Friedrich Hegel

et l'antagonisme du subjectif et de l'objectif, et Fichte, qui était tombé dans un idéalisme purement subjectif, Hegel admettait comme Schelling l'unité absolue de toutes choses, l'identitédu sujet et de l'objet; mais, tandis que Schelling, pour expliquer comment tout dérive de cette unité, prend son point de départ dans l'absolu, qui lui est révélé par une intuition immédiate, Hegel part de l'idée, et prétend, par la seule force de la dialectique, faire sortir de l'idée toutes choses, l'absolu,

monarchie, l’élève, la maintienne, la précipite» Causes de la décadence des mœurs : corruption des mœurs, étendue de l’empire romain 3. Hegel dans La Raison dans l’Histoire posthume 1831 : La raison progresse, apprend de plus en plus de choses sur elle-même. Le développement de la Raison ou de l’Esprit qui apprend à se connaître de plus en plus. Hegel parle de ruse de la raison pour désigner les « grands hommes » : la raison se sert des grands hommes pour progresser (Napoléon, Alexandre, César)

soi ? Celle-ci ne désignerait donc plus simplement un fait brut qui s’impose à la pensée, mais bien plutôt le terme d’une entreprise éthique ; il faut prendre conscience de soi, et cela sur un mode de libération. Dans l’introduction de l’Esthétique, Hegel entend justement montrer que la conscience de soi ne se réalise peut-être pas seulement dans une dimension réflexive, et par conséquent subjective, mais aussi et, peut-être, surtout, dans un dimension pratique et objective. La conscience de soi désigne-t-elle

Introduction Comment peut-on évaluer la moralité d’une action? D’abord par définition, la morale est la nature du bien, elle se rapporte à la conduite l’homme envers autrui, lui-même et la société. C’est grâce à cette morale, que l’on peut savoir si notre action ou conduite est bonne ou mauvaise. Et l’action se définit par les actes et les agissements. Mais comment peut-on juger notre action si elle est bonne ou mauvaise? Comment peut-on savoir si notre action est qualifiée de morale? Pour répondre

illusion, un monde fantastique produit par notre imaginaire, dans lequel l’individu se réfugie pour oublier sa propre misère (« la religion est le soupir de la créature opprimée » dit-il dans ce fameux passage de la Critique de la philosophie du droit de Hegel (1843) d’où est extraite la formule. La pensée marxiste s’inscrit en effet d’emblée dans un athéisme critique qui définit la croyance religieuse comme une fiction et une aliénation. La religion exprime bien une attente humaine, révèle une détresse

Emmanuel Kant (Immanuel en allemand) est un philosophe allemand, fondateur de l’« idéalisme transcendental »[1]. Né le 22 avril 1724 à Königsberg, capitale de la Prusse-Orientale, il y est mort le 12 février 1804. Grand penseur de l'Aufklärung, Kant a exercé une influence considérable sur l'idéalisme allemand, la philosophie analytique, la phénoménologie et la philosophie postmoderne. Son œuvre, considérable et diverse dans ses intérêts, mais centrée autour des trois Critiques, à savoir la Critique

tertiaires (juin 2013). Pour améliorer la vérifiabilité de l'article, merci de citer les sources primaires à travers l'analyse qu'en ont faite des sources secondaires indiquées par des notes de bas de page (modifier l'article). Selon une interprétation d' Hegel dans La Phénoménologie de l'Esprit, la dialectique du Maître et de l'Esclave  : l'esclave est l'être qui, transformant la Nature, accède à l'objet dans son côté actif et passif. Le maître, qui pour sa part ne travaille pas mais fait réaliser vit immédiatement

concurrence, vouloir être supérieur à l’autre dans l’état de culture  Violence de domination Freud Violence du complexe d’Œdipe (le petit garçon veut sa mère pour lui tout seul, le papa est de trop)  Violence de possession,(violence de domination). Hegel -L’homme est un animal en colère. Risquer inutilement sa vie pour rien (pour être reconnue) ; combat à mort de 2 consciences ; fierté du vainqueur ;…  Violence de domination, autoviolence. Girard Désir de mimétisme, on veut ce que possède l’autre

Dans Ville, plusieurs mondes se confrontent. Il y a d’une part le monde occidental. Ensuite, il y a cette métropole « crue » qui est la résultante d’une évolution sans morale et sans religion. L’un et l’autre des mondes sont réducteurs, et profondément tristes. C’est donc un texte-écueil que nous propose Rimbaud. La Révolution de l’amour qui est réaffirmée à la conclusion est nécessaire puisqu’il ne peut y avoir de villes nouvelles sans hommes nouveaux. L’amour à réinventer transformera l’homme et

indéterminée et vide, elle n'en est pas au mot. Si la vraie pensée est la chose même, le mot l'est aussi lorsqu'il est employé par la vraie pensée. Par conséquent, l'intelligence, en se remplissant de mots, se remplit aussi de la nature des choses. » Hegel, Philosophie de l'esprit