Galbraith

social : la consommation permet : * D'affirmer volontairement ou non, son appartenance à un groupe social. * D'imiter un groupe social jugé supérieur. * De se différencier d'un groupe social jugé inférieur. La notion de filière inversée (GALBRAITH : économiste américain) : en principe ce sont les besoins des consommateurs qui devrait déterminer la production. Mais en réalité les entreprises essayent d'agir sur le comportement des consommateurs, notamment par la publicité. Ainsi, nous arrivons

politique des produits pour l’ensemble du groupe mais la politique de prix et celle du crédit restent largement décentralisées. Les Caisses régionale s disposent en ce sens 6 De façon plus générale, ce phénomène a été étudié par A. Edström et J. Galbraith [1977] qui posent l’hypothèse selon laquelle, le transfert de cadres est utilisé par certaines sociétés pour développer les processus de contrôle fo ndés sur la socialis ation, mécanisme informel de coordination et de mise en place d’un réseau

particulier. La distribution des capacités suit une loi quasi-normale, au sens statistique du terme, la fréquence d'individus moyen est élevée, peu des gens sont surdoués, et peu de gens son sous-doués. Théorie basée sur un individualisme méthodologique. Galbraith : concept de technostructure. Burnham : avance l'idée de la révolution managériale en 1947. Sorokin : a montré que l'intensité du lien sociopolitique fluctue au cours de l'histoire : on passe par des phases de condensation fortes, par des phases

moyenne en berne, des surinvestissements et des surstocks : les conditions du ralentissement sont réunies (cela vous rappelle peut être quelque chose….) Parallèlement, en 1928 et 1929, dans une « orgie spéculative », pour reprendre l’expression de Galbraith, la bourse américaine avait connu une croissance fulgurante, déconnectée de la réalité économique et liée à des emprunts massifs pour acheter des actions, de la part de particuliers sûrs de s’enrichir et de nouvelles sociétés inventées pour l’occasion

l'efficacité et de l'efficience de son management, à condition que les critères retenus soient valides. Technostructure : association d'hommes doués de connaissances techniques, d'expériences et de qualités différentes et qui, selon John Kenneth Galbraith, sont à l'origine de l'efficacité de la grande entreprise. Veille stratégique : pratique consistant pour l'entreprise à surveiller les évolutions des différentes composantes de son environnement de façon à en anticiper les changements. 

la crise de 1929, c'est-à-dire la possibilité de s'endetter sur un capital limité pour jouer en bourse. L'idée est que le profit viendra de la différence entre le coût de l'endettement et la plus-value des actions. Au fond l'idée développée par Galbraith est que les innovations favorisent les montages spéculatifs. Le résultat de la combinaison de ces 3 causes est une hausse cumulative des cours et des titres en Bourse sans aucun rapport avec la valeur des actifs dans l'économie réelle avec la valeur

consommation : - produits nouveaux adoptés par minorité imitée par majorité - ensuite minorité les délaisse alors pour des produits plus récents. c) L’action des entreprises : Agir sur comportement des consommateurs avec publicité ; Galbraith : système de « filière inversée » : plus la demande qui détermine la production, mais l’inverse ; Influence réciproque entre offre et demande. - Rôle de l’innovation  - Progrès scientifique et technique stimulé par concurrence ( apparition

c'est la preuve que ces derniers sont devenus superflus. Le capitalisme est devenu si rationnel qu'il n'a plus besoin d'aventuriers ou de risque-tout pour fonctionner : dès lors, plus rien ne justifie la propriété privée. Au fond, Schumpeter annonce Galbraith et sa " technostructure ", même si ce dernier ne tire pas de l'analyse la conclusion que le capitalisme est condamné. De profondes différences séparent donc Schumpeter de Marx ou de Keynes. Le système n'est pas menacé par les crises et le chômage

| |Division à taille humaine | | Les structures complexes b.1. La structure matricielle Début 70, Jay GALBRAITH décrit le principe de fonctionnement de la structure matricielle, qui est une combinaison des structures fonctionnelles et divisionnelle. Chaque salarié dépend à la fois d'un chef de projet (ou chef de produit) à et d'un responsable fonctionnel.

le « génie » d’entrepreneurs omniscients. En effet, la recherche elle-même s’est routinisée et s’appuie sur la division du travail. Il n’y a plus guère de véritables entrepreneurs, mais des équipes dirigeantes. Cette idée a été avancée par J.K. Galbraith dès les années 1960. Pourtant des firmes comme Microsoft ou Apple ont des histoires duales : crées initialement par des innovateurs charismatiques(le fameux MiniVan Volkswagen à l'origine de la firme Apple), elles se routinisent en grossissant,