Fuir La Réalité

misérable, qui se complaît dans des basses occupations, indignes des créatures de dieu. Les activités des hommes sont présentées négativement par Pascal. En effet tout ce que les hommes considèrent comme des activités nobles et importantes ne sont en réalité que de basses agitations. A plusieurs reprises il utilise des négations pour montrer la vanité de toutes ses actions : « on n'achète, on ne recherche, etc. » Le fait qu'elles soient toutes évoquées sur le même plan prouvent que Pascal les considère

thème des sociétés futuristes, elle nous décrit un monde qui semble « parfait », il n’y a pas de guerre, pas de maladies, pas de souffrances. Cependant le lecteur découvre au fil du roman le prix à payer pour cette « société parfaite ». Il d’agit en réalité d’une contre-utopie. Lois Lowry, l’auteur de ce livre, est une écrivaine Américaine de livres pour enfants née en 1937 à Honolulu (Hawaii).Enfant, elle est indépendante et solitaire et se réfugie dans les livres. Avec sa famille, elle déménage

TROIS ESPACES DE L’EXTÉRIEUR : MORT, FUITE, ÉVÉNEMENT L’Extérieur désigne l’étendue de la « non-tragédie » et s’étend sur trois espaces : 1 La Mort : mort physique ne peut pas être représentée car règle de la bienséance au théâtre, cela relève d’une réalité scandaleuse donc seules sont autorisées les sorties de scène qui sont pour le héros, d’une certaine façon, mourir, la mort Prut également être annoncée par un intermédiaire sur scène, ou bien usage de la souffrance mortelle c’est à dire que « la victime

la vie des deux amants. Effectivement quand Tristan place son épée entre lui et Iseult, le roi Marc le prend comme une preuve qu’ils ont été chastes, alors qu’en réalité ils sont amants. Il utilise donc l’épée pour manipuler un symbole, afin de cacher la vérité.On procède de la même façon pour le symbole de l'anneau

côtoie Valéry, Gide ou encore Claudel. On dit de cet homme qu’il a été l’inspirateur du symbolisme. Ce mouvement, par opposition au réalisme et au naturalisme, veux grâce aux symboles atteindre une vérité supérieure et abstraite caché derrière une réalité concrète. Nous étudierons ici, un poème de Mallarmé s’intitulant Brise marine qui traite de l’ennui du quotidien en développant l’idée de la vie contingente du poète et de son exclusion. Mais l’auteur nous présente également son envie de l’ailleurs

blème" Une femme qui incarne l'amour maternelle 3)Le refuge du poète a) Un réfuge pour fuir une réalité faite de solitude : omniprésence du "je" + exprimée par la répétitionde "seule" -> il regrette qu'il n'y ait qu'une femme qui l'aime et le comprend et qu'elle n'existe pas faite de souffrance : interjection "hélas" + atmosphère de la maladie "moiteur" "blème"-> le rêve permet de fuir une réalité d'ouloureuse b) Un poème pour vaincre la mort et l'oubli La Mort est évoquée à travers des

« Fabrice fut réduit à faire la conversation avec Fox le chien anglais ». Il est également rêveur : « Les rêveries de Fabrice furent interrompues », il cherche à s'évader, il désir fuir la réalité qui l'entour. De plus il n'est que peu valeureux car il refuse d’affronter les dangers qui l'entour en les fuyant : « Il se mit à fuir vers le rempart ». Il est représentant du mal car il est en prison, lieux associé à l'homme mauvais : « le prisonnier trouva le sommeil ». Enfin c'est un homme menteur, qui use

vie intérieure. Et pourtant le problème de l’objectivité retombe toujours. Qui plus est, lorsqu’un sujet dit qu’il se connaît, c’est uniquement parce qu’il a conscience de certaines de ses réactions, de ses opinions. Or connaître c’est chercher la réalité profonde, c’est trouver les causes réelles des faits. On suppose alors qu’un sujet pense que « se connaître » c’est uniquement s’arrêter aux apparences immédiates sans d’explications… « La connaissance de soi par soi est-elle envisageable ? » Autrement

rencontre chaque jour le lecteur pour devenir un modèle, un idéal. Dans ce cas, le personnage irréel devient un professeur, une voie à lui seul et permet à l’auteur de faire passer sa vision de l’homme idéal qui évidemment ne peut exister dans la réalité. Enfin, il ne faut pas oublier un des buts du roman qui depuis toujours a imprégné ce genre et qui pour beaucoup est son but premier : faire voyager. Un roman n’est-il pas une invitation à l’évasion ? N’est-il pas un moyen de quitter le quotidien

Irlande avec un parapluie : « Et le cœur de l’histoire, c’est le mal de vivre, c’est une longue interrogation sur le pourquoi de la vie . » Le mal de vivre du narrateur le pousse à fuir son identité et à la refuser. Dans cette perspective, nous tenterons d’expliquer comment, dans le voyage, le narrateur cherche à fuir une identité qu’il refuse. Ainsi, nous tâcherons de démontrer que ce refus est exprimé sur la base du vide de l’identité et par la suite, sur la base d’une identité ennuyante. Dans