Gaullisme

eux ne sont que de futiles occupations. Toutefois Breton continue à prendre position contre tout ce qui aliène la liberté de l'artiste et de l'individu en général. Il intervient en faveur des " objecteurs de conscience", s'oppose au Gaullisme et signe la " déclaration des 121" sur le droit à l'insoumission dans la guerre d'Algérie, en 1960. Il collabore toujours aux différentes revues surréalistes et publie toujours des poèmes, mais sa production "littéraire" est de plus

le pouvoir exécutif et le pouvoir souverain du suffrage universel. Si elle répond bien aux souhaits d'une personnalité exceptionnelle (« constitution sur mesure » pour Vedel), la constitution de 1958 a su démontrer qu'elle n'était pas liée qu'au gaullisme, en lui survivant, ainsi qu'aux crises qu'elle a traversée, et en finissant même par intégrer la gauche, avec la victoire en 1981 d'un de ses plus farouches opposants, François Mitterrand. Bibliographie Jean Gicquel, Jean-Eric Gicquel, Droit

communiste : « A la fin de 1941, les communistes entrèrent à leur tour, en action. Jusqu’alors, leurs dirigeants avaient adopté à l’égard de l’occupant une attitude conciliante, invectivant, en revanche, contre le capitalisme anglo-saxon et le ‘gaullisme’ son serviteur. Mais leur attitude changea soudain quand Hitler envahit la Russie et qu’eux même eurent trouvé le temps de gagner les refuges et d’installer les liaisons indispensables à la lutte clandestine. Ils y étaient, d’ailleurs, préparés par

le sens du retour de l'interventionnisme prôné par Dominique de Villepin, désavouant la « banalisation ambiguë » ou « l'abandon progressif », qui fait suite à la parenthèse jospinienne du « ni-ni ». Avec Jacques Chirac, il revient aux sources du gaullisme et réévalue l'intérêt stratégique de l'Afrique, à nouveau considérée comme indispensable, dans le dessein de contrebalancer le poids des États-Unis[26]. L'émergence de nouveaux acteurs On constate, en premier lieu, que l'action de la Justice

SFIO (=Section française de l’internationale socialiste). Le parti radical, l’UDSR (=Union Démocratique et Socialiste de la Résistance) et le MRP (=Mouvement républicain populaire) faisaient partit du centre. Puis, pour la droite, il y a eu le gaullisme (=doctrine politique inspirée du général de Gaulle, désignant ces idées et ses partisans) qui ne forment pas un parti mais qui ont une place importante dans la vie politique, la droite traditionnelle et le poujadisme qui est, à l’origine, un syndicat

politiques. En France, la droite traditionnelle d'avant-guerre, dont nombre de représentants se sont compromis avec le régime de Vichy, perd de son influence au profit d'une droite républicaine et sociale, incarnée par le MRP, et du gaullisme. En Allemagne, comme en Italie, c'est la démocratie chrétienne qui prend la première place sur la scène politique nationale. Dans tous les pays, y compris les démocraties de l'Europe occidentale, on assiste aussi à un développement de l'influence

altération de cette dernière pour quelque raison que ce soit. Cette poussée des nouvelles mémoire fut aussi impulsée par la symbolique crise de Mai 1968, la démission, puis le décès du Général De Gaulle. Avec lui, il entraînera les maigres restes du gaullisme et son autorité morale. Il cessera d’être l’unique héros d’une époque désormais révolue, permettant un renouveau dans les recherches historiques. Avec Robert Paxton, qui publia en 1973 « La France de Vichy », une nouvelle génération d’historien s’intéresse

1962 absorbe aussi l’UDT (gaullistes de gauche). La vocation du mouvement se limite à soutenir l’action du chef de l’Etat d’où le surnom de godillots ; il ne recrute donc pas énormément d’adhérents pour éviter la naissance de courants dénaturant un gaullisme par essence unitaire. Tout au plus, l’UNR compte près de 100 000 militants en 1962. Ses dirigeants sont en principe élus, en réalité désignés par le pouvoir. Devenue Union des Démocrates pour la Vème République en 1967 puis Union pour la Défense

réformisme constitutionnel, largement partagée en doctrine, est désormais contestée par les partisans d’une VI e République. Ces derniers, qui renouent avec les délices du révisionnisme constitutionnel, considèrent que, marqué du sceau indélébile du gaullisme, l’actuel régime serait dépassé aujourd’hui. « Ce qui était devenu fatalité – le pouvoir fort pour garantir la stabilité gouvernementale – se perçoit désormais comme oppressant 2. » Autrement dit, perçue à l’origine comme une œuvre d’émancipation

de confiance en 1968. Réponse institutionnelle et les français ne sont plus dans cette problématique d'où désamour de 69 et interprétation plébiscitaire du référendum. Présidence de Pompidou, pas issu de la résistance mais flanqué d'un baron du gaullisme Chaban Delmas. 74 victoire de VGE non gaulliste se présentant comme étant dans la continuité. Libéralisation de la société française. Volonté de créer une présidence plus moderne. Continuité mais modernisation. 76 rupture Chirac VGE. 78 législative