Fumier

bien qu'il me reste un peu de la sagesse de votre grâce —répondit Sancho—. Les terres qui par nature sont stériles et sèches, en les fumant et en les cultivant, finissent par porter des fruits. Je veux dire que la conversation de votre grâce a été le fumier qui est tombé sur la terre stérile de mon esprit inculte; et sa culture, le temps depuis que je vous sers et je vous fréquente. Grâce à cela j'espère porter des fruits qui soient une bénédiction, de façon qu'ils ne soient pas indignes ni s'écartent

grands piliers de notre nation s’est éteint aujourd’hui. Accident de voiture qu’ils disent… Attentat terroriste oui ! Notre altesse royale est si belle, si gentille, si parfaite. S’ils ne l’aimaient pas, ils ne pouvaient que la jalouser. Ces fumiers. Cette pourriture de chauffeur n’a même pas été capable de contrôler correctement sa voiture. Et ces foutus mangeurs de grenouilles n’ont rien fait pour empêcher ce drame. Pourtant, elle vivait toujours lorsqu’ils l’ont emmené dans ce qu’ils osent

siècle. Voici 1 citations tirées de l’œuvre et illustrant bien le cadre ou se déroule l'histoire. « A l’époque dont nous parlons, il régnait dans les villes une puanteur à peine imaginable pour les modernes que nous sommes. Les rues puaient le fumier, les arrière-cours puaient l’urine, les cages d’escalier puaient le bois moisi et la crotte de rat, les cuisines le chou pourri et la graisse de mouton; les pièces d’habitation mal aérées puaient la poussière renfermée, les chambres à coucher puaient

avec horreur par les deux poètes. Dans Stances funèbres, Auvray l'évoque sous le champs lexical du répugnant. C'est ce que nous pouvons voir au début du cinquième sizain avec les mots suivants: "égout" vers 25, "cloaque vers 26, "infection" vers 26,"fumier" vers 27, "moisi" vers 28... autant de mots évoquant le dégoût sont utilisés pour décrire le corps. Auvray montre son horreur du corps en utilisant également d'autres procédés. Des vers 25 à 30, il utilise la personnification. De fait, le corps étant

triomphaux | |Tombaient; elle changeait en désert Babylone, | |Le trône en l'échafaud et l'échafaud en trône, | |Les roses en fumier, les enfants en oiseaux, | |L'or en cendre, et les yeux des mères en ruisseaux. | |Et les femmes criaient : -- Rends-nous ce petit être.

sur la campagne : aux blés et aux vergers du passé (strophes 2 et 4) s’est substitué un paysage souillé où « l’égout charrie une fange velue » (v.24), et l’agonie de la plaine contaminée par la pollution se mesure à travers la prolifération des « fumiers » et des « résidus » dressant « des monuments de pourriture » (v.30 et 33). La description adopte un registre naturaliste quand le poète énumère d’un ton quasi documentaire les déchets qui dégradent le paysage : « -Ciment huileux, plâtras pourris

l’opposition qu’il construit entre le sordide de la réalité quotidienne et l’idéal d’une vie rêvée. Ceci est montré a travers la nature qu’il parcourt. On voit une nature en fleurs, puis les masures , qui montre la misère et l’idée des pourceaux sur le fumier. Ceci ne renvoie pas ni a la beauté ni au rêve. « devant eux un essain de mouches volaient. On a de l’eau sale, des guenilles indistinctes, un marmot couvert de scrofules. Cette situation renvoie a du sordide. A l’intérieur, il y a du désordre, une

l'on dirait que tout tremble et recule, L'homme suivait des yeux les lueurs de la faulx. Et les triomphateurs sous les arcs triomphaux Tombaient ; elle changeait en désert Babylone, Le trône en échafaud et l'échafaud en trône, Les roses en fumier, les enfants en oiseaux, L'or en cendre, et les yeux des mères en ruisseaux. Et les femmes criaient : - Rends-nous ce petit être. Pour le faire mourir, pourquoi l'avoir fait naître ? - Ce n'était qu'un sanglot sur terre, en haut, en bas ;

incrustée d'une boue indélébile. Des doigts encroûtés, déviés en tous sens ; aux bouts usés et renforcés par des ongles plus épais, plus durs et informes que des sabots de je ne sais quelle bête ayant galopé sur des rochers, dans de la ferraille, du fumier, de la vase. ... Ces mains que m'man Tine lavait soigneusement chaque soir, plus méticuleusement encore le dimanche matin, mais qui semblaient avoir été passées au feu, battues au marteau sur une pierre, enterrées puis arrachées avec toute la

SHECHAGE DECHETS BROYAGA ET FUMIER DE BŒUF ET PORC TAMISSAGE EMBALLAGE PRODUITS FINIS Fig. n°6 : Processus de transformation. A- Collecte des déchets On collecte des déchets