Génie du christianisme

de laquelle se trouvent le Vatican et le Pape. Le catholicisme se trouve donc partout, à « tous les étages de la société », et on le retrouve dans l’architecture romane qui naît avec beaucoup de fracas : « on voit peu à peu sous le souffle du christianisme, sous la main des barbares, surgir des déblais des architectures mortes, (...), cette mystérieuse architecture romane » (l.170). Il s’agit en quelque sorte d’une « renaissance » de l’art qui se fait, là aussi, de manière violente, comme si, chez

en obtenant une hiérarchie ecclésiastique, elle aussi indépendante du diocèse allemands, et en même temps, approfondir l’œuvre d’évangélisation. B. L’évangélisation inculture Selon toute vraisemblance, les premiers contacts slaves avec le christianisme se produisirent très rapidement après leur installation en Europe. D’abord dans les régions méridionales, depuis le dernier versant des Alpes vers la mer Adriatique, en Dalmatie, en Illyrie et le long de la bande de terre aux confins de l’Empire

(1802) -Rappel important sur la genèse de l’oeuvre : l’ensemble des Natchez (épopée en prose), est achevé vers 1799, mais est publié seulement, après avoir été remanié et amputé, en 1826. Une grande partie des Natchez est reversée dans Génie du Christianisme (1802). 1801 : première publication d’Atala. 1802 : première publication de René. -Possibilité de lire le texte comme étant partiellement autobiographique. Cette oeuvre est fortement liée au voyage qu’a fait Chateaubriand en Amérique

conduisaient infailliblement aux honneurs. La beauté de son génie les lui promettait s'il fût resté dans le paganisme. Mais à côté de lui grandissait une religion sublime dans ses dogmes, pure dans sa morale, passant des catacombes à l'échafaud et de l'échafaud au triomphe. Il avait senti d'ailleurs le néant de la gloire humaine; les folles dissipations dans lesquelles il avait précipité sa jeunesse ne lui laissaient que dégoût et amertume. Le christianisme lui offrait de nobles luttes pour y déployer toute

Atala. Mais il rentre rapidement lorsqu’il apprend l’arrestation de Louis XVI. Il se plonge dans une littérature qui défend la religion, en 1798, lorsqu’il apprend la mort de sa mère et de l’une de ses sœurs, Julie. Grâce à cela, il rédige Le Génie du Christianisme, contenant René et Atala, en 1802. Châteaubriand s’engage dans la politique en se mettant au service de Napoléon, mais se sentant mal récompensé, il démissionne, après quatre ans au service de Napoléon, en 1804. Malheureusement, la même année

Rome ? Notre civilisation à 3 mères patries, symbolisée par des villes : Rome, Athènes et Jérusalem. C'est le monde romain qui a individualisé le monde juridique. Rome fut le génie du droit et s'est enrichit de la pensée grecque pour comprendre la pensée romaine du droit. A travers Jérusalem, on trouve le christianisme qui a marqué la société. Les 3 éléments peuvent être synthétisés : les fondements du droit. Chapitre 1 : Les créateurs du droit Section préliminaire chronologique L'évolution

Confirmation: mal de vivre propre aux romantiques exilés * Synthèse argumentative: le désordre émotionnel de René, sentiment d'harmonie avec la nature et l'évasion comme solution; * Ouverture ou clôture: explique le regain de foi et le succès du Génie du christianisme | | | | Le début du 19e siècle fut caractérisé par l'exil des aristocrates, suite à la Révolution française. François René de Chateaubriand fut parmi eux. De son roman autobiographique, René, écrit en Angleterre en 1802, l'extrait

sacrés et les écrits théologiques. Curieux de tout, très doué, il reçoit donc une solide éducation humaniste (inspirée des principes pédagogiques de Montaigne) et baigne dans les milieux scientifiques, ce qui favorisera l’éclosion de son génie. Ce génie se manifeste rapidement par des découvertes remarquables : en 1640, Pascal signe un Essai sur les coniques qui lui vaut l’admiration de toute la communauté scientifique (seul Descartes se montre apparemment plus réservé). En 1642, il commence

fort reculée en Chine, en Babylonie, en Égypte, firent faire à la religion certains progrès. La Chine arriva de très-bonne heure à une sorte de bon sens médiocre, qui lui interdit les grands égarements. Elle ne connut ni les avantages, ni les abus du génie religieux. En tout cas, elle n'eut par ce côté aucune influence sur la direction du grand courant de l'humanité. Les religions de la Babylonie et de la Syrie ne se dégagèrent jamais d'un fond de sensualité étrange; ces religions restèrent, jusqu'à

comme une punition ce qui est aussi une réaction au Moyen âge ou le bonheur pur se trouvait seulement après la mort. Il est également intéressant de noter, même si les idées des humanistes n'étaient pas complètement les mêmes que celles du christianisme, un très grand nombre des humanistes de la renaissance étaient chrétiens. Et comme ils avaient une curiosité linguistique et la croyance en Dieu, il y'avait même certains qui étudient l'hébreu, la langue de la bible. Ils ne contestaient pas la