Gavroche

n'importe quelle tâche en un temps record. C'est donc la vision d'un peuple souverain ( ce qui était recherché par ces mêmes révolutionnaires ) qui nous est donnée. Une autre vision du Peuple par les textes est la joie, chez Zola, elle incarnée par Gavroche. Il donne une vision heureuse des insurgés, heureux de faire la Révolution car ils savent qu'ils sont puissants et qu'ils ont des chances d''advenir a une société où le peuple dirigerait l'Etat. Chez Flaubert, c'est une joie présente après une victoire

valeurs héroïques apportent un intérêt de la part du lecteur qui se demande jusqu'où peut aller ce genre de personnage. Le héros en échec, mais qui demeure tout de même un héros par son envergure, possède une existence certaine aux yeux du lecteur. Gavroche, le petit garçon dans Les Misérables est un gamin de Paris qui malgré les épreuves qu'il traverse garde sa joie de vivre et s'attire la sympathie du lecteur. Il meurt pendant l'insurrection républicaine à Paris, alors qu'il s'évertuait à aider les

séparé — et trop souvent d’opprimé —, en même temps qu’on s’intéresse au rôle capital de l’enfance dans la structuration psychique de l’individu. Les orphelins de Dickens (David Copperfield , Oliver Twist ) ont une postérité abondante en France (Hugo: Gavroche et Cosette des Misérables , 1862; Daudet: Le Petit Chose,  1868; Hector Malot: Sans famille , 1878; Vallès: L’Enfant , 1879; Jules Renard: Poil de carotte , 1894; Céline: Mort à crédit , 1936; etc. — nombre de ces textes étant fortement autobiographiques)

ceinture sa taille et volète sur la gauche. Sur sa gauche se tient un jeune garçon, armé de pistolets, une sacoche en bandoulière et une casquette-béret sur la tête. Sa bouche est ouverte et il regarde vers le spectateur. Il inspirera le personnage de Gavroche dans Les Misérables trente ans plus tard. Aux pieds de la femme, sur sa droite, un homme vêtu d’un pantalon noir, d’une ceinture rouge, d’un vêtement blanc et d’une chemise bleue, coiffé d’un foulard rouge, se relève en s’appuyant sur les bras et

traditionnelles (philanthropie, paternalisme) ne suffisent plus.3. En 1830 mais surtout en 1848, le peuple (re)fait irruption sur le devant de la scène politique.-Peuple en révolution, peuple en armes, peuple d’hommes et de femmes, d’enfants aussi (Gavroche..), peuple urbain, parisien, peuple qui réactive le souvenir des soldats de l’an II etc.-Un peuple magnifié par les tableaux de Delacroix, par les écrits de Michelet, de Hugo…Les socialistes proposent d’intégrer le peuple à la politique.II. 1849-1870

d'oralités. Deuxièmement, c'est la qualité de l'intrigue, des personnages, du décor qui va jouer. Car effectivement, si le personnage est touchant, le décor effrayant, le lecteur sera d'autant plus concerné. C'est le cas pour le petit garçon nommé Gavroche dans Les Misérables de Victor Hugo. L'enfant, après avoir évité des coup de feu, se prend trois balles, et il y succombe. Le fait qu'on puisse tirer sur un enfant révolte le lecteur, cela lui fait éprouver un sentiment. Le secret d'une bonne histoire

trempé. Il reste à ses côtés durant presque trois ans, avant d'exprimer le souhait d'étudier la cuisine française . Pour ce faire, son employeur le recommande au chef d'origine française Alain Roux, lequel tient un restaurant français à Londres, « Le Gavroche ». Après un an à travailler à ses côtés, celui-ci invite Gordon Ramsay à venir le seconder à l'« Hôtel Diva », un hôtel quatre étoiles de Tignes, une station de ski française. À la suite de cette expérience , il monte à Paris où, recommandé par

l’attention du lecteur. Par conséquent, il sera plus attentif à la façon imagée montrant qu’il faut être méfiant face aux flatteries. De plus, l’apologue persuade le lecteur en faisant appel à sa sensibilité. Dans les Misérables, Victor Hugo met en scène Gavroche, un enfant du peuple au cours de l’émeute parisienne. Celui-ci aide les insurgés à construire une barricade, sur lesquels il trouvera la mort, c’est un passage très émouvant pour le lecteur qui sera donc persuadé de la brutalité de ces émeutes.

(dimension de l’âme et du bien et du mal). De fait, c’est après s’être indigné face aux injustices de son époque que Victor Hugo a écrit le roman social Les Misérables dont le titre fait référence aux victimes de la société à l’image de Cosette, de Gavroche ou de Jean Valjean. Hugo a écrit " l'art pour l'art, c'est beau ; mais l'art pour le progrès est plus beau encore. ". Ces paroles du chef de file du romantisme s’inscrivent dans cette lignée et soulignent le souhait de l’auteur d’écrire pour un monde

du XXe siècle : Victor Hugo, s'est servit du réalisme pour recréer un monde parallèle à celui des personnes parisiennes de classe sociale pauvre. Il trace ainsi la biographie de personnages devenus célèbres grâce aux « Misérables » comme Cosette , Gavroche , Jean Valjean auxquels peut s'identifier la population de l'époque . Hugo créer son histoire dans la France en insurrection face au système de la société qu'il décrit mais aussi critique . La poésie permet de percevoir la réalité et peut faire