Germinal Reflet De La Societe

Dans ce roman, Eugène de Rastignac doit être initié à la vie, il doit passer à l'âge adulte et prendre ses responsabilités. C'est au départ un jeune homme naïf qui arrive de sa campagne et débarque à Paris, il va devoir apprendre à vivre dans cette société. Rastignac se retrouve vite à la croisée des chemins entre le vice et la vertu, il ne choisira qu'au terme d'une expérience dont les étapes sont : une visite à Mme de Restaud l'initie aux secrets d'un adultère ; une conversation entre Mme de Beauséant

est-il seulement de représenter le monde dans lequel il vit ? Certes, le rôle de refléter la société est toujours présent pour le personnage: le roman est une histoire qui doit avoir son introduction, son déroulement et son final, dans laquelle on nous présente une péripétie que notre héro devra résoudre ou surmonter. Or le personnage devra maintenir une certaine communication avec la société, donc il reflétera la société de son époque. Ainsi, l'exemple le plus clair est celui du livre : Le tour du

Nous verrons dans un premier temps le personnage refléter la société de l’époque à laquelle le roman se déroule avec la critique implicite de l’auteur, puis nous nous pencherons sur l’importance que le personnage soit placé en héros et la place de la médiocrité et enfin nous analyserons la position du personnage et sa place par rapport aux lecteurs. Pour commencer nous pouvons voir que le personnage traduit et retransmet une image de la société de l’époque où le roman est écrit. Pour cela nous

Germinal, Zola 1. Quelle est la différence entre le naturalisme et le réalisme? Montrer que Germinal est un roman naturaliste. Si dans l’histoire des lettres le naturalisme s’est effectivement placé après le réalisme, ce qu’il faut comprendre c’est qu’il n’y a pratiquement pas de rapport au fond entre le naturalisme et le réalisme. Le réalisme est une technique littéraire. Le naturalisme est une idéologie : idéologie de la science qui était essentiellement à l’époque une science physiologique

ça aurait joliment remplacé les dés à coudre de ce roussin de père Colombe ! Et les camarades ricanaient, disaient que cet animal de Mes-Bottes avait un fichu grelot, tout de même. L'alambic, sourdement, sans une flamme, sans une gaieté dans les reflets éteints de ses cuivres, continuait, laissait couler sa sueur d'alcool, pareil à une source lente et entêtée, qui à la longue devait envahir la salle, se répandre sur les boulevards extérieurs, inonder le trou immense de Paris. Alors Gervaise, prise

vision(s) du monde Le roman est la création d'un univers qui fonctionne comme un reflet du monde réel. Même lorsque ce reflet est déformé, même lorsque le récit semble se dérouler dans un espace ou un temps qui n'ont rien à voir avec les nôtres, le lecteur effectue entre l'univers de l'œuvre et son propre univers des « allers-retours » qui mènent à une réflexion sur notre monde. Le roman, recréant une société d'hommes avec ses qualités et ses défauts, est ainsi porteur d'une ou plusieurs « visions

qu'il donne au lecteur une vision de sa société, de sa culture et de son époque. Cependant, dans son essai sur Les personnages, Sylvie Germain, romancière contemporaine écrit : "Tous les personnages sont des dormeurs clandestins nourris de nos rêves et de nos pensées". Nous allons essayer de voir si cette conception du personnage de roman est partagée par les romanciers que l'on connait. Pour cela nous nous appliquerons à montrer que le personnage reflète les rêves et les pensées collectives d'une

« Pensez-vous que le roman doit nécessairement reflété la réalité ? » Vous développerez votre point de vue dans un devoir organisé, en vous appuyant sur des arguments et des exemples précis. Pour vous, un roman doit-il obligatoirement représenter le monde réel ? Pour répondre à cette question, nous étudierons dans une première partie dire que le roman, doit être le reflet du réel. Dans un second temps, nous pourrons faire une antithèse en disant qu’il doit entraîner l’imagination du lecteur, et

malheureux. Le lecteur en lisant un roman veut oublier ses problèmes et tomber dans l’illusion romanesque. En le confrontant à des personnages malheureux et ordinaire, ses problèmes vont envahir de nouveau ses pensées et n’appréciera pas son roman, reflet de lui-même et qui lui prédit des situations désagréables, s’il se reconnait en ce personnage, comme la mort, la famine, le déshonneur, l’échec… . Nous pouvons donner comme exemple Voyage au bout de la nuit de Céline où le protagoniste Bardamu qui

naturaliste Germinal d’Emile Zola, quand nous voyons Etienne hésiter à aller travailler pour la première fois, nous percevons le jugement négatif que porte l’auteur sur cet environnement hostile qu’est la mine. « Devant lui, il retrouvait bien le Voreux, dans un plie de terrain, avec ses bâtiments de bois et de briques, le criblage goudronné, le beffroi couvert d’ardoises, la salle de la machine et la cheminé d’un rouge pâle, tout cela tassé, l’air mauvais » (l 3-5 Germinal). Dès le début de Germinal , le