Gauche démocrate

républicain-démocrate. Le parti fédéraliste est soutenu par Alexander Hamilton. Ce parti est favorable à un État fédéral fort, à une constitution souple, et à une économie plus mercantile, c'est-à-dire moins agricole. Le parti républicain-démocrate croit en chaque État pour défendre les libertés. Il est fondé par Thomas Jefferson en 1798. Après les deux présidences de George Washington et celle de son vice-président jusqu'en 1800, les fédéralistes reculent et laissent place républicains-démocrates, qui

positionnement "ni droite ni gauche" voire centriste : • "On comprend donc très bien pourquoi nous, qui voulons la France agissante et indépendante, nous trouvons devant nous deux catégories d'opposants. D'un côté, ou, comme on eût dit jadis, "à notre gauche", les séparatistes [NDLR : les communistes]. De l'autre côté, ou, "à notre droite", la coopérative de conservation politicienne et sociale qui, pour le moment, s'appelle : Troisième Force [NDLR : socialistes, radicaux, démocrates-chrétiens et libéraux]

convocation de nouvelles élections générales. Gauche • Le Parti travailliste (en anglais The Labour Party, (cf. The Labour Party), dirigé par Gordon Brown depuis le 24 juin 2007. Il remplace Tony Blair à la tête du parti. • Les Libéraux démocrates (en anglais Liberal Democrats, couramment surnommés Lib Dems, (cf. Liberal Democrats) (libéraux progressifs ; les Lib Dems sont considérés traditionnellement comme un parti du centre ou centre-gauche mais l'alignement de la politique du Labour sur

|Mouvement Démocrate (MoDem). Issu de la transformation de l’UDF par | | |François Bayrou au lendemain de l’élection présidentielle de 2007. | | |Le MoDem n’appartient pas à la majorité. François Bayrou se situe | | |désormais à équidistance de la gauche et de la droite.

associations, des syndicats… Ils sont davantage des partis de masse composés surtout de personnes issues de milieux populaires. Ils sont financés par les cotisations et veulent donc multiplier leur nombre d’adhérents. (Exemple : le Parti social-démocrate allemand compte 1 million d’adhérents à la veille de la IGM ; les partis ouvriers européens représentent bien ce mouvement) Chronologiquement, ces différents types de parti sont apparus au même moment, c'est-à-dire au milieu du 19ème siècle. C’est

il faut des coalitions après une élection. Election à Hambourg en 2008 les chrétiens démocrates 56 sièges et socio-démocrate 45 les verts 12 et extrême gauche 8. Majorité 61 donc pour avoir une majorité absolue il faut 61 sièges. Il faut prédire les deux partis qui peuvent contrôler une majorité. Coalition premier et dernier devrait se former. Mais peu probable qu’un parti démocrate s’allie avec l’extrême gauche -> ces arguments se basent sur des idéologies la proximité des idéologies jouent un rôle

L’augmentation du nombre d’ouvriers est particulièrement importante vers la fin du XIXe siècle. Dès les années 1860, deux mouvements émergent : l’Association générale des travailleurs allemands (ADAV), créée par Ferdinand Lassalle et le Parti social-démocrate des travailleurs (SDAP), d’inspiration marxiste, fondé par Wilhelm Liebknecht et August Bebel. Il faut également compter avec la création de nombreuses associations et coopératives ouvrières, sans que l’on puisse encore parler d’un mouvement syndical

L’augmentation du nombre d’ouvriers est particulièrement importante vers la fin du XIXe siècle. Dès les années 1860, deux mouvements émergent : l’Association générale des travailleurs allemands (ADAV), créée par Ferdinand Lassalle et le Parti social-démocrate des travailleurs (SDAP), d’inspiration marxiste, fondé par Wilhelm Liebknecht et August Bebel. Il faut également compter avec la création de nombreuses associations et coopératives ouvrières, sans que l’on puisse encore parler d’un mouvement syndical

l'effondrement du soutien vis-à-vis du Parti travailliste. Le Parti travailliste n'a obtenu que 33 pour cent des voix en 2005, mais les dernières estimations disent qu'il pourrait bien passer en troisième position, derrière les conservateurs et les Libéraux démocrates ; les prédictions les moins favorables donnent aux travaillistes dix-huit pour cent des voix seulement. Ce serait la première fois que les travaillistes arriveraient derrière les libéraux depuis 1922. Jusque-là, les travaillistes avaient calculé

femmes défavorisées n’ont aucun moyen d’avorter. Pour conclure, l’article approfondit trois aspects : l’international, la victoire de la droite conservatrice et la situation de la femme depuis cette légifération. L’article démontre rapidement que les démocrates, en position de faiblesse en vue des élections de mi-mandat ont surfé sur cette vague de choc pour tenter d’attirer des Américains indécis dans leur camp. Ils ont d’ailleurs fait un bond dans les sondages peu après la décision de la Cour Suprême