Gautier Baudelaire Apollinaire

techniques se sont souvent développées pour produire des objets utiles, fonctionnels, et ceci au détriment de l’art ou de la beauté. Cette opposition nous permettrait-elle de distinguer ce qui relève de l’art de ce qui lui est étranger ? Selon T Gautier, « il n’y a de vraiment beau que ce qui ne peut servir à rien ; tout ce qui est utile est laid car c’est l’expression de quelques besoins et ceux de l’homme sont ignoble et dégoûtant comme sa pauvre et infirme nature. L’endroit le plus utile d’une

me semble que je vous connais. (A.Fournier) 3. Orso, dit-elle, c’est ici que notre père est mort. Prions pour son âme, mon frère ! (P.Mérimée) 4. Chevaliers, laissez-moi monter sur ce rocher si haut, pour voir une fois encore mon beau château. (Apollinaire) /V/ Texte A Madame de Grignan A Malcorne, samedi 23 mai 1671 J’arrive ici, où je trouve une lettre de vous, tant j’ai su donner un bon ordre à notre commerce; je vous écrivis lundi en partant de Paris. Depuis cela, mon enfant, je n’ai fait que

on peut trouver plusieurs sous−genres : • Conte de fée (Par exemple, Les Contes de Perrault). • Conte philosophique (P. ex., Candide, de Voltaire), qui essaie de faire une critique de la société de son temps. • Conte fantastique (P. ex., l'uvre de Gautier). 6.− LA POÉSIE 6.1.− La poésie ou la création du langage La poésie se différence de la prose parce qu'elle s'exprime généralement en vers, forme d'expression qui suit des règles et des contraintes bien précises. Le mot « poésie » dérive du grec «

semble que je vous connais. (A.Fournier) 3. Orso, dit-elle, c’est ici que notre père est mort. Prions pour son âme, mon frère ! (P.Mérimée) 4. Chevaliers, laissez-moi monter sur ce rocher si haut, pour voir une fois encore mon beau château. (Apollinaire) /V/ Texte A Madame de Grignan A Malcorne, samedi 23 mai 1671 J’arrive ici, où je trouve une lettre de vous, tant j’ai su donner un bon ordre à notre commerce; je vous écrivis lundi en partant de Paris. Depuis cela, mon enfant, je n’ai fait

: Namouna (1832)Mérimée : Les Ames du purgatoire (1834)Alexandre Dumas : Don Juan de Marana ou la Chute d’un ange (1836)José de Espronceda : Don Juan de Marana (1837)Théophile Gautier : La Comédie de la mort (1838)Nikolaus Lenau : Don Juan (1844)Arthur de Gobineau : Les Adieux de Don Juan (1844)Jose Zorrilla y Moral : Don Juan Tenorio (1844)Charles Baudelaire : « Don Juan aux enfers » (in Les Fleurs du mal, 1857)Alexis Tolstoï : Don Juan (1862) Jules Barbey d’Aurevilly : Le plus bel amour de Don Juan (in Les Diaboliques

impondérable d’une danse toute ballonnée qui est la caractéristique du ballet romantique. Marie Taglioni se retire en 1837. Autre chef-d’œuvre de même inspiration, Giselle date de 1841: « Voilà la jolie morte dont nous avions besoin », s’écrie Théophile Gautier qui est l’auteur du livret. Le thème se trouve dans Les Orientales de Victor Hugo, mais le plan reste conforme à celui de La Sylphide ; la danseuse nouvelle se nomme Carlotta Grisi et le meilleur de la chorégraphie est de Jules Perrot, maître de ballet

lieu est inspiré par les explorations de l’époque. L’œuvre est une mise en garde contre l’orgueil occidental. * Thomas de Quincey : hanté par la mort, dépendant de l’opium, explore la psychologie des criminels. Son goût pour le morbide annonce Baudelaire et Oscar Wilde. Confessions of an Opium-Eater. * Emily Brontë : pure fiction romanesque, incorpore des poèmes lyriques. Wuthering Heights : récit complexe, deux narrateurs principaux non fiables, récits enchâssés impliquant deux générations

.......................................................................................... Texte A. Guillaume Apollinaire, « Lettre du 18 janvier 1915 » (extrait), Lettres à Lou............................................. Texte B. Guillaume Apollinaire, « Lettre du 19 janvier 1915 », Lettres à Lou........................................................... Texte C. Guillaume Apollinaire, « Adieu ! », Lettres à Lou ..................................................................................

regarde ? » à « Je baiserai ta bouche, Iaokanann » (pp. 77 à 87 de l’édition GF bilingue n° 649, 1993). – Albert Samain, « Hérode », Symphonie héroïque (1901). Disponible sur le site : http://lesvoilesdesalome.hautetfort.com/voiles_d_un_mythe/ – Apollinaire, « Salomé », Alcools (1913). Ce corpus permet de croiser l’objet d’étude principal « Les réécritures » avec l’objet « La poésie » et « Un mouvement littéraire et culturel : le symbolisme et le décadentisme ». SÉANCE 1 ● Découverte de l’hypotexte

celles de Voltaire, grand admirateur de Racine. Mais l'auteur de Zaïre (1732) compense la pauvreté de l'analyse par les effets scéniques. En accordant une grande place au pathétique extérieur, il ouvre la voie au drame romantique. De Lamartine à Baudelaire, en passant par Vigny et Hugo, les poètes du XIXe siècle respectent les codes de la prosodie[pic] classique. C'est avec Rimbaud que l'art poétique connaîtra une véritable révolution dont se réclameront les poètes surréalistes. Mais l'idéal classique