Germinie Lacerteux

on peut trouver : Edmond et Jules de Goncourt, qui écrivit en 1865 Germinie Lacerteux. Zola, qui écrivit en 1867 Thérèse Raquin ou encore préface de La Fortune des Rougon ou L’Assommoir. Huysmans, qui écrivit À vau-l’eau en 1882. À l'échelle internationale L'histoire du naturalisme se développe en quatre grandes étapes. La première étant dans les années 1865 à l’époque ou Edmont et jules Goncourt publie Germinie Lacerteux. En effet dans ce livre la préface peut passer pour une littérature

montrent d'ardents défenseurs de la propriété, ils condamnent la sanglante répression des journées de Juin.   Le 5 septembre, leur mère meurt en leur joignant les mains et en les confiant à la servante Rosalie Malingre, dite Rose, qui inspirera Germinie Lacerteux.   Dès lors, ils choisissent la vie d'artiste : Edmond abandonne son emploi et Jules " prend son parti de ne rien faire " (lettre à Louis Passy). Ils connaissent des années " vagabondantes " , avec des voyages en Algérie (1849), en Suisse, en

sont pour la plupart précédées d’un travail de recherche documentaire important. Pour le naturalisme, deux textes sont considérés comme « théoriques » : la préface de Germinie Lacerteux, des Goncourt en 1865 et la préface de l’Assommoir de Zola en 1877. Les œuvres marquantes : - J. et E. Goncourt, Germinie Lacerteux (1865) - Zola, Les Rougon-Maquart, histoire naturelle et sociale d’une famille sous le second Empire (1871-1893) Ces deux mouvements utilisent les mêmes formes

thème est composé de six textes représentatifs de ce mouvement. On trouve Le roman expérimental ( 1880), Les romanciers naturalistes (1881), La préface de Thérèse Raquin (1868), la préface de l'Assommoir ( 1877) de Zola ainsi que la préface de Germinie Lacerteux (1864) d'Edmond et Jules de Goncourt et la préface de Pierre et Jean (1887) de Maupassant. Les textes proposés sont des préfaces où les auteurs expriment leur point de vue par rapport au nouveau mouvement artistique «  Le naturalisme ». Nous

deux courants littéraires de la fin du XIX e siècle qui se proposent de décrire fidèlement la réalité. Cette tendance se retrouve dans ces trois textes. Le premier s’intitule Madame Bovary de Gustave FLAUBERT paru en 1857, le deuxième s’appelle Germinie Lacerteux des frères GONCOURT sorti en 1865 et le dernier est Germinal d’Emile ZOLA présenté en 1885. Comment l’écriture réaliste s’exprime-t-elle à travers ces textes et quels en sont les symboles ? Pour répondre à cette question, nous nous intéresserons

réexpriment les buts du réalisme en expliquant que le roman doit représenter les ''basses classes'' pour eux les hommes doivent être égaux, le roman doit s’intéresser au problème du peuple, de la société. Les frères Goncourt dans leur préface de Germinie Lacerteux déclare ‘’ Le public aime les romains faux : ce roman est un vrai ‘’ avec le faux roman ils font allusion au romantisme avec Victor Hugo qui a écrit ‘’les misérables ‘’ et jugent injustifié le titre de son roman bâtit ‘’avec du vraisemblable

littéraires. L'oeuvre d'art, c'était, selon lui, la réalité transposée par une vision d'artiste. Cette transposition devait être fondée sur la raison et la vérité; elle devait surtout procéder d'un puissant tempérament de créateur. Zola admirait, dans Germinie Lacerteux, "la manifestation d'une forte personnalité". Il avouait même se soucier de la "personnalité et de la vie" plus que de la vérité. Il professait qu'une oeuvre n'est que le produit d'une individualité. Il a soutenu Manet parce qu'il voyait dans

publique et religieuse et aux bonnes mœurs. » L’éducation sentimentale 1869 Edmond et Jules de Goncourt : Germinie Lacerteux 1865 Le porte-parole du mouvement Emile Zola  (1840-1902) Un cycle de vingt romans , Les Rougon-Macquart . Histoire naturelle et sociale d’une famille sous le second Empire : romans de la condition ouvrière : L’assommoir 1867 ; Germinal

accueil favorable. Parallèlement, il collabore à différents journaux (le Petit Journal, le Salut public de Lyon), ce qui lui donne notamment l’occasion, en 1865, de défendre avec fougue le premier roman naturaliste des frères Goncourt, Germinie Lacerteux : « Germinie Lacerteux, dit-il, est une date. Le livre fait entrer le peuple dans le roman. Pour la première fois, le héros en casquette et l’héroïne en bonnet de linge y sont étudiés par des écrivains d’observation et de style ». En 1865, il rencontre

France à cette époque, à ne pas sélectionner ce que l’on veut voir de la société, à regarder également les côtés sombres de la société. Cette face obscure de la société est illustrée par un roman des frères Goncourt, Germinie Lacerteux dans lequel nous pouvons voir une femme, Germinie, en proie à la décadence et à l’alcool ce qui finit par la tuer. Le but de cette œuvre est de dénoncer les ravages de l’alcool dans les milieux populaires, où rien n’est fait pour enrayer cette tendance meurtrière.