Friedrich Hegel

les objets ordinaires sont beaux (« l’ignoble me plaît, c’est le sublime d’en bas »). Par ailleurs, il y a plusieurs visages du beau. En effet, il faut différencier la beauté artistique et naturelle. Mais laquelle est un modèle pour l’autre ? Pour Hegel, le beau artistique est supérieur au beau naturel car l’art est spirituel alors que la nature est matière. Ainsi, pour lui, tout ce qui vient de l’esprit est supérieur à la nature. Cependant, d’après Kant¸ il faut trouver une articulation entre les

Camélia Pigeon Premièrement, dans l’œuvre de Gélinas, les valeurs traditionnelles canadiennes-françaises sont très présentes et très strictes. Dans la famille Désilets, la religion est très importante. La tante Clara fait ressentir à Marie-Ange, après que celle-ci ait refusé l’invitation de Léopold Vermette, que son Tit-Coq ne vaut peut-être pas la peine d’être attendu : «(…)  Au contraire, ça se pourrait qu’il te revienne ton Tit-Coq. Pour le peu que j’en sais, il m’a l’air d’un petit gars de promesse

Le bien de l'humanité contre ou pour la religion? Selon le texte de Schopenhauer, Philalèthe et Démophèle nous illustre différents arguments sur le coté positif et négatif de l’impact de la religion sur l’humanité. Le texte qui suit représentera quelques aspects invoqués dans la conversation entre les deux hommes. Démophèle nous donnera son avis sur les biens faits, tandis que Philalèthe nous illustrera les mauvais aspects de la religion ainsi que le dégout que cela lui procure. Démophèle

« La nature, dit Kant, évoque surtout les idées du sublime par le spectacle du chaos, des désordres les plus sauvages et de la dévastation, pourvu qu’elle y manifeste de la grandeur et de la puissance » (Critique du jugement, §23). Dévastation, grandeur et puissance : il n’y a vraiment pas de quoi rire. Dans le cas du sublime dynamique, Kant va jusqu’à dire que le sublime a toujours quelque chose de terrible et que, s’il ne l’excite pas directement, il évoque du moins la crainte. « Des rochers audacieusement

conscience et de la liberté (Descartes, Kant, Hegel, Husserl, Sartre = humanisme, idéalisme et phénoménologie), malgré leur variété, par-delà leurs points de divergence, partagent toutes une certaine vision de l'homme : à la différence de l'animal, non seulement l'homme est un être conscient de lui, mais il est également un sujet capable de s'autodéterminer, doté donc d'une véritable liberté, ces deux caractéristiques faisant de lui une "valeur absolue". > Hegel. La faculté de penser dont il dispose en

Pour Kant, la fin de l’être humain est de « penser par soi-même », comme l’indique la devise des Lumières selon lui : « Ose te servir de ton propre entendement ». Ce n’est donc plus à des autorités extérieures (religion, société, pouvoir politique, etc…) de définir à la place de l’être raisonnable (l’homme) ce qui est bien ou mal. C’est en lui-même, en sa propre conscience, que l’être humain doit chercher la réponse à ses interrogations d’ordre moral. Ce qui ne signifie pas pour autant faire ce que

des hommes par les hommes. Il veut en finir avec le projet cartésien, la Nature n'est pas inépuisable. (M. serres "Le contrat Naturel") 3-) Travail et libération. a) La dialectique tu maitre et de l'esclave (Hegel). Passage de "La phénoménologie de l'esprit" Chapitre 4. Hegel considère que le conflit est la relation primordiale, primitive a autrui. (Le moi s'oppose au Non-Moi) Ce conflit est dialectique => Ce n'est pas une fin, mais une étape nécessaire vers la réconciliation, la reconnaissance

Introduction à la Petite Logique in Morceaux choisis (Gallimard) de Hegel. Citation : « L'on trouve dans la préface de la Philosophie du Droit ces propositions : Ce qui est rationnel est aussi réel, et ce qui est réel est aussi rationnel. Ces propositions bien simples ont été vivement attaquées [...] Mais en ce qui concerne leur signification, pour la bien saisir, il faut se pénétrer de ce principe que Dieu est la réalité la plus haute et la seule réalité, et que, relativement à la forme, l'existence

personnes. D’autre part, pour que j’aie vraiment raison, il faut que l’autre le reconnaisse, il faut donc le convaincre sinon cela ne sert à rien : ma raison est donc dépendante de l’agrément d’autrui et de mes capacités à convaincre et comme la dit Hegel : « même le maître ne tire son pouvoir que de la reconnaissance de son esclave, sinon, il ne lui sert à rien. » La liberté de penser invite à considérer que toutes les opinions sont recevables, pourvu qu’elles soient argumentées, il serait donc injuste

On peut même dire que la conscience du caractère subjectif du savoir est aussi le savoir de l'insuffisance du savoir (rejoignant l'ignorance docte), savoir du négatif et savoir qu'on ne peut dépasser son temps ! En effet, la philosophie, pour Hegel, doit être scientifique ; elle doit donc être nécessaire et circulaire. L'absolu est circulaire, cela signifie que le système revient à son point de départ ; mais la différence avec les sciences, c'est que la philosophie rend compte du sujet qui l'énonce