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francophones sont par exemple inconsciemment attachés à cette conception du nationalisme1, il faut une volonté de vivre ensemble pour constituer une nation. La nation serait donc un fait de la conscience collective. Cela implique que les volontés populaires doivent pouvoir s’exprimer. Donc cette manière de voir la nation ira de paire avec une volonté de démocratisation des sociétés. On marque la volonté d’avoir au moins un régime représentatif et démocratique. Est-ce que la volonté suffit ? On pourrait

décolonisation Le temps des dominations coloniales ................................................... 146 La décolonisation................................................................................... 158 THÈME CHAPITRE CHAPITRE 5 10 11 Les Français et la République La République, trois Républiques .......................................................... 173 La République et la société en France .................................................. 190 © Hatier, 2011 ISBN : 978-2-218-95358-3

130 Colonisation et décolonisation Le temps des dominations coloniales ................................................... 146 La décolonisation................................................................................... 158 THÈME 5 Les Français et la République CHAPITRE 10 CHAPITRE 11 La République, trois Républiques .......................................................... 173 La République et la société en France .................................................. 190 © Hatier,

Charlotte ALLÉGRET Institut Universitaire et Technologie II Département Carrières Sociales Université Pierre Mendès France, Grenoble Juin 2008 DE L’ÉDUCATION POPULAIRE Á L’ÉDUCATION Á LA CITOYENNETÉ DIRECTEUR : Elsa GUILLALOT Professeur de Sciences Politiques Remerciements _____________________________________ En préambule à ce mémoire, je souhaite adresser ici tous mes remerciements aux personnes qui m'ont apporté leur aide et qui ont ainsi contribué à l'élaboration de ce mémoire

données pour proposer une lecture du passé qui vise à l’objectivité et donc à être admise par tous et enseignée. Il peut y avoir compétition entre histoire et mémoire : un Etat a sa propre politique mémorielle en fonction d’objectifs du présent ; les attentes de mémoire portées par des groupes exercent souvent des pressions sur le travail des historiens, les deux n’étant pas toujours conciliables. Comment l’historien doit-il se positionner dans le débat public ? Tout cela renvoie à la réflexion sur la

celle-ci devient un fait social institutionnalisé et banalisé. La grève est une pratique, à la fois stable et mouvante. Elle exprime un «  nouveau type de sociabilité fondé sur l’antagonisme des classes sociales » (Y. Lequin, Histoire des Français XIX e -XX e siècle ) et se manifestent de différentes façons, que ce soit par la lutte et donc par la violence, la fête ou la négociation - autant d’éléments a priori antinomiques qui sont en fait chacun la partie d’un tout de cette

société. approche économique : il y a ceux qui produisent des richesses, et ceux qui n’en produisent pas. approche sociologique : d’un coté les hommes, d’un autre les femmes, les jeunes, les personnes âgées ... approche nationaliste : les français, les étrangers Avant 1789, l’approche était fonctionnelle : la société était divisée en 3 fonctions: la fonction spirituelle : le clergé qui était chargé de faire respecter les valeurs de l’Eglise, et tout le monde devait se plier à ces

notre société et, sont au centre de nombreux débats. En termes d’orientations politiques, l’Etat considère actuellement les notions de sport et de santé comme étant étroitement liées. Ce rapprochement semble s’inscrire dans les représentations et les attentes de la société française. En effet, au XXème siècle, les grandes orientations gouvernementales en matière de sport, se sont progressivement inscrites dans des enjeux identifiables qu’elles ont participé à délimiter : santé et hygiène publiques, encadrement

par des forces populaires (révolutionnaires) car il veut être reconnu par l’aristocratie. La Prusse était le seul à pouvoir aider car très puissants, après l’Autriche. Donc, révolution ne viendra pas du peuple, mais des élites. Les élites aristocratiques vont reprendre plus tard la révolution à leur avantage. Mais réticence car aristocratie représente la droite conservatrice et les masses populaires sont associés à la gauche que la droite déteste. De plus, les masses populaires sont peu instruites

radical, en faisant parti du mouvement « Jeunes Turques », jeunes radicaux ayant chercher en vain à rénover le parti durant l’entre deux guerres. Le clivage gauche droite traverse ce groupe. Pierre fait parti du l’aile gauche. Il souviendra le front populaire en 36. (qui divise à l’époque le parti). Il exercera le poste de sous secrétaire d’état au trésor dans le second et éphémère gouvernement Blum. Il part à bord du Massillia en 40. Il sera arrêté par Vichy, et condamné à 6 ans de prison, pour désertion