Génome mitochondrial

DIVERSITE GENETIQUE Introduction : problématique Livre p. 12-13. Problématique : Quels sont les phénomènes essentiels de toute reproduction sexuée ? Comment s’établit le génome d’un nouvel individu ? Pourquoi chaque individu est-il un être unique ? Comment le brassage génétique contribue-t-il à la diversification des génomes ? 1. Reproduction sexuée et stabilité du caryotype1. Livre p. 14-15, schéma polycopié du cycle. Exploitation : Doc. 1 – Les chromosomes homologues sont identiques en

Fiche de révision Thème 1 Chapitre 1 Brassages génétiques et diversification des génomes Mots clés : cycle de développement pour une espèce diploïde Diploïde/haploïde Méiose Fécondation Brassage intra/interchromosomique Chiasma, crossing-over Remaniement chromosomique Anomalie du caryotype : monosomie, trisomie Famille multigénique Crossing-over inégal, duplication génique Les notions essentielles : Le caryotype d'une espèce est maintenu

fonctionnement des écosystèmes. La génotoxicité se définit comme la capacité de certains agents dits « génotoxiques » à induire des dommages à l’ADN pouvant conduire à des mutations géniques ou chromosomiques. Ces dommages, une fois fixés dans le génome, peuvent avoir des conséquences délétères sur la santé des organismes exposés et/ou de leur descendance : mortalité embryonnaire, malformations congénitales, infertilité, cancers, etc. En raison de la grande variété des substances impliquées, de leur

l’être et l’appellent à se modifier. F) a) Une mutation est une modification de l'information génétique dans le génome d'une cellule ou d'un virus. C'est donc une modification de la séquence de l'ADN, ou bien dans l'ARN pour un virus à ARN. C'est l'une des causes principales de l'évolution des espèces et l'un des principaux mécanismes de l'évolution moléculaire. Selon la partie du génome touchée, les conséquences d'une mutation peuvent varier. Une mutation ne sera héréditaire que si la cellule mutée

présentation en cours (5 thèmes sont étudiés avec la demi-classe A, les thèmes bis sont étudiés avec la demi-classe B) Groupe 1 : Etude de la polyploïdie (végétaux et mécanismes) – p 40 et 41 Bordas (Marc et Maxime) Groupe 1 bis : Association de génomes (végétaux, bactéries et eucaryotes) – documents fournis (Thomas, Quentin et Timothée) Groupe 2 : Etude des transferts horizontaux de gènes (poissons et thérapie génique)- p 42 et 43 Bordas (Dylan et Eléonore) Groupe 2bis : Transferts de gènes entre

l'homme Introduction L'espèce humaine appartient à l'ordre des primates, qui regroupe environ 230 espèces d'une grande diversité, dont les comparaisons anatomiques et moléculaires permettent de préciser les liens de parenté. Le séquençage des génomes de l'homme et du chimpanzé a révélé une identité de plus de 99 %. Ainsi, les études génétiques et l'observation du développement de l'homme et de son plus proche parent permettent de comprendre comment se construisent leurs phénotypes différents à

l`hépatite E Structure des principaux virus : Génome Capside Enveloppe Virus ADN Icosaédrique Oui Virus de l`hépatite B ARN + Icosaédrique Oui Virus de l`hépatite C ARN - Nucléocapside sphérique Oui Virus de l`hépatite D ARN + Icosaédrique Nu Virus de l`hépatite A ARN + Icosaédrique Nu Virus de l`hépatite E I. Virus de l`hépatite A : Virus a ARN monocaténaire linéaire à polarité positive. C`est parmi les plus petits virus . Il est non enveloppé et possède un génome de 7,5 KB. Son cycle de multiplication

les cellules exprimant le gène ajouté. La transgénèse permet de ne plus passer par les reproductions sexuées, ce qui est un gain de temps. Il est ainsi plus simple, dans le sens où c'est moins aléatoire, d'introduire un gène en particulier dans le génome d'une plante. Les intérêts de la transgénèse sont nombreux, la possibilité par exemple pour les plantes de produire leur propre insecticide permet de diminuer l'épandange d'insecticides chimiques. Cependant, l'impact des OGM sur l'environnement n'est

réparation de l’ADN. En effet, des erreurs de réplication subsistent avec une fréquence d'environ 10-9 par nucléotide incorporé, soit environ une mutation par division cellulaire sur l’ensemble du génome. Au cours d’une vie humaine, l'organisme effectuant de l’ordre de 1017 divisions cellulaires, le génome subit donc environ 1017 mutations somatiques. Pour la lignée germinale, on estime à 24 le nombre de divisions nécessaires pour produire un ovule et à 35 + 23 n (où n = âge en années - 15) le nombre

normal : Gamètes possibles : VI. Le crossing-over inégal : Doc B p27 L'étude des génomes (=ensemble des gènes) montre une complexification par augmentation du nombre de gènes : - Bactéries = 3000 gènes - Mouche = 15 000 gènes - Souris = 20 000 gènes - Homme = 22 000 gènes Il existe donc un processus de création de gènes. L'étude du génome humain révèle l'existence de gènes très ressemblants. Le gène de la β-globine et le gène de la δ-globine ont 93,5%