Friedrich Nietzsche

Nietzsche a présenté une théorie tout à fait originale de la vérité. Il pose la question suivante : Pourquoi désirons-nous la vérité plutôt que l’erreur ? Autrement dit, pourquoi la vérité fait-elle l’objet de notre préférence et, plus encore, de notre vénération ? Cette question permet à Nietzsche d’affirmer que la vérité est avant tout une valeur. En ce sens, elle est directement dépendante des nécessités vitales. Si la réalité sensible a le plus souvent été considérée en philosophie comme le domaine

personne ou une chose, ce sont ses qualités esthétiques qui servent de déclencheur. Une femme , un homme ou un tableau attirent d’abord par leur beauté. Les différents degrés de l’amour, de l’amitié à l’amour, dépendent d’ailleurs de la beauté. Nietzsche disait ainsi que ce qui distingue l’amour de l’amitié, c’est un détail physique. 2. L’amour véritable est donc finalement assez superficiel car comme le dit Pascal, on n’aime jamais que des qualités. Que ce soit la beauté ou l’intelligence ou la

cesse dès que le besoin est satisfait. Or il n’en est rien puisque l’énergie et le temps consacrés au travail dépassent, et de loin, la stricte obtention de ce qui est nécessaire, que ce soit dans le cadre de la survie, mais aussi celui du confort. Nietzsche s’est attaqué plusieurs fois à l’idéologie dominante plaçant l’activité pénible au centre de la vie humaine. Dans un passage de Humain, trop humain, il tente justement de préciser quelles sont les véritables motivations du travailleur. Satisfaire

Bovary qui s’est rendu malade d’aimer, mais qui a tout de même réussi à passer à autre chose. Car même si l’amour peut parfois faire du mal, c’est se montrer mature de réussir à se servir de ses erreurs pour mieux avancer. Une citation très connue de Nietzsche affirme que « tout ce qui ne tu pas, rend plus fort », car il ne devrait pas être possible de mourir d’amour, mais juste au contraire de savoir évoluer, pour affronter sa peine. Car une vie sans amour paraît fade et d’une tristesse sans nom, où

ne mentionne t’il pas la religion ? Pour savoir cf : Ethique « l’appendice » * Analyse de la superstition sur un point de vue politique (texte de Nietzsche) * Partie explicative : ne pas beaucoup parler de la religion, on à de la religion une idée sur laquelle il faut dire quelque chose mais ce n’est pas le sujet principal ici. * Nietzsche : le mot superstition ne désigne pas des croyances mais une certaine manière de penser * La raison n’est pas donné à l’homme, la raison est en nous

Allez tranquillement parmi le vacarme et la hâte, et souvenez-vous de la paix qui peut exister dans le silence. Sans aliénation, vivez autant que possible en bons termes avec toutes personnes. Dites doucement et clairement votre vérité ; et écoutez les autres, même le simple d’esprit et l’ignorant ; ils ont eux aussi leur histoire. Évitez les individus bruyants et agressifs, ils sont une vexation pour l’esprit. Ne vous comparez avec personne : vous risqueriez de devenir vain ou vaniteux. Il

Bien sur, le système éducatif a bien évolué depuis le 16 ème siècle, et les oeuvres de Montaigne et Rabelais. Mais leurs avis sont toujours justes dans le système présent, car il est loin d'être parfait. Dans de nombreuses écoles, les élèves subissent ce que ces deux écrivains dénoncent clairement, le gavage du savoir. Dans la plupart des cas, les étudiants sont mal jugés par certains professeurs, soit surestimés ou alors sous-estimés. La liberté laissé au étudiants est quasi inexistante car elle

I. Origine et nature du stéréotype de la mère parfaite 1) Définition de la mère selon la société : la mère sacrificielle, dévouée, parfaite L’amour maternel est fondé sur la générosité car l’enfant oblige la mère à un dépassement de soi, donner le biberon, le changer… La mère doit être au petit soin avec son enfant, pour qu’il ne manque de rien, lui porter beaucoup d’attentions. Ce qui parfois sacrifié les occupations de la femme. 2) Une telle représentation morale de la mère car elle doit

que je deviens réel (à la différence du paresseux qui préfère se croire intelligent plutôt que de tester ses capacités et se rendre compte de son incapacité). C’est au contraire en allant à la limite de ses capacités que l’on les développe (cf. NIETZSCHE, « culte du génie par vanité »). Ce qu’il faut alors comprendre, c’est que les mêmes réalités qui apparaissent comme des obstacles permettent aussi de se libérer : ce sont des médiations. Ainsi, loin d’être servitude, le travail n’est-il pas plutôt

au cœur de nos réflexions. Tendance à vouloir formuler la philosophie: les avant-coureurs sont les avants gardes qui ont émergé au XXe S: mouvement dadaïsme, expressionniste et un peu picasso. (sur la défragmentation de la peinture, collage). Nietzsche, naissance de la défragmentation de la réalité. Comprendre le monde dans un miroir fragmenté. Perte de repère, de réel. Dé-fragmenter le réel → ne plus croire à ce que l'on croyait d'avant. Descartes, expérience du doute hyperbolique  « je doute