Friedrich Nietzsche

fin de la scène 2 Trivelin. - Ne m'interrompez point, mes enfants. Je pense donc que vous savez qui nous sommes. Quand nos pères, irrités de la cruauté de leurs maîtres, quittèrent la Grèce et vinrent s'établir ici, dans le ressentiment des outrages qu'ils avaient reçus de leurs patrons, la première loi qu'ils y firent fut d'ôter la vie à tous les maîtres que le hasard ou le naufrage conduirait dans leur île, et conséquemment de rendre la liberté à tous les esclaves : la vengeance avait dicté

voulons pas le faire, nous faudra-t-il faire face à la vérité ? C’est la question que je me suis posée et à laquelle je vais tenter de répondre. Je développerai d’abord la notion de bonheur pour ensuite me pencher sur la question de la vérité. Nietzsche affirme que nous nous laissons déjà « berner » par ce bonheur au quotidien sans même nous en rendre compte, sans même que nous nous posions la question. Contrairement à ce dernier et à Kant, mon avis est que le bonheur peut aussi tenir de la raison

1 : Les sentiments des soldats. ✘ Peur, nostalgie du foyer, « brutalisation » des esprits. ✘ Lassitude, découragement → Mutinerie de 1917 ( causes, effets, retour à la normale ) es tranchées étaient le théâtre de l'horreur, de l'attente de la mortLa mort est pour eux une présence constante. Ils se disent êtres des morts vivants, des enterrés qui rêvent d'être éjectés de la surface terrestre. Les hommes ne pensent plus, ils ont juste peur d'être pris pour des lâches. Après la haine la vengeance

A peine sorti du monde rassurant de son château en Westphalie, Candide vient d’être enrôlé de force dans l’armée Bulgare Candide, tout stupéfait, ne démêlait pas encore trop bien comment il était un héros. Il s’avisa un beau jour de printemps de s’aller promener, marchant tout droit devant lui, croyant que c’était un privilège de l’espèce humaine, comme de l’espèce animale, de se servir de ses jambes à son plaisir. Il n’eut pas fait de lieues que voilà quatre autres héros de six pieds qui l’atteignent

« Posséder le mécanisme des phénomènes chez l'homme, montrer les rouages des manifestations intellectuelles et sensuelles telles que la physiologie nous les expliquera, sous les influences de l'hérédité et des circonstances ambiantes, puis montrer l'homme vivant dans le milieu social qu'il a produit lui-même, qu'il modifie tous les jours, et au sein duquel il éprouve à son tour une transformation continue.» Ces lignes du Roman expérimental (1880) enferment toute la doctrine naturaliste. Zola

crois, au contraire, que c'est la seule attitude qui envisage la mort avec sérieux, et non pas d'une manière frivole. Ce sont les gens d'en face, les croyants des religions, qui ne sont pas sérieux, qui ravalent la mort au sens d'un événement. Nietzsche : Les bonnes idées sont celles qui viennent en marchant … il existe au monde un chemin sans autre pareil et que nul ne peut frayer, toi excepté. Où mène-t-il ? Ne le demande pas. Suis le. " N'a de convictions, dit cioran, que celui qui n'a rien

seulement par propre intérêt, on veut satifsaire son bien etre a soi. Ici autrui est utilisé comme propre moyen pour satisfaire ses désirs, ce qui ne pourra pas favoriser la connaissance d’autrui car cet amour est utilisé seulement par intérêt. Selon Nietzsche «  dans la plupart des amours, il y en a un qui joue et un autre qui est joué » c’est alors un amour non réciproque. L'amour non partagé, ou amour non réciproque, est le cas où une personne éprouve un désir amoureux à l'égard d'un autre individu

Les oeuvres de Nietzsche sont essentiellement une critique de la culture occidentale. Ainsi il a été amené a s'interesser au Christianisme. Dans l'Insensé il aborde donc le thème de la relation entre l'Homme et la religion. Pour cela il utilise la parole d'un personnage qui apparait comme délirant. Le philosophe athé évoque dans ce texte le fait que si Dieu est mort, c'est parce que l'Homme l'a tué. On peut alors se demander quel role donne Nietzsche au personnage insensé qui s'exprime ? Ce texte

Il m'avait déçut plus que je lui en croyait capable, tout sa alors ne signifiait vraiment rien pour lui . Que des souvenirs qui peut être gardera t- il en mémoire mais qui sait, sa se trouve il l'est a déjà effacés . Voilà maintenant j'était seule . Il ne m'adressait plus la parole et moins non plus d'ailleurs . A prêt tout pourquoi était ce moi qui devrait faire le premier pas ? On n'a pas habitué aux garçons de le faire ? J'était la victime dans tout sa et lui l'assassin , oui on peut dire sa comme

liberté et donc de son unicité. En de cette dictature l'homme se croyait emprisonner dans les pensées de l'église et pensait donc ne plus pouvoir agir seul c'est à ce moment est arrivé un délai de pensée conductrice du XIXe siècle du philosophe Nietzsche « Dieu est mort nous l'avons tué ». dieu étant considéré comme l'emblème de l'interdit l'homme a décidé de le rejeter pour prendre sa place et donc être lui même au pouvoir.