Gène de résistance

appelée transgénèse(noter au tableau) consiste a ajouter à l'OGM un gène d'un autre micro-organisme qui lui donnera de nouvelles propriétés. Exemples: -On a inséré un gène humain dans une pomme de terre pour qu'elle ait une meilleure résistance aux métaux lourds. On y a aussi inséré un gène de poulet pour que cette pomme de terre résiste mieux aux maladies. -On a modifié le génôme d'une tomate en y ajoutant un gêne de poisson pour qu'elle soit plus résistante au gel. Les OGM dans

génétiquement soit de façon naturelle ou par intervention humaine. Principales dates : Dates Evénements 1973 Identification du plasmide Ti, il a la possibilité d’accueillir un gène porteur d’un caractère recherché. Ce caractère peut être introduit dans le génome d’une plante. 1977 Découverte du transfert de gène par des bactéries. 1983 1er plan de tabac génétiquement modifié (au niveau de l’ADN) en laboratoire. 1985 1ère plante transgéniques qui résiste aux insectes. 1986 1er passage de

l’intérieur de la cellule. Gènes en charge s pour la synthèse du sidérophore : entA-G. Quand il y a suffisamment de fer à l’intérieur de la cellule, gène fur est activée, qui est un régulateur négatif. Récepteur reconnait sidérophore complexé au fer. Transporte dans le périplasme et après complexe FebBDG va transporter à l’intérieur. Et le gène fepC va libérer pour fer pour utiliser pour les besoins cellulaires. Ce système est retrouvé surtout chez les bactéries pathogènes. Structures

héréditaires. En général dans une cellule un gène existe en deux exemplaires, occupant la même position sur chacun des deux chromosomes d’une paire. Les allèles représentent les différentes versions d’un gène. Chaque chromosome contient une molécule d’ADN qui porte ces nombreux gènes. L’ADN est formé de deux chaînes complémentaires de nucléotides. La séquence des nucléotides au sein d’un gène constitue un message. Les cellules possèdent, pour un même gène, soit deux fois le même allèle, soit deux allèles

gènes afin de donner un caractère spécifique à la plante comme la résistance à un virus, mais aussi à diminuer ou arrêter complètement l’action indésirable d’un gène dans la plante, tel que la synthèse d’une protéine allergène. Par contre, l’ADN n’entre pas facilement dans une cellule végétale, puisqu’une plante est constituée de milliards de cellules qui doivent toutes acquérir le nouveau gène. Évidemment, nous ne transplantons pas le gène un par un dans chacune des cellules. C’est avec plusieurs recherches

universelle Une application, la transgénèse 1- Le document montre une expérience de transfert de gène. On a extrait le gène GFP de la méduse, celui ci permet de développer un caractère fluorescent. Après isolement du gène GFP, on l'a transféré à une cellule œuf de souris. Le gène GFP de la méduse va s'intégrer dans le génome de la cellule œuf de la souris, ainsi cette expérience qui consiste à transférer le gène d'une espèce A donneuse (la méduse ici) vers une espèce B receveuse (la souris) est une transgénèse

dessous il n'y a pas de « contamination ». Au dessus , les mesures "anti-dissémination" sont a la charge du cultivateur OGM . Une faible efficacité sur longue durée: Comme nous l'avions vu dans le cas du maïs Bt, de nombreux insectes développent une résistance ou plus simplement une tolérance à l'insecticide produit par la plante GM. La capacité initiale de la plante GM n'a donc plus aucun effet : il faut donc que l'agriculteur utilise à nouveau des insecticides et cette fois-ci à dose plus importante

le gène voulut dans l’ADN de l’être qui a été sélectionné. Autant dire qu’il faut chercher une aiguille dans une immense botte de foin. Lorsqu’on a trouvé le gène désiré dans l’ADN, on utilise alors des enzymes pour «couper» l’ADN en séquences particulières. Une fois le gène extrait, il faut le multiplier. Pour cela, on l’introduit dans une bactérie puis on la force à se multiplier. On obtient ainsi un corps contenant notamment le gène multiplié. La prochaine étape consiste à insérer le gène dans

isoler, intégrer et multiplier un gène d’intérêt La première étape est l’identification d’un caractère que l’on veut introduire dans la plante, comme par exemple des caractères de qualité nutritionnelle, la résistance à certains insectes, à certaines maladies, à des herbicides. La construction est ensuite multipliée afin de disposer d’une quantité suffisante d’ADN pour son introduction dans les cellules végétales que l’on veut transformer. Etape 2 : Transférer le gène Il y a plusieurs méthodes pour

Santé : * alimentation * médecine 2) Environnement 3) Les pays en voie de développement II) Les risques potentiels liés aux OGM p.12 1) Santé : * risques allergiques et toxicité * résistance bactérienne 2) Environnement : * augmentation des quantités d’insecticides produites et développement de résistances * production par l’environnement de toxines insecticides III) Débat : p.19 Introduction (sondage) 1- Santé 2- Les multinationales 3- La répartition des cultures OGM 4- L’alimentation