Gant médical

dans l’institut, pour qu’ils puissent s’inscrire préalablement. Chaque semaine, un gâteau de leur choix pourra être réalisé. Deuxième étape : tous les résidents participant à l’atelier, se lavent les mains. Ils devront ensuite enfiler une paire de gant et se munir d’une charlotte, pour pouvoir manipuler tranquillement les ingrédients. Les règles d’hygiène seront ainsi respectées. Troisième étape : chaque résident confectionne son gâteau grâce à la feuille de route, que je leur donnerai à ce moment

réapprendre à se laver seule, de l’aider en cas de nécessité, aussi d’évaluer son degré d’autonomie. Théoriquement, une toilette se déroule de la façon suivante : -Avec un 1er gant de toilette, nous lavons : la tête, puis le torse, le dos, les bras. -Avec un 2nd gant de toilette : les jambes, les pieds. -Puis un dernier gant de toilette : le siège et les parties intimes -On rince la personne -Puis nous la séchons en suivant le même schéma corporel, avec 3 serviettes différentes. En pratique

son corps ou alors je mime afin qu’elle se lave entièrement. A chaque fois que j’interviens je cite les parties du corps que je touche ou que je mime. « Madame N, vous ne vous êtes pas laver les épaules, regardez ou je pose ma main et passez votre gant et votre savon dessus ». Je lave juste son dos. Pour l’essuyage nous procédons de la même manière. Je l’aide juste pour le derrière de la tête et pour le dos. J’accompagne tous les gestes à la parole. «Tenez Madame N votre serviette, vous pouvez vous

Chapitre II - Madame Bovary (...)Une jeune femme, en robe de mérinos bleu garnie de trois volants, vint sur le seuil de la maison pour recevoir M. Bovary, qu'elle fit entrer dans la cuisine, où flambait un grand feu. Le déjeuner des gens bouillonnait alentour, dans des petits pots de taille inégale. Des vêtements humides séchaient dans l'intérieur de la cheminée. La pelle, les pincettes et le bec du soufflet, tous de proportion colossale, brillaient comme de l'acier poli, tandis que le long

n’y avait pas de lingette adapté à la désinfection. J’ouvris les placards et trouva tout de suite les lingettes, je les ai donc prises et les ai ramenés dans la chambre. J’en informa ma collègue mais elle ne m’a pas répondu et a continué avec son gant la désinfection. Je n’ai rien dit mais je me demandais pourquoi agir comme cela alors que le service possède le matériel adapté pour ce type de travail. Cette femme me donnait l’impression de rien en n’avoir à faire et semblait vouloir se débarrasser

stomie (support, raccord et embout de raccord pour relier la poche de stomie à celle de recueil des urines) * Une paire de ciseaux * Poche de recueil des urines * Serviette de toilette * Gant de toilette * Bassine d’eau * Savonnette * Coton tige * Paire de gant en vinyle * Sac poubelle noir * Bandes de tissu Lors du change du soir, il est souvent nécessaire de changer également l’ensemble servant à l’élimination urinaire de Mr G, soit le support de stomie

et gemit lorsque je la touche. L'infirmière retire le plus gros des selles avec la protection et commence à lui laver les fesses avec un gant savonneux, lorsque la vieille dame se met à vomir. Je prend donc un gant et lui nettoie le visage, ce qu'elle a l'air d'apprecier. Je vois son faciès changer d'expression, elle se détend petit à petit. Je pose mon gant et prend une serviette pour lui secher le visage. Madame D est plus calme, l'infirmière lui sèche les fesses, lui masse le saccrum pour prevenir

coucher, une AS m'a demandé d'accompagner Mme S dans sa chambre et de la préparer pour aller au lit. Mme S a des difficultés à la marche, elle se déplace lentement à l'aide d'un déambulateur. Je prends donc un gant à usage unique et de la mousse (spé ptite toilette), ainsi qu'une paire de gant non-stériles et un sac poubelle (la protection de nuit et la chemise de nuit étant déjà mises en chambre le matin). J'accompagne donc Mme S jusqu'à sa chambre et l'installe sur la chaise percée. Je sors de la

avec moi Bien préparer son matériel (tout prévoir) et tout mettre à disposition afin d’éviter les allers retours et faire attendre le malade, ne pas oublier la sécurité du patient avec la barrière à mettre dès que l’on le quitte pour mouiller le gant de toilette par exemple. Anticiper ses réactions afin de trouver de bons arguments. J’ai beaucoup pratiqué ce geste avec plusieurs patients, à plusieurs stades de l’escarre et à plusieurs endroits et donc je saurai me souvenir de ce que j’ai

fois de façon a bien fixé le cathéter et que l’on puisse vérifier le point de ponction. Une fois le soin finit, je demande à la patiente si ça a été et que je repasserais voir si le traitement l’a soulagé. Nous rangeons le matériel, je retire mon gant et me relave les mains. Nous retournons dans la salle afin dire au médecin que nous avons posé la perfusion et que nous retournerons vérifier l’efficacité du traitement. Je lui demande comment ça a été, elle me répond qu’elle se sent prête à faire