Genre Autonome

caractérise l'idéal grec, mélange de virilité et de grâce, tel qu'on peut le voir réalisé sur les statues antiques d'Apollon. ~- Nietzsche, La Naissance de la tragédie, Paris, Gallimard, 1949. Apologie. Discours ou texte qui relève du genre apologétique et qui consiste à justifier un individu ou une conception et à en faire l'éloge. Les Pensées de Pascal constituent l'ébauche d'une Apologie de la religion chrétienne. On appelle apologistes, de manière absolue, ceux qui défendent les

biographiques refoulés, mais comme un lieu porteur des traces d’une unité perdue au-delà de l’aliénation ontologique et socio-économique, qui saurait être réactivée par la poésie. La critique thémathique Ensemble des thèmes présents dans une œuvre, un genre ou une tradition littéraire. • Étude de la signification des thèmes récurrents d’une œuvre littéraire. Hist.Les études littéraires ont longtemps privilégié l’étude de thèmes universels, explicites et abstraits transmis par la tradition, les topoi

Le Roman : Définition et Analyse §1 LES TECHNIQUES NARRATIVES : CONCEPTS DE BASE I Récit, histoire, fiction et narration 1° "Récit" : Lorsqu'il désigne un genre littéraire, le terme "récit" rassemble toutes les sortes de textes narratifs, racontant des événements réels ou imaginaires. On trouve plusieurs types de discours dans un récit : des discours narratifs, descriptifs, des dialogues. Remarques sur les autres emplois du mot "récit": - Opposé au "roman", il désigne la relation

raillées pour leur jargon compliqué, l'affectation de leurs manières et leur refus de l'amour sensuel. Au-delà des caricatures, la préciosité peut se définir comme l'aspiration des femmes à participer à la vie de l'esprit et à se comporter en êtres autonomes. Les Précieuses en leurs salons C'est dans les salons tenus par des femmes de la bonne société, tels que celui de Mme de la Sablière, qu'éclot la préciosité. Dans les salons, mais aussi dans les ruelles : la ruelle, espace laissé

valeur. C’est dire qu’étant également le « nom » du livre, le titre sert à nommer un texte à le désigner aussi précisément que possible et sans risques de confusions. Enfin, Genette distingue deux sortes de titres : thématique et rhématique. Le premier genre requiert une analyse sémantique régulière et un travail d’interprétation de la part des titrologues alors que le second a trait à la désignation générique par le biais de caractéristiques purement formelles et plus accidentelle. En outre, le titre

LE ROMAN | |Page | |INTRODUCTION : d’une langue à un genre |2 | |LES ORIGINES DU ROMAN | | |Le roman médiéval :

Le premier sujet sera traite en detail car il nous semble etTe la nouveaute formelle et technique de ce roman -re! ponsable par la place qu'il occupe dans la litterature fran~ai­ se des annees 20 - sinon du renouvellement des structures de ce genre litteraire, que certains critiques et estheticiens de l 'i poque negligeaient. (Nous pensons 3 Boileau plus partioilierement.) FJulgmentob; 1L.1JLLE/UFSC, FtoJt..i.a.rLopot.i.6, Nil 1,154-177, JctJ1..!Jwt. 154 1986 Les personnages aussi reti

le « culturel ». Dans les expressions « identité littéraire » et « identité culturelle », prises indépendamment l’une de l’autre, le terme « identité » a sa première valeur, celle d’unicité. L’identité littéraire renvoie, selon nous, au problème du genre, c’est-à-dire à ce qui permet d’identifier un écrit comme étant un roman, un poème, une pièce de théâtre... L’identité culturelle, concerne plus directement l’auteur : son appartenance à une culture donnée le détermine dans son rapport au monde et

Verdir (verbe) → verdissage (nom) Chaque suffixe indique danc la classe morphosyntaxique du derivé qu`il sert à fabriquer. En outre, les suffixes peuvent également avoir une fonction catégorisatrice, puisqu`ils sont aptes à indiquer le genre grammatical des dérivés. Par exemple, les noms suffixés en –ance (surveillance, voyance), -ise (bêtise, sottise, débrouillardise), -tion (finition, adoration), sont toujours féminins, alors que ceux formés à l`aide des suffixes -age (nettoyage

littéraires, et donc des genres il n'y a plus eu de placc que pour t une "préuision rétrospective. Lei catégories aristoléliciennes admiser .oÀÂ. " relativemeni universelles et tianshistoriques, - permettent-elles de àéfinir, et donc de prévoir, un genre comme I'autobiographie'1. s'inteÊ ,àri l,,arriirr^tr. Oui.'conclut-il, iune condition toutefois. qui n'est pas roit à fait mince : c'est qu'on passe sur I'historicité de son contenu ihématiqu., "le devenir drune iidividualité réelle', considéré comme