Géographe

et son environnement, et la recherche en sciences de la terre. Néanmoins, la géographie moderne est une discipline englobant qui cherche avant tout à mieux comprendre notre planète et toutes ses complexités humaines et naturelles, Longtemps les géographes ont perçu leur discipline comme une discipline carrefour (Jacqueline Bonnamour), « pont entre les sciences humaines et physiques ». Une division de la géographie en deux branches principales s'est imposée à l'usage, la géographie humaine (est l'étude

de TD . La frontière dans les Lettre Les écrivains, géographes des discontinuités L’origine du mot frontière vient de front, un terme militaire qui désigne l’espace de contact avec l’ennemi. La frontière est donc à la base un objet étudié par les grandes sphères du pouvoir et va, petit à petit, prendre une dimension beaucoup plus politique en devenant simplement la limite entre deux Etats. L’étude des frontières par les géographes a réellement commencé à partir du milieu de XIXe siècle avec

dans sa confrontation aux pratiques individuelles. Pour Jean-François Staszak (Les discours du Géographe) il y a un problème dans la lecture de la réalité faite par le sujet-géographe, connaissant et scientifique, et le « Monsieur Tout le Monde » qui vit et pratique cette réalité de manière quotidienne – sans s’insinuer dans le champ du hors-quotidien. Deux individus pour un même espace : le géographe décrit et théorise les logiques d’un espace, l’individu pratique et fonde par ses habitudes les

est resté globalement un impensé géographique « un secret de Polichinelle »[10] Jacques LEVY souligne que c'est par la sociologie et particulièrement l'Ecole de Chicago que la ville a été en premier étudiée. Puis viennent les travaux fondateur des géographes Henri Lefebvre (« Le Droit à la Ville ») et Paul Claval («Théorie des villes ») à la fin des années 60. Mais c'est dans les années 80 que la « géographie urbaine » connait un nouvel essor avec la mise en place des sciences de la ville. Sous un

d’accentuer la précision de leurs calculs. Amerigo Vespucci serait le premier expéditeur à avoir découvert les Amériques. Contrairement aux autres navigateurs de l’époque, il était persuadé de découvrir une nouvelle terre. C’est le cartographe et géographe allemand Martin Waldsemüller, convaincu de l’authenticité de la découverte qui s’inspira du prénom de Vespucci pour nommer le continent américain. 2) Les évolutions scientifiques et techniques On invente des instruments pour mesurer

visés par ces acteurs et leurs moyens mis en œuvre pour y arriver. Le terme apparaît sous la plume du professeur de science politique/géographie suédois « Rudolf Kjellén » qui a repris en réalité les éléments de géographie politique énoncés par le géographe allemand Friedrich Ratzel, que l'on considère comme le père de la Geopolitik allemande. Depuis sa naissance à la fin du XIXe siècle, la géopolitique contemporaine a subi des évolutions à travers quatre principales écoles de pensées à savoir l’école

de décapiter leurs ennemis et d’empaler leur tête sur des piques. Le but de la manœuvre était de décourager les envahisseurs. *Au 16ème siècle, la Corse appartenait au Roi d’Espagne Philippe II. Elle n’avait alors pas d’emblème officiel. Le géographe italien Mainaldi Galerati voulut faire un atlas des possessions de Philippe II roi d’Espagne, avec des armoiries pour chaque province. D’où le problème, quel drapeau affecter à la Corse ? Il décida de reprendre celui de la Sardaigne, mais en l’adaptant

scientifiques expliquant l’organisation des hommes et de l’espace.->débat. Mais la « nouvelle géographie » (terme années 60) n’est pas forcément contredite par la géographie culturelle. - Renouveau a bénéficie des travaux remarquables de certains géographes : Paul Claval, Pierre Gourou, Jean Gallais ou Gilles Sautter + Augustin Berque Les 3 dimensions de l’espace-paysage considérées par la géographie culturelle sont les suivantes : - Un territoire au sens géopolitique du mot, avec des enjeux

Ce terme a été inventé par le géographe suédois Rudolf Kjellen en 1899, qui fut influencé par la pensée de Friedrich Ratzel. D’origine allemande avec le terme géopolitik il désigne les dimensions spatiales des relations entre Etats, dont les objectifs sont l’appropriation et le contrôle du territoire en utilisant éventuellement la violence. Pour Kjellen, il s’agit des rapports entre la politique de l’Etat et des données géographique comme la superficie, les frontières, les ressources des territoires

galerie de personnages : le monarque d'un empire factice (qui ne voit en lui qu'un sujet), le vaniteux (qui le voit comme un admirateur), le buveur qui boit pour oublier qu'il boit, le businessman propriétaire d'étoiles, l'allumeur de réverbère et le géographe écrivant d'énormes livres qui, au chagrin du petit prince, ne recensent pas les choses importantes de la vie, mais uniquement les pérennes.