Gare de Sotteville

d’écriture propre aux romanciers naturalistes. De plus, il y a une telle précision dans la géographie des lieux, dans ce passage. On pourrait suivre le train et ses passagers dans leur périple. « Barentin, le tunnel de Malaunay, Maromme, Rouen, la gare de Sotteville, Pont-de-L’arche ». Les noms des gares et des villes existent réellement. Il a observé un environnement en pleine expansion et a su le décrire avec une grande minutie et des détails précis ce qui offre une fin réaliste. 2) Un dénouement

glaça la gare,
lorsqu'elle vit passer, dans un vertige de fumée et de flamme, ce train
fou, cette machine sans mécanicien ni chauffeur, ces wagons à bestiaux
emplis de troupiers qui hurlaient des refrains patriotiques. Ils allaient à la
guerre, c'était pour être plus vite là-bas, sur les bords du Rhin. Les
employés étaient restés béants, agitant les bras. Tout de suite, le cri fut
général : jamais ce train débridé, abandonné à lui-même, ne traverserait
sans encombre la gare de Sotteville, toujours

révèle dans cet extrait à la fois comme force agissante et comme personnage. Livré à lui-même, pris d’un mouvement furieux et incontrôlable, le train caractérise ici une puissance terrifiante qui provoque l’effroi sur son passage : "l’épouvante glaça la gare, lorsqu’elle vit passer, dans un vertige de fumée et de flamme, ce train fou, cette machine sans mécanicien ni chauffeur". Sa course, effrénée et folle, préfigure en quelque sorte une catastrophe dont la menace se lit dans les réactions de panique

dans cet extrait à la fois comme force agissante et comme personnage. Livré à lui-même, pris d’un mouvement furieux et incontrôlable, le train caractérise ici une puissance terrifiante qui provoque l’effroi sur son passage : " l’épouvante glaça la gare, lorsqu’elle vit passer, dans un vertige de fumée et de flamme, ce train fou, cette machine sans mécanicien ni chauffeur " (l. 1-4). Sa course, effrénée et folle, préfigure en quelque sorte une catastrophe dont la menace se lit dans les réactions de

la course folle du train. Le sentiment qu’engendre le roman est la terreur, le train venait de commencer une « course violente »(1.13) le train caractérise ici une puissance terrifiante qui provoque l’effroi sur son passage : "l’épouvante glaça la gare, lorsqu’elle vit passer, dans un vertige de fumée et de flamme, ce train fou,, on pourrait comparer cette course folle « au galop »(1.15) d’un cheval surmontant les obstacles, "ce train fou" représente l’image d’un criminel en puissance. Assimilé à

e€l'épowante glaça la gare, lonqu'elle vit passer, dans un vertige de fumee et de flamme, ce train foU oette machine sans. mecanicien ni chauffeur, çes wagons à bestiaux enplis de toupiers qui hurlaient des reûains patiotiques. Ils allaient à la guerre, c'était pour être plus vite là-bas, sur les bords du Rhin. Læs employés étaient restos béants, agitant les bras. Tout de suite,le cri fut vgenérat : jamais ie qain débridé, abandonné à lui-même, ne traverserait sans encombre la gare de Sotteville, toujours banee

spécialisé et technique : « machine », « chaudière », « foyer », « pression », « conducteur-chef », « signaux », « gare », « train », « mécanicien », « chauffeur », « wagon », « manœuvres », « dépôts », « voie », « remise », « express », « machine-pilote », « feux rouges », « pétards »,... Ancrage référentiel avec la mention de lieux réels : « Maromme », « Rouen », « Rhin », « Sotteville », « Oissel », « Pont-de-l’Arche ». Réalisme aussi dans la manière dont le narrateur suggère l'emballement du train

Direction : Bruneel laetitia CER SNCF De Normandie 15, rue de la gare BP 111 76303 Sotteville-lès-Rouen Tél : 0235620873 Mail : cersncfnormandie@wanadoo.fr Organisateur : CERSNCF C’est lui qui prend en charge une partie de la préparation de la base (installation de la base, vérification électricité…) C’est le CER qui a pris en charge le recrutement des animateurs pour la base de DIEPPE. Le CER de la SNCF a organisé une réunion de préparation permettant la rencontre de l’équipe

Plus de détails sur la population de Rouen comparez avec les alentours Lieu Revenue moy.annuel Taux (%) d’activité Age moyen Taille moy.foyer Part de (%) propriétaires Part de (%) célibataires Part d’(%) étrangers Rouen 27 290€ 86 36 3 28 55 5 Sotteville-lès-Rouen 27 910€ 89 40 3 50 43 3 Saint-Etienne-du-Rouvray 26660€ 81 36 3 47 42 11 Le-Grand-Queuvilly 26 180€ 90 41 3 26 42 3 Mont-Saint-Aigan 46 370€ 93 38 3 51 50 6 Qui vit à Rouen ? Milieu professionnel : Une grande partie des

révèle dans cet extrait à la fois comme force agissante et comme personnage. Livré à lui-même, pris d’un mouvement furieux et incontrôlable, le train caractérise ici une puissance terrifiante qui provoque l’effroi sur son passage : "l’épouvante glaça la gare, lorsqu’elle vit passer, dans un vertige de fumée et de flamme, ce train fou, cette machine sans mécanicien ni chauffeur". Sa course, effrénée et folle, préfigure en quelque sorte une catastrophe dont la menace se lit dans les réactions de panique