Galbraith

perceptibles : crise à Londres, chute des cours à WS. A partir de l’été le marché devient plus fébrile. Le retournement a lieu au mois d’octobre où beaucoup de détenteurs de titres sentant le marché se retourné donnent des ordres de vente et comme Galbraith le raconte, le Jeudi noir est caractérisé par une baisse brutale des cours que nul ne parvient ensuite à enrayer. Les banques tentent d’intervenir pour inverser la tendance du marché mais épuise l’ensemble des réserves disponible. Ils n’ont pas conscience

publique, d'éclairage; les écoles, les dispensaires, les hôpitaux publics n'ont pas de moyen suffisants. Les insuffisances et les problèmes sociaux compromettent la sécurité des citadins; crime, vice et drogue prolifèrent. L'économiste américain Galbraith trouve dans la crise urbaine la manifestation la plus éclatante du déséquilibre social entre riches et pauvres. La faillite permanente des villes (comme New York) est le révélateur de la pauvreté des habitants du centre des villes, pour lesquels

conso de la classe sociale supérieure. -La publicité : l'acte de consommer sera en parti influencer par la publicité produite par les entreprises. La consommation est donc provoquée par le producteur. On parle alors de « filière inversée »(Par Galbraith) Lorsqu'un individu parvient à satisfaire ses besoins primaires, son surplus de consommation sera en grande partie influencé par ses facteurs non économiques. De nombreux actes de consommation répondent alors à des phénomènes de mode. Les périodes

intégrante du compromis fordiste (courbe de Phillips). Un taux d’inflation élevé permet d’avoir un taux d’intérêt réellement bas. Il y a transfert des richesses des rentiers vers les moins favorisés _Poids grandissant de la technostructure (analyse de Galbraith)_ La technostructure cela désigne les managers qui sont aux commandes des grands groupes industriels. Cette technostructure se fait au détriment des actionnaires. Car les seules capable de comprendre sont les managers et ont donc pris le pouvoir

Division à taille humaine Dispersion des ressources Coûteuse en raison de la multiplication des services Concurrence possible entre les divisions, qui ne doit pas être nuisible. b. Les structures complexes b.1. La structure matricielle Début 70, Jay GALBRAITH décrit le principe de fonctionnement de la structure matricielle, qui est une combinaison des structures fonctionnelles et divisionnelle. Chaque salarié dépend à la fois d'un chef de projet (ou chef de produit) à et d'un responsable fonctionnel.

économique sont différents d’une crise à l’autre. Mais toutes les crises financières qui jalonnent l’histoire du capitalisme ont des dimensions communes sur lesquels des économistes du siècle passé (John Maynard Keynes, Hyman Minski, John Kenneth Galbraith, Charles Kindleberger…) ou du siècle présent (Michel Aglietta, Paul Krugman…) ont beaucoup travaillé. Un point important de l’analyse de ces économistes est qu’il n’y a pas simplement répétition des crises, mais répétition de cycles financiers

capitalisme familial et capitalisme plus anonyme. A) Le pouvoir aux dirigeants : la « corporate revolution » Burnham parle de « révolution managériale » : managers = nvl classe dirigeante qui se substitue aux propriétaires capitalistes. Galbraith annonce la naissance d’un « nouvel état industriel » ou le pouvoir des capitalistes passe de l’individu au groupe car le groupe est le seul à posséder des informations nécessaires à la décision. C’est l’organisation plus que les individus repérables

de la rémunération des cadres dirigeants. La France atteste au contraire d’une place renforcée des actionnaires en matière de rémunération des dirigeants même si celle-ci demeure insuffisante. En effet, aux Etats-Unis les actionnaires ratifient (Galbraith, 1979), alors qu’en France ils décident. Ainsi, la dernière alternative serait de donner aux actionnaires le pouvoir de réglementer les rémunérations. En effet, il semble indispensable que les pourvoyeurs des capitaux avec lesquels les rémunérations

XXe siècle, les évolutions des productions, la taille des entreprises et la complexité de leur gestion poussent de nombreux économistes à annoncer la fin du pouvoir des propriétaires du capital au profit des « gestionnaires » (managers). John Kenneth Galbraith prévoit que le pouvoir au sein de l'entreprise passe « de façon inévitable et irrévocable, de l'individu au groupe, car le groupe est seul à posséder les informations nécessaires à la décision. Bien que les statuts de la société anonyme placent le

distribution, internalisant, comme disent les économistes, les activités de conception, de fabrication et de prescription. Telle est d’ailleurs la façon dont on se représentait dans les années 1960 les tendances « spontanées » de l’économie, lorsque Galbraith, par exemple, parlait de « nouvel état industriel ». Saisir la nature de la société post-industrielle exige donc de faire l’inventaire d’autres ruptures, et de revenir notamment sur les 16 85170 – TROIS LEÇONS 03 PM 2/08/06 15:40 Page