Quiétisme

une partisante du quiétisme de Molinos (selon qui il fallait accorder moins d’importances aux œuvres et aux pratiques de l’église qu’a un abandon totale « en toute quiétude » a dieux ce qui aboutissait à une était d’oraison épuré de toute attache terrestre et ou le péché lui-même était permis . Fénelon se lie d’amitié avec cette femme qui le soutien dans sa quête de spiritualité et cette alliance ainsi que l’emprisonnement de Madame Guyon en 1695 entrainera la « querelle du quiétisme » entre Fénelon

Intro : Fénelon (1651 à 1715) : homme politique, pédagogue, il fut précepteur du Duc de bourgogne, petit-fils de Louis XIV. Maître de la spiritualité catholque, partisan du quiétisme (doctrine mystique consistant en un itinéraire spirituel de "cheminement vers dieu", quiétisme vise la perfection chrétienne, à un état de quiétude passive et confiante, cet itinéraire passe par le désir continuel de "présence de Dieu" de quiétude et d'union aboutissant à un dépassement mystique). Il fut prêtre, puis

ajouté la traduction des chapitres 29 et 30 de l'auteur grec, imprimés pour la première fois en 1786 à Rome. Madame de Genlis a publié une édition des « Caractères » avec de nouvelles notes critiques, 1812, in-12. « Les Dialogues posthumes sur le quiétisme », continués par L. Ellies Dupin, furent donnés en 1699, in-12. Cette dispute théologique était assez étrangère à La Bruyère pour qu'il pût se dispenser d'y prendre part ; mais ainsi que l'a remarqué M. le cardinal de Beausset, « une juste admiration

traduction de Fénelon. Le début de la rédaction remonte à 1692, le Duc à 10 ans c’est pourquoi la rédaction est sage. La rédaction s’établira sur plusieurs années et finira en 1696 car il s’est marié. Il fut publié en 1699. B. L’affaire du quiétisme Fénelon était à la cour, précepteur du futur roi mais n’est pas un courtisan. Il est indépendant de la cour ce qui va lui valoir des difficultés par la suite. Il était en fort bonne relation avec Mme de Maintenon mais elles vont se gâtées. Il

l’original. La fin de sa vie [modifier] Les dernières années de la vie de La Bruyère furent consacrées à la préparation d’un nouvel ouvrage, dont il avait pris l’idée dans ses fréquents entretiens avec Bossuet : c’est à savoir les Dialogues sur le Quiétisme, qu’il laissa inachevés. Ils ont été publiés après sa mort, en 1699, par l’abbé du Pin, docteur en Sorbonne, qui compléta les sept dialogues trouvés dans les papiers de La Bruyère, par deux dialogues de sa façon. Il est probable qu’il ne se gêna

reconnut l’original. La fin de sa vie Les dernières années de la vie de La Bruyère furent consacrées à la préparation d’un nouvel ouvrage, dont il avait pris l’idée dans ses fréquents entretiens avec Bossuet : c’est à savoir les Dialogues sur le Quiétisme, qu’il laissa inachevés. Ils ont été publiés après sa mort, en 1699, par l’abbé du Pin, docteur en Sorbonne Il mourut à Versailles dans la nuit du 10 au 11 mai 1696, d’une attaque d’apoplexie. Le récit de sa fin nous a été transmis par une lettre

catholiques, et réprouva l'emploi de la force.Grâce à cela, Louis XIV le nomma précepteur de son petit-fils, le duc de Bourgogne pour lequel il écrivit 'Les aventures de Télémaque'. Mais Fénelon fut disgracié, parce qu'il approuvait les idées du quiétisme, ce qui lui valut l'inimitié de son ancien protecteur, Bossuet. De plus, 'Télémaque' qui venait de paraître déplut au roi. Retourné dans son diocèse, il reprit ses activités de pasteur. Homme sensible doué d'un charisme et d'une intelligence rare

des fanatismes. Suite à ce succès, Louis XIV le nomma précepteur de son petit-fils, le duc de Bourgogne pour lequel il écrivit le 'Dialogue des morts', les 'Fables' et 'Les aventures de Télémaque'. Mais Fénelon fut disgracié, parce que converti au quiétisme, ce qui lui valut l'inimitié de son ancien protecteur, Bossuet. En outre, 'Télémaque' qui venait de paraître déplut au roi. Retourné dans son diocèse, il reprit ses activités de pasteur. Personnalité séduisante et changeante, homme nerveux, sentimental

de Corneille. Pour se venger de Fontenelle, La Bruyère publia la 8e édition de son livre Les Caractères de Cydias. Pendant les dernières années de sa vie, La Bruyère se consacra à la préparation d'un nouvel ouvrage nommé Les Dialogues sur le Quiétisme qu'il laissa inachevés. L'abbé du Pin, docteur en Sorbonne, publia la dernière œuvre de La Bruyère en 1699 où il compléta avec les dernières notes de ce dernier les dialogues manquants qu'il modifia à sa façon. La Bruyère mourra la nuit du 10

heureusement exceptionnels, ne doivent pas nous laisser enfreindre nos principes ni nous incliner au mensonge. Il reste seulement à espérer, en l'occurrence, que, en nous refusant à mentir, nous ne déterminerons pas la perte de notre ami. Le Quiétisme : A. − HIST. RELIG. Doctrine mystique inspirée des œuvres de l'Espagnol Molinos, répandue en France à la fin du XVIIe s., suivant laquelle la perfection chrétienne réside dans la quiétude, c'est-à-dire l'« amour pur » et la contemplation de Dieu