Gavroche

enthousiasme par le public, tant en Europe qu'aux États-Unis. Le titre Les Misérables désigne toutes les victimes d'un ordre social dont Hugo dénonce les rigueurs et les injustice à travers les personnages principaux, Fantine, Jean Valjean, Cosette, Marius, Gavroche. Les Travailleurs de la mer (1866) ou l'Homme qui rit (1869) sont des récits de la conquête de la nature par l'Homme. Ces deux ouvrages montrent l'échec de l'homme à réformer une société injuste et inégalitaire. Hugo revient triomphalement en

lui gravitent les personnages dont certains vont donner leur nom aux différents tomes du roman, témoins de la misère de ce siècle, misérables eux-mêmes ou proches de la misère : Fantine, Cosette, Marius, mais aussi les Thénardier (dont Éponine et Gavroche) ainsi que le représentant de la loi Javert. Tome I : Fantine[modifier]Dans ce tome s'entremêlent deux destinées : celle de Fantine et celle de Jean Valjean. Le livre commence par le portrait d'un évêque, Monseigneur Myriel. Il vit très chichement

(1978) 4) Emission "Faites entrer l'accusé": Roberto Succo. Objet d'étude: le personnage de roman du XVII ème au XX ème siècle SEQUENCE 1: LA MORT DES ENFANTS Texte étudié (lecture analytique): 1) Victor Hugo, Les Misérables, (1862) La Mort de Gavroche De: "Le spectacle était épouvantable et charmant" à "cette petite grande âme venait de s'envoler". Textes complémentaires: 1) Jules Vallès, L'enfant (1879), La mort de Louisette 2) Albert Camus, La Peste (1947), La mort du fils du juge Othon 3) Ahmadou

des juges implacables... ), les actions mouvementées, le suspense, les coups de théâtre, l'art du spectaculaire, la schématisation des personnages ( Jean Valjean le vertueux, l'implacable Javert, la douce Cosette, le cynique Thénardier, l'intrépide Gavroche, le saint Mgr Myriel... ). Le lexique de la compassion : termes évoquant la misère et la douleur associés à un vocabulaire affectif (tristesse, lamentation) et religieux (supplications) définissent un registre pathétique. C'est enfin un roman réaliste

offre une allégorie de la liberté, ainsi que la mort au pied de la femme, figure de martyr de cette révolution. Apparition de différente classe sociale avec le costume moderne pour faire appel a l’image militante des castes mélangées pour la liberté. Gavroche de Victor Hugo à gauche de la liberté, incite a penser à l’avenir et renforcé la fecondité.Oeuvre baroque et libertine l'Autre Monde de Cyrano de Bergerac publié vers 1657 s'incrit dans un contexte socio religieux tres sensible puisque la guerre

bonnet de police des voltigeurs de la garde. A droite, devant la Liberté, figure un garçon. Symbole de la jeunesse révoltée par l’injustice et du sacrifice pour les nobles causes, il évoque, avec son béret de velours noir d’étudiant, le personnage de Gavroche que l’on découvrira dans Les Misérables trente ans plus tard. La giberne, trop grande, en bandoulière, les pistolets de cavalerie aux mains, il avance de face, le pied droit en avant, le bras levé, un cri de guerre à la bouche. Il exhorte au combat

penser a un drapée des robes de déesses grecques. * LE JEUNE GARCON ARME. Au côté de la Liberté, un enfant d’une dizaine d’années porte deux pistolets. L’artiste n’a rien laissé au hasard : la présence de ce petit garçon qui rappelle beaucoup le Gavroche de Victor Hugo dans les Misérables est également symbolique. * L’ETUDIANT ARME D’UN FUSIL. Derrière la Liberté, un homme coiffé d’un haut chapeau et habillé de manière plus élégante que ses compagnons, tient dans ses mains un fusil. Il peut

de police des voltigeurs de la garde.) A droite, devant la Liberté, figure un garçon. Symbole de la jeunesse révoltée par l’injustice et du sacrifice pour les nobles causes, il évoque, avec son béret de velours noir d’étudiant, le personnage de Gavroche que l’on découvrira dans Les Misérables trente ans plus tard. La giberne, trop grande, en bandoulière, les pistolets de cavalerie aux mains, il avance de face, le pied droit en avant, le bras levé, un cri de guerre à la bouche. Il exhorte au combat

cette héroïne, la curiosité, la capacité de s’émerveiller, le goût pour les rencontres risquées, mais le registre langagier des deux romans est totalement opposé. Elle a la verve, le langage de « titi » et l’insolence envers les adultes propres au Gavroche de Hugo, mais Zazie n’est pas du tout une enfant des rues. Enfin, elle évoque aussi Antoine Doinel, le héros des 400 coups, de François Truffaut, sorti en 1959, comme le roman de Queneau. C’est une enfant terrible dotée d’une famille peu aimante

Angleterre : enfants ouvriers = 12 cm de moins que classes aisées ❑ absence de protection sociale et d’épargne • vulnérabilité / moindre accident de la vie (chômage, maladie, accident du travail) • misère (abandon des enfants (cf Gavroche) ❑ dégradation : alcoolisme (l’Assommoir de Zola), délinquance, prostitution ❑ mobilité sociale réduite : enfants d’ouvriers restent ouvriers majoritairement - fondée sur une culture ouvrière ❑ code vestimentaire (casquette, bleu) ❑ loisirs