70, l’apparition de la « stagflation » (qui entraîne la coexistence d’un fort chômage et d’une forte inflation) a fait disparaître la relation statistique. La théorie a donc dû évoluer, faisant notamment appel à la théorie des anticipations rationnelles. Il apparaît donc intéressant de comprendre quels sont les mécanismes économiques qui lient chômage et inflation, avant de voir pourquoi la relation de Phillips a été vigoureusement remise en question par les monétaristes et les

ou sortir du marché; - la transparence du marché: toutes les informations doivent être parfaitement disponibles afin de pouvoir faire jouer la concurrence. * Les agents économiques sont des « Homo oeconomicus », c’est-à-dire des individus rationnels qui cherchent à maximiser leur profit s’ils sont producteurs et à maximiser leur satisfaction s'ils sont consommateurs. Ils disposent d'une information parfaite; ils sont donc capables de décider en connaissance de cause et de prévoir les conséquences

nominal, baisse du salaire réel et baisse du chômage ............................ 12 4) Répartition et chômage ......................................................................................................... 13 2. La critique de Friedman ............................................................................................................. 13 3. Les salaires chez les nouveaux classiques et chez les nouveaux keynésiens ............................ 15 1) Les rigidités