Gérondif

au passé simple(hube, hubiste, ...) + participe passé LE CONDITIONNEL: Présent: infinitif + ía, ías, ía, íamos, íais, ían. (ex: cantaría, cantarías,...) Passé: Auxiliaire HABER au conditionnel présent(habría, habrías, ...) + participe passé LE GERONDIF (ou participe présent): 1er gr: -ando 2è et 3è gr: -iendo *Verbes qui s'affaiblissent et verbes qui alternent(voir subj présent): ils s'affaiblissent ici (ex: pedir > pidiendo, morir -> muriendo) *Plusieurs autres irréguliers. LE PARTICIPE PASSE:

la veille à Paris) * un pronom introduit par une préposition (exple : je voyage avec ma mère) * un adverbe (exple : Demain, j’irai à la plage) * un infinitif ou un groupe infinitif (exple : il étudie pour avoir un bon métier) * un gérondif c-à-d un verbe commençant par en+ le verbe se terminant en …ant (exple : je vais en cours en sifflant) II/ Les différentes circonstances : * le temps : à 8h, pendant la soirée, l’année dernière (répond à la question quand ?) * le lieu :

desadverbes: Quand le soleil se leva, il partit. – Avant que les gelées ne reviennent, hâtons-nous de semer. – Depuis que les travaux sont achevés, la route a été rendue à lacirculation. d) Remplacez les mots soulignés par des participes présents ou des gérondifs:  Je te tromperais si je te laissais croire que j’ignore la situation de notre société. Alors qu’elle descendait le boulevard, elle croisa Albert. Comme il était indécis , il refusa de donner une réponse. Tandis qu’il cherchait un mot dans le dictionnaire

chant mais il fait aussi du chantage à Bartholo. On peut donc dire que c’est un maître à chanter. Enfin on peut voir que Bazile est un Homme d’expérience faisant preuve d’une grande dextérité : « j’ai vu », « en s’y prenant bien ». Il utilise ici le gérondif et cela montre que ce n’est pas la première fois qu’il utilise la calomnie. Enfin, on peut remarquer qu’une satire politique et sociale est présente dans cet acte. En effet la rumeur et la calomnie sont des « discours collectivisés » , les

Comment est-ce que dans les strophes 6 à 7, le pullulement des insectes dans la carcasse, devient-il une métamorphose spectaculaire ? L’accumulation des verbes de mouvement et d’action grâce à la juxtaposition, à la coordination et à l’emploi du gérondif (« descendait, montait », «s’élançait en pétillant », « vivait en se multipliant » « agite et tourne », « s’effaçaient ») anime sous nos yeux les chairs mortes. Par ailleurs, les comparaisons introduisent des images dynamiques : « comme une vague »

La description des chats passe par leur ressemblance aus Sphinx: il s'agit d'embellir l'image d'un animal ("nobles...grands") doué de raison : le verbe du vers 9, "Ils prennent" laisse en effet entendre une démarche volontaire, réfléchie (cf. le gérondif "en songeant") pour vivre à l'écart du monde.L'expression "au fond des solitudes" , par le pluriel et la locution , marque la distance qu'ils cherchent à établir: éloignement spatial et éloignement temporel. Noter les sifflantes (allitération en

sécheresse sinique du vieux chat. II. L’argumentation dans le texte. La souris cherche à persuader le chat, en faisant appel à ses sentiments; « implorant » vers 2, mais aussi à le convaincre ; « payant de raison » vers 3. Les deux gérondifs montrent sont argumentation risquée. En aucun cas elle ne cède pas à une terreur non controlée. Elle métrise la situation et sa plaidoirie le révèle. Elle multiplie les interrogations rhétoriques; « une souris / De ma taille et de ma dépense / Est-elle

Valeur ? L’habitude - d'une situation qui se répète, reprise systématique du même comportement. Semaine placée sous quel signe ? Celui du renvoi, de l'abandon, de la déloyauté de Lantier, de la tromperie marquée par quelle tournure grammaticale ? Le gérondif "en racontant" Où le récit débute-t-il vraiment ? 2ème paragraphe : temps ? Passé simple. Quelle durée s'est écoulée entre l'attente de la soirée et le réveil ? 3 heures (2h / cinq heures) .Que souligne cette durée ? (Idée sous entendue?) La brièveté

aujourd'hui considéré comme un temps de l'indicatif plutôt que comme un mode à part entière. On préfère dire qu'il a une valeur modale ce qui le place entre le mode et le temps. - le mode impersonnel est constitué de l'infinitif (infinitivo), le gérondif (gerundio) et le participe passé (participio). Dans ce mode, le verbe n'a pas de pronom personnel. De plus, ces modes ne permettent pas de situer l'événement dans le passé, le présent ou le futur. Le verbe a alors besoin d'être complété par un auxiliaire

SUBJONCTIF ( it. purché) A condition de + INFINITIF Il passera le concours à condition qu’il travaille dur Il passera le concours pourvu qu’il travaille dur Il passera le concours à condition de travailler dur L’expression de l’hypothèse par le gérondif En prenant le train, vous arriverez directement au centre ville (Si vous prenez le train …) En prenant cette décision, vous auriez résolu tous vos problèmes ( Si vous aviez pris cette décision …)