Friedrich Nietzsche

* Texte 1 : Ouverture du roman : le nœud de Vipères. * * * Quel est le style choisi par Mauriac ? * * Dans cet incipit, Mauriac présente un homme, un homme dont la haine envers sa famille est telle qu’il décide de leur rédiger un lettre à lire posthume. C’est le contenu de cette lettre qui est présent dans cet incipit. * * Le style choisi par Mauriac dans cette lettre est assez particulier car il transcrit à l’écrit la haine d’une personne. Cette haine est assez

Entre Rome et Albe, une guerre éclate, qui commence à s’éterniser. Les deux villes nomment trois champions chacune : Rome désigne les frères Horace et Albe, les frère Curiace. Mais ces derniers sont beaux-frères et amis. Le combat débuta et deux des frères Horace furent tués, tandis que les trois frères Curiace restèrent en vie mais blessés. Le dernier Horace, profitant de leurs blessures, les épuisa un à un et les tua. Rome fut donc vainqueur Albe, lui, devint une cité soumise. A Rome, tout le monde

 Métaphysique des tubes Amélie Nothomb Carnet de lecture 1ère Lecture Après réception du livre, j'ai de suite lu le résumé, qui est assez spécial à mon goût.. Mais intriguée je n'ai pas tardé à commencer ma lecture. M'attendant tout de même à utiliser mes neurones.. Amélie Nothomb a une vision de sa vie assez loufoque, et poussé dans ses explications. Elle compare sa vie à beaucoup de choses, bien qu'on dirait que pour elle, la vie ne

LE POÈTE Est-ce toi dont la voix m'appelle, Ô ma pauvre Muse ! est-ce toi ? Ô ma fleur ! ô mon immortelle ! Seul être pudique et fidèle Où vive encor l'amour de moi ! Oui, te voilà, c'est toi, ma blonde, C'est toi, ma maîtresse et ma soeur ! Et je sens, dans la nuit profonde, De ta robe d'or qui m'inonde Les rayons glisser dans mon coeur. LA MUSE Poète, prends ton luth ; c'est moi, ton immortelle, Qui t'ai vu cette nuit triste et silencieux, Et qui, comme un oiseau que sa couvée

n’est qu’une périphrase de l’amour de soi, peut-on alors véritablement parler d’amour , impliquant une ouverture à l’autre et une véritable relation entre deux êtres distincts et si l’amour de l’autre dissimulait une haine de soi, comme le suggère Nietzsche? . « Vous vous empressez auprès du prochain et vous exprimez cela par de belles paroles. Mais je vous le dis : votre amour du prochain, c’est votre mauvais amour de vous-mêmes. Vous entrez chez le prochain pour fuir devant vous-mêmes et de cela vous

 Discours de la servitude volontaire, Etienne de La Boétie. Le texte que nous avons étudié est un discours extrait du livre Discours de la servitude volontaire d’Étienne de La Boétie, rédigé en 1548, période de l'humanisme, durant laquelle l'homme et ses pensées, ses sentiments, sont exposées. et publié pour la première fois en 1574. Cet écrivain humaniste et poète français, né en 1530, écrit ce livre suite à la brutalité de la répression d'une révolte en 1548. Il y expose la servitude volontaire

Synthèse : « La guerre et ce qui s'ensuivit » Ce document est un poème, extrait du « roman inachevé » s'intitulant « La guerre et ce qui s'ensuivit ».Ce poème est écrit de manière régulière, en 6 quatrains d’alexandrins dont les rimes sont embrassées. Ce poème a été conçut après la 1ere guerre mondial et a été écrit par Louis ARAGON en 1956. Problématique : Nous allons voir quel regard l'auteur porte sur l'histoire de la 1ère guerre mondial ,la compassion et le devoir de mémoire que

« Le courage croît en osant et la peur en hésitant. » « Si vous avez confiance en vous-mêmes, vous inspirerez confiance aux autres. » « La confiance en soi est le premier secret du succès. » « La volonté permet de grimper sur les cimes ; sans volonté on reste au pied de la montagne. » « Les volontés faibles se traduisent par des discours ; les volontés fortes par des actes. » « On dit que le désir naît de la volonté, c'est le contraire, c'est du désir que naît la volonté. Le désir est fils

chercherait à me corrompre ou à me faire agir contre mon gré. Alain ne prétend pas ici que l’homme est entièrement transparent à lui-même, mais il lui semble qu’affirmer l'existence de l’inconscient, c’est refuser sa place à la volonté. Contrairement à Nietzsche, Alain affirme : « Je veux ce que je pense ». Faire l’hypothèse de l’inconscient, c’est nier le primat et la force de la volonté. Une telle attitude revient alors à excuser chacun en faisant appel aux pulsions, c’est-à-dire au corps, ou au passé

Lecture analytique n°3 : Le lamento du jardinier Electre , Entracte. [...] C’est cela que c’est, la Tragédie, avec ses incestes, ses parricides : de la pureté, c’est-à-dire en somme de l’innocence. Je ne sais si vous êtes comme moi ; mais moi, dans la Tragédie, la pharaonne qui se suicide me dit espoir, le maréchal qui trahit me dit foi, le duc qui assassine me dit tendresse. C’est une entreprise d’amour, la cruauté... pardon je veux dire la Tragédie. Voilà pourquoi je