Féministe Et Le Mariage

discriminations sexuelles concernant leurs droits comme l’ accès au travail, le droit au vote, entres autres. Dans les pays développés, les droits féminins sont majoritairement respectés (Europe, Australie, Amérique du Nord). Les revendications féministes entrent parfois en contradiction avec les normes religieuses et morales des sociétés .Mais dans de nombreux pays du tiers-monde, et également dans des pays conservateurs musulmans peu développés comme le Yémen, ou le Soudan, les différences sont

LES INEGALITES HOMMES-FEMMES Origines d'une évolution Le mouvement d'égalisation des droits entre les hommes et les femmes est assez récent. Il s'est notamment généralisé dans les sociétés occidentales dans les années 1960(mouvements féministes qui s'y sont notamment développés). Ce mouvement est plutôt resté circonscrit aux sociétés occidentales. Mais depuis peu, on peut voir des ébauches de mouvements en faveur des droits des femmes se diversifier dans le monde entier. On peut ainsi citer

l’évolution de la condition de la femme en Belgique. Celui-ci dévoile les nombreux combats qu’elles ont entrepris, leurs moyens utilisés, ainsi que les résultats obtenus. Pour ce faire, l’image de la femme sera analysée, de même que sa position dans le mariage, dans le travail, dans la politique et même dans leur intimité. Il sera donc intéressant de voir comment des femmes ont réussis à se battre des années durant, car il est incontestable qu’elles en avaient la force. 2. L’image de la femme : Durant

Le Personnage Moliéresque 1 Personnage construit autour d’une obsession centrale, dès le début du spectacle, le définit : - Arnolphe (L’École des femmes) vieux garçon, se gausse cocus, se vante ses précautions pour son mariage avec Agnès - Alceste (Le Misanthrope) refus de composer avec les règles sociales en criant à Philinte : «Laissez-moi, je vous prie.» - Argan (Le malade imaginaire), vérifie prise de médicaments 2 Avant entrée héros, autres personnages ont brossé portrait : Le Tartuffe

célèbres, et les plus importantes pour le mouvement féministe. En effet, ce long essai de 100 pages édité en 2 tomes a réussi à rétablir la vérité sur la situation de la femme en 1949, peu après le droit de vote des femmes ( 1944). Dans ce livre, Simone de Beauvoir révèle les différentes raisons de l’infériorité des femme dans la société et affirme que ce sont les hommes qui contrôlent le monde. Ainsi, la femme serait restreinte au mariage au mariage et aux enfants. Simone de Beauvoir répond à la question

Angleterre la constitution nationale révèle un aspect réfractaire à la séduction comme le confirme cet extrait : «  Toutes les femmes qui séduiront ou amèneront au mariage les sujets de la cours royale au moyen de parfums, peintures, dents postiches, perruques, rembourrages aux hanches et à la poitrine encourront le délit de sorcellerie et le mariage sera automatiquement annulé. » Constitution Nationale anglaise, XVIIIème. Cependant, des auteurs comme Choderlos de Laclos répandent des idées novatrices

un nom viager, ce nom n’est pas transmissible. Pourquoi ce texte ? Il a été adopté pour apaiser les revendications féministes : les intégristes du féminisme soutenaient que c’était « inadmissible » de ne transmettre que le nom du père, et qu’il fallait le soumettre au principe de l’égalité absolue. Le problème est que ce texte a produit l’effet inverse : les féministes ayant compris la supercherie, elles ont voulu faire une autre réforme (par Ségolène royal, le 4 mars 2002) L’attribution

obtenus pour les hommes a provoqué une “frustration relative” chez les femmes. Comment supporter des inégalités entre sexes lorsque la société défend l’égalité des hommes ? Cette frustration relative a fonctionné à plusieurs niveaux. Les mouvements féministes ont favorisé cette montée de l’égalité. Autrefois, la lutte des femmes était absorbée par la lutte du salariat pour améliorer les conditions de travail et de vie des salariés. Mais, peu à peu, les femmes se sont aperçues qu’elles avaient des revendications

Olympe de Gouges a dû subir une injustice supplémentaire : celle qui osa écrire, en 1791, la Déclaration des droits de la femme et de la citoyenne, acte fondateur d'un féminisme qui ignorait encore son nom, fut reléguée aux oubliettes par... les féministes. Quand elle ne fut pas considérée, au mieux, comme une courtisane par l'écrivain Restif de la Bretonne, qui la classa dans sa liste des prostituées de Paris, elle passa, pour une malade mentale, une « folle » selon l'historien Jules Michelet, une

violences dont sont victimes les femmes mais à des degrés différents. Ainsi, 28% des femmes enquêtées sont victimes de violences physiques contre 35% de femmes victimes de violences sexuelles, 3% de violences psychologiques, 22% d’atteintes aux droits du mariage, 5% d’atteintes aux biens et 8% aux droits successoraux (voir annexe 1). Une autre étude conduite en 2008 par le projet Enabling Mobilization and Policy implementation for Women’s Rights (EMPOWER) développé par l’United States Agency for Aid and International