Germinal Film Roman Comparaison

Le Roman Le dénouement romanesque www.portalopen.xl.cx Le but d'une dernière page de roman est-il uniquement de donner un dénouement à l'histoire ? → On parle aussi d'excipit pour qualifier cette page. Introduction : Film et réactions des spectateurs à sa fin, comparaison à la fin d'un livre qui donne une impression finale ainsi qu'un jugement au lecteur. I. La dernière page d'un roman donne souvent un dénouement à l'histoire. 1. Régler le sort des principaux personnages De manière définitive

une présentation “linéaire” des documents commencant par le n°1, puis le n°2 et ainsi de suite jusqu’au dernier… Il faut les regrouper par thèmes ou par nature. * Ne jamais analyser les documents dans cette partie, ce serait comme raconter la fin du film dès le générique de début… Les documents de ce dossier, de nature très variées, rendent compte, chacun, des conditions de vie fortement contrastées de deux classes sociales émergentes à l’âge industriel : les bourgeois et les ouvriers. Les fortes

de la construction de la ligne de chemin de fer reli ant Dakar au fleuve Niger, une grande grève a paralysé le chantier. L’écrivain et cinéaste sénégalais Ousmane Sembène s’est inspiré de ce fait historique pour écrire Les bouts de bois de Dieu, un roman publié en 1960 et qui peut être considéré comme son plus grand livre. Autour de leur leader syndicaliste, Bakayoko, les cheminots décident à Bamako de montrer leur mécontentement par un arrêt de travail mais, très vite, la grève va s’étendre et gagner

ZOLA Germinal, La révolte. (V° partie, chap. 5, de "Les femmes avaient paru … couperet de guillotine") INTRODUCTION (à développer) La scène est vue par les bourgeois cachés dans une grange. DEVELOPPEMENT I° partie - La force de cette description vient d'abord de sa composition. 1°§ - Zola compose le cortège de manière inattendue et cependant solidement structurée. Il place, en effet, en tête du groupe les "femmes" qui sont en principe les êtres les plus faibles, les plus doux

Introduction : En 1885, on assiste à la disparition d'Hugo et à l'apparition de "Germinal". Voici, dans la France moderne et industrielle, "Les Misérables" de Zola. Ce roman de mineurs, c'est aussi l'Enfer dans un monde dantesque, où l'on "voyage au bout de la nuit". Mais à la fin du prodigieux itinéraire au centre de la Terre, du fond du souterrain où il a vécu si longtemps écrasé, l'homme enfin se redresse et surgit dans une révolte pleine d'espoir... Texte étudié : Dans la plaine rase

un miroir implacable de la société. C’est ainsi qu’ils vont décrire la cruauté des mœurs en général, de la justice et de la police en particulier, la misère du prolétariat, le désespoir de l’enfance pauvre ou la vie étriquée de la province. Chaque film de cette série – qui comporte quatre vidéocassettes - fait alterner la mise en situation de l’écrivain ou d’un comédien qui l’incarne, les lieux et parfois les paysages où celui-ci vécut, des extraits de ses œuvres lus ou joués par des comédiens quand

place ses personnages dans un lieu apparenté à l’enfer et nous transmet ainsi sa perception de l’absurdité du monde moderne scientifique. Même le roman peut être concerné par cette diversité. C’est le cas du roman à portée sociale comme dans la vaste fresque romanesque d’Émile Zola avec « Germinal », un des « Rougon-Macquart ». Ce roman exprime le soulèvement des salariés et représente un ‘coup d’épaule’ donné à la société qui craque en un instant sous la plume de l’auteur : c’est la

INTRODUCTION 0.1 Contexte de l’étude. Cette étude n’est pas un nouveau manifeste sur le socialisme. Nous cherchons simplement à faire une interprétation littéraire des faits sociologiques qui constituent l’essence de Germinal (1885) d’Emile Zola et Les bouts de bois de Dieu (1960), d’Ousmane Sembène, deux ouvrages consacrés à l’étude du thème de conflit de classes. Il s’agit ici d’un effort d’analyser les causes fondamentales du problème d’inégalité et d’exploitation entre les hommes et aussi de

A. DEVOILER SON COEUR La description d'une personne, ou plutôt d'un personnage de roman c'est ce qu'on appelle un portrait. A lui seul, il constitue un genre littéraire. Il suffit de relire La Bruyère... Mais ce n'était pas un romancier ! Le portrait trouve néanmoins toujours sa place dans les récits romanesques. On peut même dire que beaucoup de romans sont centrés sur le portrait, et souvent sur un seul individu ! L'auteur nous propose une multitude de détails qui nous permettent de reconnaître

fondateurs, autant par leur ancienneté mythique que par leur caractère étiologique, semblent inscrire dans l’histoire humaine la notion de conflit libérateur et constructeur. « - Ah ! vous voilà !... Vous vous révoltez, à ce qu'il paraît... » ZOLA, Germinal, IVe partie, Chapitre 2 « Ah ! beauté et vérité fassent que vous soyez présents nombreux aux salves de la délivrance ! » RENÉ CHAR, « Chant du refus » On pourrait faire de cet instinct de révolte, présent dès l’enfance, l’image d’une autre des