Gérondif

Delacroix : Le Naufrage De DJ dont le ciel obscur à peine éclairé de lueur orangé ne laissait rien présageait de bon Diérèses : mendi/ant, Lu/is , audaci/eux Mise en valeur, accentuation des termes Bcp de verbes à l’Imparfait : valeur descriptive Gérondifs (participes présents) : v.5, 11, 13 Aspect pictural du poème (qui nous décrit une scène : la descente aux enfers) Accentue la durée des actions décrites  temps suspendu Un cadre temporel flou : « Quand » imprécis au début / et pas de point

d’hypothético-concessive). La proposition participiale : La ville prise, l’ennemi cessa les hostilités (temps et cause). Les équivalents : il s’agit des infinitifs circonstanciels (Il a été sanctionné pour avoir dépassé la vitesse autorisée.) et des gérondifs (En allant chez sa grand-mère, elle rencontra le loup.). Les propositions subordonnées relatives Elles sont introduites par un pronom relatif simple (qui, que, quoi, dont, où) ou composé (lequel, auquel, duquel). Le relatif composé, contrairement

descriptif : il décrit/ texte explicatif : fournit des explications ex : manuel de SVT/ texte  argumentatif : il cherche à convaincre ex : pub, texte politique Formes de phrases Affirmative : il fait beau / négative : il ne fait pas beau. gérondif Mode impersonnel du verbe ex : il s’est fait mal en tombant. homonyme Mots qui ont la même prononciation ex : maire/mère/mer… Une hyperbole Figure de style Une exagération Ex : ce repas est divin. imparfait Temps qui marque une

du personne du singulier de l’imparfait ; jeu ou de l'imaginaire) ; - le subjonctif dans les subordonnées relatives ; - les modes non personnels du verbe (infinitif, participe, gérondif) ; la -le subjonctif en proposition subordonnée circonstancielle (concession, condition, cause niée, distinction des formes en -ant (gérondif, participe présent, adjectif but, temporelles du type avant que) ; verbal). - le conditionnel : (approfondissement) emploi temporel de futur du passé, emploi modal dans le système

son caractère exceptionnel. Les répétitions, les enjambements, le rythme brisé = désarroi vécu par le poète. * imitation de la voix de quelqu'un = au bord des larmes * interjection "hélas" = sanglot (?) - cette idée est renforcée par "en pleurant" (gérondif) qui clôt cette strophe. Le poète se lamente, il pleure, et souhaite que cette femme pleure également. Partage sa peine avec lui, ses sentiments. En ce qui concerne son physique, strophe 4 - comparaison = beauté sculpturale v12. - statue = beau

exemple dans les deux premiers vers ; alors que le premier vers fait appel aux éléments opposés, le feu et l'eau dont est victime l'amante: "je me brûle et me noie", le second lie ces sensations en insistant sur leur simultanéité par l'emploi du gérondif "en endurant" : " J'ai chaud extrême en endurant froidure." - D'autres sensations sont ainsi convoquées par le même système d'antithèses et de simultanéité : sensations tactiles au vers 3 "et trop molle et trop dure" ; sensations visuelles au vers

avec lequel des G. s’occupe de M. et le possessif “la mienne” renvoie à la tendresse (effet de miroir) - Nous pouvons bien parler de passion amoureuse car l’auteur marque l’insistance de rechercher du bien pour l’un et l’autre comme l’illustre le gérondif par exemple - Cependant, nous nous rapprochons de la fin, du sol et nous pouvons identifier une autre connotation religieuse qui consiste à “veiller” et prier toute la nuit pour M., nous pouvons donc également parler d’hyperbole - Dans le prochain

invariable (cf. « une personne courant dans la rue »). Mais la grammaire historique nous montre qu'il ne s'agit pas d'une seule et même forme : la première est la continuation du participe latin (currentem) qui est variable, tandis que l'autre vient du gérondif ablatif invariable (currendő) (…). La vérité synchronique contredit-elle à la vérité diachronique, et faut-il condamner la grammaire traditionnelle au nom de la grammaire historique ? Non, car ce serait ne voir que la moitié de la réalité ; il ne

valet: -Triboulet est soumis à son maître → adj possessif ''mon maître ''mon joyeux maître'' formant une antépiphore (répétition au début de phrases) -Gestes malmenant → me pousse avec le pied -Ordres à l'impératif ''bouffon fais moi rire'' + gérondif ''en baillant'' Le sentiment de triboulet d'être prisonnier de son rôle'' Enumération de négations ''ne vouloir, ne devoir,ne devoir et ne faire'' et ''le droit de ne pas rire et de pleurer, s'il veut'. Se compare à un troupeau: Métaphore avec

l'essentiel. A travers le voyage initiatique de Candide → horreurs du monde : esclavage, guerre, Inquisition, meurtre … Lecture linéaire. (à préciser et justifier) Dialogue (l.1 à 11) L.1 : « en retournant dans sa métairie » → L'emploie du gérondif renvoie au mouvement, le personnage avance dans sa réflexion. → Le personnage fait un retour sur lui même, il dresse le bilan de son voyage