Génocide arménien

habitat (territoire ou pays), soit pour l'obliger à s'installer ailleurs (déplacement forcé, regroupement forcé ou « purification ethinique »), soit pour le détenir dans des camps (travail forcé). Notamment dans certains cas précis, tels le génocide des Arméniens, des Jouifs ou des Tsiganes, la déportation a pour objectif la destruction physique du peuple ou du groupe qui en est victime. Maintenant on analysera les deportations vers les camps d'extermination mise en oeuvre par les Nazis: Un vaste

nations, religions qu’elles soient visuelles ou pas. Elle souligne également l’interdiction de génocides contre l’humanité impliquant une sanction pour acteurs d’une organisation dite criminelle. La commission nationale s’occupant des droits de l’homme doit remettre au gouvernement un rapport annuel sur la lutte contre le racisme rendu public. La loi du 29 janvier 2001 reconnait publiquement le génocide arménien de 1915. La « loi toubira » de 2009 est essentiellement basée sur la reconnaissance de l’esclavage

recul dans le temps ou à une prise de position ultérieure. → Lettres Persanes de Montesquieu. 4 : Elle agis sur le futur par sa fonction d'avertissement et encourage l'Homme à ne pas sombrer dans les erreurs du passé ou dans les craintes à venir. → Génocide Juif, Guerres Mondiales, Bombes Nucléaires, Non-Respect de l'Environnement... II : Mais la littérature ne joue par forcément un rôle utile par rapport à la science et à la technique et peut parfois avoir un rôle néfaste sur la société. 1 : Elle

Guerre mondiale en France B.1. Une mémoire patriotique a. Une France d'après-guerre divisée b. La Résistance comme mémoire ofcielle B.2. Le renouvellement depuis 1970 a. La remise en cause du mythe résistancialiste b. L'afrmation de la mémoire du génocide C. L'historien et les mémoires de la guerre d'Algérie (chapitre non développé, revenez l'an prochain.) Qestion Tème 1 introductif. Le rapport des sociétés à leur passé – 4 à 5 heures Mise en œuvre Une étude au choix parmi les deux suivantes :

coûté très cher. Elle est un avant goût de 39-45, qui ne fera qu’accentuer sa violence extrême (les premiers gaz apparaissant en 1915 à Ypres ), ou sa culture de guerre, via d’intense propagandes par exemple. Elle mène également le premier génocide ; celui des Arméniens, qui servira de “modèle” pour Hitler. Pour conclure, nous avons vu que le début de la guerre est marqué par l’annonce de la mobilisation générale attendue. Par la suite, Colette exprime l’ampleur que celle ci prend avec le sentiments

mondiale et l’expérience combattante * Guerre totale. * Brutalisation. * Banalisation de la violence. II) La Seconde Guerre mondiale : guerre d’anéantissement et génocide des Juifs et des Tziganes. * La place de l’idéologie. * L’extension géographique. * L’ampleur des destructions. * Le génocide. * INSISTER SUR LE FAIT : Disparition de la distinction entre combattants et non-combattants. III) Les espoirs de paix. A- La SDN : espoirs déçus. B- L’ONU :

Les limites du mythe : mémoires concurrentes et mémoires occultées II- D'une à des mémoires : l'émergence d'une mémoire plurielle (années 1970-1980) A- Un nouveau contexte B- La remise en cause du résistancialisme C- Le réveil de la mémoire des génocides III- Apaisement ou hypermnésie ? : le rôle de l'historien dans la construction des mémoires (des années 1990 jusqu'à aujourd'hui) A- Une multiplication des acteurs de mémoires B- Un exemple majeur : la reconnaissance officielle du rôle de la France

Génocide, crimes contre l'humanité, des termes qui ont émaillé le siècle dernier et qui perdurent encore. Des tribunaux pénaux pour l'ex-Yougoslavie et le Rwanda ont été créés, sous l'égide de l'ONU, et une juridiction permanente a vu le jour, la Cour pénale internationale. La justice pénale internationale parviendra t-elle désormais à punir les crimes et protéger les victimes ? Le XXe siècle n'aura pas seulement été un siècle de conflits mais aussi un siècle rongé par des crimes perpétrés à grande

de guerres définies à La Haye en 1899 et 1907 sont fréquemment piétinées : usage des gaz, massacre de prisonniers, basse œuvre des « nettoyeurs de tranchées », bombardements inutiles (cathédrale de Reims), exactions sur les civils…. Le génocide p.90 des Arméniens (texte p.92), initié en 1915, constitue un paroxysme de cette barbarie (entre 650 000 et 1,2 M de victimes). Toutefois ce type de violence n’est pas inédit : massacres et déplacement des Turcs par les Russes en 1877, camps de concentrations

Convention de Genève ? Société des Nations ? En 1939, on arrive à une époque où on a tiré une leçon des guerres napoléoniennes, de la guerre de Crimée, on signe la Convention de Genève. On passe alors au post-modernisme. C’est en 1915, avec le génocide arménien que l’on a parlé de crime contre l’humanité. En 1939, un caporal de la première Guerre Mondiale qui avait tiré de bonnes leçons de tout cela, et a adopté toute l’industrie du crime, comment tuer d’après une programmation cynique. On arrive à