Génocide arménien

notamment le massacre Arménien de la première guerre mondiale et le génocide Juif, Tzigane de la seconde guerre mondiale. Des actes semblables puisqu’à la base ce sont des crimes qui consistaient à détruire ou à tenter de détruire un groupe national ethnique, racial ou religieux mais qui sont différents puisque dans le premier cas il n’est toujours pas question de génocide en raison de difficultés politiques et juridiques tandis que la seconde fût caractérisé par le génocide Juif, Tzigane, … Des

naissance du résistancialisme. I. b. Le refus de l’Etat d’assumer sa part de responsabilités dans le Génocide. c. II. Le réveil de la mémoire, des années 70 a nos jours. Page 7 à 15 a. La remise en cause du mythe résistancialisme. b. Le temps des procès. c. La France restaure la mémoire de son pays. Conclusion. Page 16 2 La mémoire de la Seconde Guerre Mondiale Et Du génocide en France. "Lorsque dans le silence de l’abjection l’on n’entend plus retentir que la chaîne de l’esclave

Italie après la Seconde Guerre mondiale. Il est remanié en 1948. Monuments aux morts modernes[modifier] BerlinAvec l'apparition des bombardements, l'emploi de la force nucléaire (Hiroshima) ou du terrorisme, et la reconnaissance juridique du génocide, apparaissent des monuments commémorant des victimes civiles. Il existait déjà des monuments à visée nationaliste (Voortrekker Monument à Prétoria). Dans plusieurs endroits, au lieu d'ériger un monument, les autorités laissent les ruines servir

domination en Pologne et dans les territoires conquis sur l'URSS s'inspire des préjugés racistes des nazis vis-à-vis des Slaves, supposés être de « race inférieure », et de la mise en place de l'« espace vital » revendiqué pour les Allemands. Le génocide juif commence à l'Est  Dans les territoires polonais annexés par le Reich, les propriétaires terriens et les industriels polonais sont expropriés au profit de nouveaux propriétaires allemands En URSS, à partir de juin 1941, l'invasion s'accompagne

de « révisionnistes ». Mais que veulent dire exactement ces termes ? Pour faire simple, le négationnisme est le fait de nier totalement un génocide ou un massacre de masse. Notons que ce terme était au tout début lié uniquement à la Shoah, mais qu’aujourd’hui il touche bon nombre d’autres massacres tel que, par exemple, le massacre de la population arménienne par l’Empire Ottoman, plus ancien lui, en 1915 et 1916. Le révisionnisme, lui, a une connotation totalement différente, il désigne les personnes

(Lens | | |Près de 10 millions de morts et disparus, invalides,|par exemple) | | |grippe espagnole, génocide arménien, classes | | | |creuses. |Activité: analyse d’une oeuvre d’Otto Dix. | |

lois mémorielles : des lois de la mémoire qui indiquent à se rappeler d’évènements historiques. La loi Gayssot de 2001 a pour objet la commémoration du génocide Arménien … Ces règles sont remises en cause par le législateur qui estime qu’il n’a pas à prendre le rôle de l’historien, dans la mesure où la loi sanctionne ceux qui nient les génocides, ce dernier sort de sa finalité première. B / Les relations entre les règles de droit et les règles non juridiques a. Les relations entre le droit

d’expressions. Autre critique la loi doit avoir une portée normative ; ce n’est pas son rôle mais celle des historiens. Débats intense. 3 lois mémorielles : 1-Loi Mémorielle du 29/01/2001-70 disposition législative « La France reconnait publiquement le génocide arménien » = crimes contre l’humanité2-Loi Taubira 21/05/2001-434 «La République française reconnait que la traite négrière transatlantique ainsi que la traite dans l’Océan Indien d’une part, et l’esclavage d’autre part, perpétrés à partir du XVème,

l'Europe occupée, soit les deux tiers de la population juive européenne totale et environ 40 % des Juifs du monde, pendant la Seconde Guerre mondiale — ce qui représente entre cinq et six millions de victimes selon les estimations des historiens. Ce génocide des Juifs constituait pour les nazis « la Solution finale à la question juive » (die Endlösung der Judenfrage). L'extermination des juifs, cible principale des nazis, fut perpétrée par la faim dans les ghettos de Pologne et d'URSS occupées, par

fondamentaux : le Nomos de la Terre, 1950, et la Théorie du partisan, 1963, Carl Schmitt étudie les nouvelles caractéristiques de la guerre et le tournant pris au XXe siècle ( 2 guerres mondiales, un franchissement de l'horreur incomparable : génocide arménien et juifs, des camps d'exterminations). Ces analyses constituent aujourd'hui la base de la critique du pacifisme, d'une part, et de la pratique américaine de la guerre et de l'idéologie américaine. En effet, il est en accord avec le de la doctrine