Galanterie

s'il vous plaît, répondit-il. Et il se mit à fureter sur le lit, derrière les portes, sous les chaises ; elle était tombée à terre, entre les sacs et la muraille. Mademoiselle Emma l'aperçut ; elle se pencha sur les sacs de blé. Charles, par galanterie, se précipita et, comme il allongeait aussi son bras dans le même mouvement, il sentit sa poitrine effleurer le dos de la jeune fille, courbée sous lui. Elle se redressa toute rouge et le regarda par-dessus l'épaule, en lui tendant son nerf de boeuf[2]

passer par-dessus des résolutions si fortes : il faut que je demeure en l’état où je suis et dans les résolutions que j’ai prises de ‘en sortir jamais. » -Rien ne me peut empêcher de connaitre que vous êtes né avec toutes les dispositions pour la galanterie et toutes les qualités qui sont propres à y donner des succès heureux. Vous avez déjà eu plusieurs passions, vous en aurez encore ; je ne ferais plus votre bonheur, je vous verrais pour une autre comme vous auriez été pour moi. J’en aurais une douleur

commerciale. Un autre aspect important du portrait de Mouret est la relation entre lui et sa clientèle. En utilisant de nombreux pronoms possessifs, Zola nous fait percevoir la séduction de la clientèle de Mouret : « son peuple de femmes », « sa galanterie », « sa réclame »,… Cela donne nous donne ainsi l’impression qu’après les avoir séduites, ce sont maintenant les siennes.

→ femme des lumières → siècle qui croit en la religion « naturelle » Mme de Clèves → pas calculatrice, mais veut dominer par la raison → se destine à la vertu → fut éduquée par sa mère, bonne éducation (préparation au monde) galanterie → sorte de libertinage → pieuse, croyante (→ siècle marqué par le catholicisme)

édicté par sa mère. Il y a effectivement de nombreuses obligations ainsi que la répétition du mot « vertu ». b) Une mise en garde envers l'amour Tout d'abord pour communiquer a sa fille une vision péjorative de l'amour, elle lui parle de « galanteries ». Pour la mère, « L'amour est dépourvu de sentiments et source de souffrances » ligne 12 a 15. Plusieurs indices nous font penser que la jeune fille va avoir du mal à suivre le programme tracé par la mère a cause par exemple de son âge, de sa beauté

Gorgibus. Dans la pièce, expose sa vision du mariage et présente la façon dont elle peut prétendre être aimée. Elle doit être aimée comme dans les romans d’amour. Elle dénonce les mauvais habillements des deux hommes et connaît par cœur les traités de galanterie. D´un autre côté, Cathos, c’est la nièce de Gorgibus. Elle sait en quel habit un amant doit se présenter. Ensuite, on peut noter qu’il y a deux hommes: La Grange et Du Croisy. Ils sont les « amants rebutés » de la pièce, refusés avec mépris

fille, également car son père meurt alors qu'elle n'a que quinze ans ce qui la place dans la même situation que la Princesse de Clèves dans son roman. De plus, on peut souligner le fait que Mme de Lafayette apprend les codes mondains et l'esprit de galanterie dans le salon réputé de sa mère comme quand Mme de Chartres faisait à sa fille des peintures de l'amour. Pour finir, Mme de Lafayette sa marie par convention et intérêt en 1655, avec un homme qu'elle n'aime guère tel que la Princesse de Clèves se

convaincante. _Argumentation pour l’opposition avec la religion et le caractère humain _ Il Utilise des vérités par le présent de vérité générale « tous ces galants de cour … » C) L’art de la persuasion par la rhétorique. _Tartuffe utilise la galanterie masculine une opposition du cœur à la raison _ Le dénominatif « Madame » _hyperboles « ineffable douceur » et métaphores hyperboliques. _Un inversement des rôles qui se fait par la victimisation de Elmire il l’a prend comme la coupable

soins à l’éducation de sa fille ; mais elle ne travailla pas seulement à cultiver son esprit et sa beauté, elle songea aussi à lui donner de la vertu et à la lui rendre aimable. La plupart des mères s’imaginent qu’il suffit de ne parler jamais de galanterie devant les jeunes personnes pour les en éloigner. Madame de Chartres avait une opinion opposée ; elle faisait souvent à sa fille des peintures de l’amour ; elle lui montrait ce qu’il a d’agréable pour la persuader plus aisément sur ce qu’elle lui

croit en premier lieu à la réincarnation de Saint-George, puis vint au jour où il se dévoile et se présente : il se prénomme Félicien. Elle en déduit que c’est un verrier. Ils tombent aussitôt amoureux l’un de l’autre. Félicien est un modèle de galanterie et de politesse. Angélique découvre ensuite son nom : Félicien d’Hautecoeur. Dernier d’une des plus grandes et des plus prestigieuses maisons de France. Les familles respectives sont donc contre cette union, il ne peut y avoir de mariage avec un