Froid industriel

son chien, et son chat. Un Mariage ne luy coûte rien à contracter, il ne se sert point d'autres pieges pour attraper les belles, et c'est un épouseur à toutes mains, Dame, Demoiselle, Bourgeoise, Païsane, il ne trouve rien de trop chaud, ny de trop froid pour luy ; et si je te disois le nom de toutes celles qu'il a épousées en divers lieux, ce seroit un chapitre à durer jusques au soir. Tu demeures surpris, et changes de couleur à ce discours ; ce n'est-là qu'une ébauche du personnage, et pour en achever

J’observe un grand mur bleuté Qui n’est en rien du tout banal Avec des vagues attelées Rappelant le bruit d’un cheval Ce beau et grand mur vertical Offre un très grand réconfort Comme un bon bol de céréales Ici, c’est le parfait accord Ton regard ardent et percé Transforme surtout mon moral Je te regarde tout l’été Près de cette rive astrale Je vois courir ces vandales S’éloignant sachant leur grand tort Je sais que tu les achales Avec ton bruit de sax ténor Un grand saut, tu dois

Réfrigérateur Net en Litres: 205 Volume du Congélateur Net en Litres: 68 l Classe Energétique: A Consommation Energétique Annuelle en kWh: 310 Décoration Porte: Standard Devant et Côtés Tout Inox: Non Ecran: Non Contrôle Séparé de la Température: Non Froid Ventilé Total: Non type de dégivrage: Automatique Distributeur d'Eau: Non Fabrique de Glace Automatique: Non Bar Intégré: Non traitement anti-bactérien: Non Nombre de Zones: 2 Type de Clayettes: Verre Classe Climatique: N (+16°C et +32°C)

reprenaient de plus belle, un frisson la parcourut. Elle respira, puis se mis à trembler, les battements de son cœur s’accélèrent, elle transpirait, prise de panique et de sueur froide, Marie-Jeanne tenta de se calmer. Elle prit une profonde inspiration puis se tint le ventre à deux mains, posa sa tête contre le hublot froid, demanda une compresse, mais rien n’y fit : la douleur persistait. C’était pire que l’enfer, elle avait l’impression que chaque goulée d’air lui raccourcissait la vie, comme si

Le vent fait tourbillonner les flocons d’une blancheur immaculés sur ce fond sombre. Son cœur s’accélèrent, elle l’entend battre dans sa tête, trop vite, trop fort. Enfin elle s’arrête, Se laisse tomber à terre. Les joues rosies par l’effort et le froid glacial qui envahit son corps. Elle enroule ses bras autour d’elle, plongées dans des pensées sombres de son esprit. Elle se balance. Avant, arrière. Elle veut oublier. Une larme roule le long de sa joue. Avant, arrière. Elle pense que plus rien ne

son chien et son chat. Un mariage ne lui coûte rien à contracter ; il ne se sert point d'autres pièges pour attraper les belles, et c'est un épouseur à toutes mains. Dame, demoiselle, bourgeoise, paysanne, il ne trouve rien de trop chaud ni de trop froid pour lui ; et si je te disais le nom de toutes celles qu'il a épousées en divers lieux, ce serait un chapitre à durer jusques au soir. Tu demeures surpris et changes de couleur à ce discours ; ce n'est là qu'une ébauche du personnage, et pour en achever

-repérer les éventuels signes de ‘’maltraitance’’. Les aides à la toilette que j’effectue sont souvent des toilettes complètes, suivant la saison je fais attention à maintenir une bonne température dans la salle d’eau, pour que la personne n’ais pas froid, puis je me lave les mains jusqu’aux poignets, puis je vais chercher des changes vêtements et protections si nécessaire, je vérifie que tout est là produits, gants, serviettes, siège, tapis, je vérifie la température de l’eau, et suivant les cas, j’aide

personne de la famille n’y était jamais allé. Cette dernière était une femme sale, méchante, pingre, analphabète et même meurtrière. Elle mènera la vie dure aux jumeaux. Chez leur grand-mère, ceux-ci vivront la guerre, la privation, la souffrance, le froid, la faim, sous forme d’exercices qu’ils s’auto-infligent parfois et qu’ils subissent parfois. Ils font eux-mêmes leur propre éducation en lisant la Bible et en faisait l’étude du dictionnaire. Ils se pratiquent la rédaction en écrivant tous les évènements

« les interdictions sont innombrables », où les rêves et les souvenirs sont rapidement refoulés car ils sont source de souffrance morale et que « penser ce n' [est] pas sage », où l'espoir d'un lendemain est avorté dès le début, et où la faim, le froid, la souffrance, la peur, la fatigue font désormais partie du quotidien. Quotidien d' hommes qui ne se considèrent finalement même plus en tant que tel. On apprend alors la vie du Lager, que l'auteur qualifie de « monstrueuse machine à fabriquer des

je me lance dans cet incroyable périple saccadé qu'est devenu l'amitié.  Tu me manques. Depuis que je suis partie, plus rien n'a de sens. Sans toi, tout me parait être un vide inconsolable. Les photos de notre relation ont disparues dans un vent froid et humide, presque irrespirable. J'attends patiemment que nous nous recontactions, comme auparavant, comme dans notre enfance. Glacée par la froideur de l'univers, je ne fais qu'être assise, regardant le mur. C'est stupide, stupide d'être semblable