Génie du christianisme

grandes découvertes permettent de sortir de l’obscurantisme. Les hommes de la Renaissance ont une ferme volonté de faire revivre la culture antique sous tous ses aspects. L'humanisme cherche à redécouvrir ses valeurs de pour les concilier avec le Christianisme. La Renaissance ne se limite pas aux arts et aux lettres, mais atteint aussi le domaine politique, social, économique, scientifique et religieux. Les maîtres byzantins, qui arrivent en nombre avant et après la chute de Constantinople par les

« romanciers du moi » : Mme de Staël, Benjamin Constant, Etienne Pivert de Senancour, Châteaubriand L’égotisme est un mot qui définit bien les romanciers du moi. Ouvrages : 1802 : Le génie du christianisme 1801 : Atala 1802 : René Extrait 2 Grand thème du romantisme : Amour impossible, passion, christianisme .. II) Les générations romantiques Extrait 3 : La première génération des romantiques ( 1800-1820 ) La seconde génération : Hugo, Gautier, Cassagnac, Balzac, Vigny, Lamartine,

études de théologie, à Chantilly et Lyon-Fourvière, à la fin desquelles il est ordonné prêtre le 7 septembre 1963. Celui qui est devenu le premier Jésuite camerounais soutient en 1964 une thèse de 3e cycle en histoire intitulée Paganisme face au christianisme dans la correspondance de Saint Augustin. Plus tard, en 1970, E. Mveng soutient une thèse d’état en histoire, Les sources grecques de l’histoire négro-africaine depuis Homère jusqu’à Strabon. Il enseigne l’histoire à l’université de Yaoundé.

le romantisme comme étant la littérature de l'avenir, partageant un peu sommairement tout l'empire des lettres en deux provinces : d'un côté le classicisme, qui est l'Antiquité et l'imitation de l'antiquité ; de l'autre le romantisme, qui est christianisme, Moyen Âge et inspiration septentrionale. Sa réputation littéraire s'affirme avec l'ouvrage De l'influence des passions sur le bonheur de l'individu et des nations (1796) ou encore De la littérature considérée dans ses rapports avec les institutions

il rapporte de manière à peine déguisée l'amour chaste mais violent et passionné qu'il a entretenu pour sa sœur Lucile, qui le surnommait « L'enchanteur ». Il publia ensuite le Génie du Christianisme (1802), dont Atala et René n'étaient à l'origine que des épisodes : il s'était proposé d'y montrer que le christianisme, bien supérieur au paganisme par la pureté de sa morale, n'était pas moins favorable à l'art et à la poésie que les « fictions » de l'Antiquité. Ce livre fit événement et donna le

grand homme qu'elles aiment. Il publie ensuite le 14 avril 1802 Le Génie du christianisme, en partie rédigé en Angleterre, et dont Atala et René, à l'origine, sont seulement des épisodes : il s'est proposé d'y montrer que le christianisme, bien supérieur au paganisme par la pureté de sa morale, n'est pas moins favorable à l'art et à la poésie que les « fictions » de l'Antiquité. Il y célèbre la liberté, selon lui, fille du christianisme, et non de la Révolution. Ce livre fait événement et donne le signal

rêve. Les Allemands quant à eux ont créé « la romantique » qui est à la fois une histoire littéraire et un programme. Depuis peu, ce mouvement a été introduit en Allemagne, pour caractériser la poésie, celle qui est née de la chevalerie et du christianisme (chants des troubadours) : poètes lyriques du XII et XIIIème siècle. Plus tardif dans le reste de l’Europe, le Romantisme est annoncé en France au début du XIXème siècle par Chateaubriand (écrivain français : 1768-1848) et Madame de Staël (femme

renouvelé de ces épreuves, il suscite des interrogations et des réponses nouvelles et variées. Ex : Dans le livre de Chateaubriand ci-dessus, le mot génie désigne l’ensemble des caractères particuliers, distinctifs qui forment la nature propre d’une chose, d’une réalité vivante, son originalité, son individualité (d’où les expressions le génie d’un peuple, d’un pays, d’une époque, employées au 19ème siècle). L’ouvrage est mis en vente le vendredi saint, le 14 avril 1802, 4 jours avant que soit

jeunesse aux salons, etc. Il voyage en Amérique après la Révolution: il y mène une vie d’explorateur, entre en contact avec l’exotisme américain, etc.; à Londres. De froide foi sa jeunesse, après la mort de sa mère et de sa sœur ¿?, il revient au christianisme. Il a vécu les changements politiques fréquents: à l’époque de l’Empire, il a occupé le poste d’ambassadeur à Rome, à Londres ; a été Ministre des Affaires étrangères. Finalement, il revient à Paris et se consacre à la littérature. Il n’a jamais

fantôme, un croque-mitaine, un revenant ou encore, un homme charmeur à l’air diabolique, habillé tout de rouge, avec des cornes et portant une fourche. On l’a aussi surnommé « le génie du mal », ou celui qui était la cause de toute la méchanceté des êtres humains. 2. Les origines du diable : Le diable dans le Christianisme : Pour les chrétiens, le diable est considéré comme l’origine des divisions entre chrétiens, ils disent que c’est à cause de lui que certain rites comme le satanisme est venu